Déviants

- Pour bien traiter ce sujet il est évident qu'il faut définir le mot clé de notre problématique qui est : Délinquance juvénile : - On désigne par cette expression l'ensemble des comportements déviants, délictueux ou mêmes criminels qui sont prohibés par la loi et les règlements, étant commis par des jeunes n'ayant pas atteint la majorité légale, soit 18ans. - Dans un premier temps

voisin, se moucher bruyamment au milieu d’un concert de violon, se promener dans la rue habillé en jupe alors qu’on est un homme, constituent autant d’exemples de déviances dans la société française contemporaine. Les comportements considérés comme déviants, qui relèvent d’une construction sociale varient beaucoup dans l’histoire et selon les cultures (ex. de l’avortement). On peut distinguer deux grandes manières dont la sociologie analyse la déviance : en tant que fait social (par exemple, chez E

est victime de la stigmatisation des autres. Et, s’il persiste, ce rôle peut entraîner une modification de la personnalité de l’individu ainsi qu’une modification de ses relations sociales. Il entre alors progressivement dans une " carrière " de déviant. Les chercheurs ont ainsi décrit l’entrée dans les carrières de délinquants, de toxicomanes, de prostituées, de malades ou d’handicapés mentaux, de sans-abri et plus simplement d’assistés sociaux. En France, ces propositions ont eu beaucoup d'influence

déviance est créée par la société, les groupes sociaux et le système d’étiquetage. En effet, dans notre société aujourd’hui, il existe des normes qui sont propre à une institution ou codifiées par la loi, les individus n’y étant pas rattachés seront dit déviants dans cette société. La déviance est, en elle-même, la transgression d’une norme. Il existe différents types de déviance et à des niveaux différents, comme par exemple la délinquance qui est une alternative de la déviance

entre quelque part, nul sanction formelle n’est prévue mais celui qui ne dit jamais bonjour, risque d’être ignoré voir mis à l’écart. Ainsi on peut être sanctionné de manière formelle (qui ne respecte pas les lois) ou informelle (un comportement déviant) et avoir des sanctions prévisibles (griller un feu rouge = amende) et imprévisibles. Les sanctions sont des suites à ce qu’on appelle des règles macro-sociales c’est à dire tout ce qui touche ou concerne la vie en société. Les règles concernant les

de la délinquance dépend de la variation des normes Ce qui était déviant hier ne l’est plus aujourd’hui. La déviance ne peu se définir qu’en relation avec la normalité, ainsi il existe un lien entre la norme et la déviance. La théorie de l’étiquetage Un premier acte déviant est commis il fait ensuite l’objet d’étiquetage par les proches, ce qui produit 2 effets : -Elle amène l’intéressé à intérioriser une image de soi de déviant -elle limite ses possibilités de continuer à agir dans un cadre

forme du contrôle social Axe 3 – la déviance comme produit d’une interaction sociale Introduction : L’existence d’une norme implique le rapport à la norme et la définition de la conformité et de la déviance.  En la définissant on définit le déviant et le conforme, et les modes de contrôle de la norme. (par ex : Interdiction/ réglementation de l’usage du portable dans le règlement intérieur) Axe 1 - le contrôle social est-il de plus en plus formel/formalisé ? Sensibilisation : Extrait

signifie qu’il a franchi les limites de la marge tolérée. Le déviant ne se conforme pas, il s’individualise par rapport au groupe et agit selon des standards de conduite personnels, ou bien empruntés à un autre groupe (en général son groupe de référence) ou encore tout simplement aberrants. Les réactions du groupe dépendent : - du degré de déviance par rapport à la marge tolérable - du statut personnel du déviant avant sa reconnaissance comme déviant - de l’existence ou non d’une expérience de la déviance

construction des groupes dominants dans la société. Afin d’encadrer les individus, les personnes regardées comme dangereuses. Le crime est une construction afin de permettre les groupes dominants d’asseoir leur autorité sur les personnes délinquantes, déviantes. Le système pénal y est décris comme essentiel quant à la régulation des agissements. (Lire texte Karl Marx) Doit-on le notifier comme une réalité humaine préexistante au loi pénale ou bien le crime constitue t-il une construction sociale

susceptible d'être déviant puisqu'il s'agit du regard des autres. La stigmatisation fragilise car elle concerne l'individu directement dans son âme et dans son identité. C'est de la violence sociale. Certains déviants peuvent, par réaction, devenir fiers de leur stigmate, le revendiquer, voir même se sentir supérieurs car originaux. II. La déviance A. Définition Déviance : c'est une activité qui déçoit une attente, viole une norme ou nie une valeur. Un acte n'est pas déviant en soi mais