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Doc ENT / PLAN Travail d’amorce : Mémoire / histoire + devoir de mémoire / travail d’histoire + politiques de la mémoire L’imagerie de l’appel du 18 juin = (re)voir extrait vidéo et questions/réponses. De quelles sources disposent les historiens pour écrire l’histoire de la 2nde GM ? I- 1945-1960, le désir de rédemption nationale → Ct l’historien peut-il expliquer que l’immédiat après guerre n’ait pas permis l’émergence de toutes les mémoires ? ( ≈ émergence d’une sorte de « mémoire sélective »)

débarquements, de la libération de la France, de la libération des camps et de la victoire alliée en Europe, Dominique Vidal constatait que la France a succombé à nouveau à la « commémorationnite ». Dans ce contexte, comment concilier histoire avec devoir de mémoire ? Les historiens qui étudient la mémoire sont, en effet, confrontés d’une part aux lois qui veulent régenter la mémoire collective et, d’autre part, aux revendications des porteurs de mémoire, et en appellent donc à la vigilance. Si les

B) Le devoir de mémoire Chirac : discours 16 juillet 1995 → rend hommage au « Juste parmi les nations » : l'expression désigne les personnes ayant mis leur vie en danger pour sauver les juifs . → reconnu Chirac reconnaît officiellement la responsabilité de l'État Français (gvmt , SNCF , police , fonctionnaire) ds la déportation et le génocide des juifs . → création du devoir de mémoire : ne pas oublier , faire passer un message . Le devoir de mémoire : très manipulable

qui énonce au nombre des devoirs des époux celui de fidélité « Les époux se doivent mutuellement respect, secours, assistance », dans lequel vise avant tout la fidélité sexuelle et, partant, l’existence de relations sexuelles entre époux. De même, si nous cherchons encore plus loin, selon les dispositions de l’article 215 du Code civil qui dispose, « les époux s’obligent mutuellement à une communauté de vie », qui prouve que les relations sexuelles constitue bien un devoir du mariage et qui présente

liberté alors que le but de l'histoire n'est pas d'encenser une mémoire mais de chercher la vérité pour expliquer la passé. > Discours de J.CHIRAC : il reconnaît la responsabilité française dans la Rafle du Vel-d'hiv. La Shoah devient un objet d'un devoir de mémoire. ( des mémorial sont crées, comme celui de Shoah en 2005 → 76000 noms juifs y sont inscrits ) C ) Une résistance qui évolue > La mémoire de la résistance évolue : En 2007, J.CHIRAC ( alors président français ) rend hommage

colonne brisée sur les bas reliefs du monuments on peux y voir plusieurs soldats. TECHNIQUES UTILISES : L'auteur a utilisé de la pierre de taille et du calcair. SIGNIFICATION : Le monument aux morts est un monument de souvenir.Il y a un devoir de mémoire envers tout ces soldats morts pendant cette guerre. On doit se souvenir du nombre important de disparus , du sacrifice qui a préservé la liberté et l'identité nationale des survivants et de la peine des survivants. Avant il porté le nom

toute l’humanité. Par contre, on sent que le devoir de méditer « que cela fut » est sacré. L’auteur ne demande pas seulement de se souvenir : il ne s’agit pas d’un simple devoir de mémoire (au sens où l’on conserverait un souvenir en archives pour le sortir de temps en temps). Il s’agit de « méditer », de réfléchir. Levi appelle à une vigilance constante. Le texte se clôt par une malédiction, si l’on venait à oublier de manquer à ce devoir. Elle occupe trois lignes, et maudit cette personne

déportation (nus, maigres, wagons, survivre, voyage, allemands, miradors…) et de l’espoir (ils se croyaient, survivre, obstinément, distiller l’espoir…). Cet hommage fait partie de ce qu’on nomme le devoir de mémoire (commémoration pour ne pas oublier et ne pas reproduire les erreurs du passé). Ce devoir est clairement mentionné dans la phrase « Pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez ». Les nombres cités font référence au fait que les prisonniers du camp de concentration d’Auschwitz avaient

L'histoire traditionnelle, celle qui était produite avant les années 1970, s'emparait de la mémoire nationale et républicaine pour la structurer et l'enraciner dans la continuité. L'histoire actuelle semble plutôt mise au service de la mémoire (notion de "devoir de mémoire"). B – La mémoire : une évolution permanente ×La mémoire est avant tout portée par des groupes : Comme le dit l'historien Pierre Nora, "la mémoire est la vie". Elle peut ainsi être ouverte au souvenir et à l'amnésie ; ce qui la rend

régime de Vichy. De plus, un devoir de mémoire apparaît, que ce soit pour l'État ou pour les Français. Le discours de Jacques Chirac le montre bien, il rappelle toutes les atrocités qui ont été faîtes en France aux déportés, sans oublier l'existence des camps de transit, comme celui de Pithiviers « les victimes devaient attendre plusieurs jours, dans les conditions terribles que l'on sait, d'être dirigés sur les camps de transit -Pithiviers [...] », l.22-23. De plus, le devoir de mémoire est protégé par