Déviance

les grandes lignes de cet ouvrage seront résumées afin de mieux comprendre cette problématique Devenir anorexique est le récit scientifique du travail de transformation de soi de ces patientes, qui s’inscrivent dans un processus de déviance. La première déviance est celle qui s’établit par rapport au poids, la carrière anorexique commençant par un régime. Transformation de soi physique, psychique mais également sociale. Muriel Darmon a choisi, pour l’étudier, une grille d’analyse clinique qui

libération des mœurs a changé le commerce du sexe en une industrie mieux acceptée et économiquement profitable à la société et parallèlement dans une troisième partie, comment ce commerce suscite aussi une mauvaise opinion publique à cause de ses déviances. 1 Un contexte historique peu favorable à la commercialisation du sexe 1.1 Le contexte antérieur à la libération des mœurs Depuis le Moyen-âge jusqu’à la libération des mœurs, le sexe était un sujet tabou. Tout d’abord, la religion chrétienne

favorise la délinquance. Le taux de criminalité croit avec la taille des villes. C) La déviance dans les sociétés modernes Pour Durkheim les normes permettent à la fois de réguler les passions humaines, mais aussi d’intégrer les individus par le partage des valeurs et de but communs. Durkheim considère que toutes les normes sont inhérentes à toutes les sociétés. Il considère aussi que leur transgression (la déviance) est inhérente à toutes les sociétés. Le crime est normal il permet même l’évolution

doit devenir conforme, si il tient à sa vie privée. La déviance des normes est-elle un phénomène social ou pathologique ? La déviance est un écart ou un non respect par rapport au normal. Certains ont choqué la société comme E.Durkheim en affirmant que le crime, sous certaines conditions, pouvait-être considéré comme normal. Comment est-il possible de définir la déviance en parralèle d’une figure social dite normal ? Tout d’abord, la déviance est considérée comme une pathologie sociale lorsqu’elle

sociale correspond à l'époque où les théories fonctionnalistes sont en vogue, aux Etats-Unis, théories qui s'intéressent entre autres à l'influence sociale et aux relations de pouvoir à travers des notions comme le conformisme, la conformité, la déviance ou encore l'anomie et la normalité. L’exposé qui suit est tiré entièrement de la seconde partie de son livre « psychologie des minorités actives » paru en 1979 aux PUF. Ici, l’auteur montre comment, à partir de ses propres expériences et de celles

opérer entre contrôle social interne et contrôle social externe. Le contrôle social interne ou intériorisé est celui qui résulte d’une autodiscipline des individus fondée sur un sentiment personnel d’obligation morale, sans autre sanction en cas de déviance qu’un sentiment intime de culpabilité. Comme le soulignait DURKHEIM, « les règles morales possèdent un prestige particulier, en vertu duquel les volontés humaines se conforment à leurs prescription simplement parce qu’elles commandent, et abstraction

actes auto-normative. Il existe des situations dans lesquelles des individus vont dévier de la norme dans ce cas, il y a un risque de sanction sociale. II – La transgression d'une norme La déviance est par rapport à une norme sociale et l'ostracisme c'est la conséquence possible de la déviance. La déviance se définit par une norme sociale, la norme peut changer d'un groupe à un autre. Majoritairement, la norme rejoint la loi. Lorsqu'un individu commet un transgression normative ça comporte un certain

concernées. Marginalisation : les personnes changent de statut et considèrent qu'ils n'ont plus leur place dans la société. Après la fragilisation, la rupture du lien social La déviance est une transgression des normes juridiques, sociales, informelles, ..., d'une société. Il y a donc sanction juridique ou simplement morale. La déviance a été analysée selon deux points de vue, par les déterministes (fonctionnalisme) et les individualistes. (interactionnisme) Les premiers pensent que toute action répond

(1991) J) Le chercheur québécois Marc LeBlanc (1980) Bibliographie Laurent Muccielli « Monoparentalité, divorce et délinquance juvénile : une liaison empirique contestable » Médecine & Hygiène | Déviance et Société2001/2 - Vol. 25 (pages 209 à 228) http://www.cairn.info/revue-deviance-et-societe-2001-2-page-209.htm du 02.01.2013 Peter Noack et Bärbel Kracke « Elterliche Erziehung und Problemverhalten bei Jugendliche - Analysen reziproker Effekte im Längsschnitt», 2003 http://www

rassemblant les frontières disparaissent le temps de cet évènement. Les limites de cette jeunesse : La jeunesse est-elle dangereuse ? Daniel Fabre évoque les déviances des jeunes de ceux qui s’attribuent un statut en marge de la société (la jeunesse qui ne danse pas et qui va dans les cafés pour s’enivrer). Il explique ces déviances juvéniles par la citation « Il faut que jeunesse se passe » et relate que la jeunesse est un temps d’apprentissage et de transition. Il faut donc accepter (de manière