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l’Égalité des Chances. Informations et commandes : egalite@cfwb.be litterature.jeunesse@cfwb.be Pour tout renseignement : isabelle.decuyper@cfwb.be Pour les commandes : annie.kusic@cfwb.be ISBN 2-930071- -92-3 D/2012/7823/4 © Tous droits réservés 2 Septembre 2012 Préface D  iffuser la littérature de jeunesse, la donner à voir, permettre à chacun de la connaître et de l’apprécier est une mission importante que je mène en valorisant notamment la création des auteurs

des maximes, empruntées aux hommes éminents de toutes les époques. D'abord, pour bien montrer au lecteur qu'en lisant mes recommandations, en suivant mes conseils, ce n'est pas moi obscur écrivain, qu'il écoute, mais bien la voix de ceux qui ont le droit de parler. Ensuite, parce que je sais que la mémoire, paresseuse de nature, retient mal l'enseignement qu'on lui donne, et que rien ne l'aide autant à se rappeler ce qui peut être profitable à l'esprit que ces formules concises, cette quintessence

cachée sous les arbres, baignée par les eaux du lac, ne révélait rien de leurs entretiens, ni même de leur présence. Trois ans s’étaient écoulés depuis qu’ils s’aimaient ; séparés de temps en temps pour quelques semaines – quels siècles ! – lorsque le devoir de sauvegarder les apparences les contraignait à donner, chacun de son côté, un peu de temps à la famille ou à l’amitié, ils se retrouvaient ensuite avec une joie sans bornes dans quelque maisonnette au fond des bois, au bord de la mer, dans la montagne

question : quelles sont les bonnes qualités d’un bon souverain ? Existe-t-il une guerre juste ? Pour un auteur humaniste seulement la guerre défensive se justifie. 4. La liberté : fais ce que tu voudras. (L’abbaye) Cette liberté individuelle mène à une société épanouie et fraternelle. Le parcours rire et savoir : derrière le rire, l’œuvre de Rabelais témoigne d’une soif de connaissance typiquement humaniste. 3. Pierre de Ronsard 1578

La renaissance du parfum : Le parfum, objet de création, de marketing et de droit PREAMBULE ........................................................................................ 6 CONSTAT DE LA SITUATION ........................................................... 7 Une attitude rencontrée dans d’autres secteurs .......................... 8 Les usages de la profession........................................................... 9 L’anonymat du compositeur................................

Habitation de Jean-Jacques Rousseau aux Charmettes. Près Chambéry. Signée : J. Werner del. Lith. J. Perrin Libr. Édit. à Chambéry. 3. Planche représentant l'Ermitage de Montmorency signée à gauche : Guyot del, au milieu : Aubert aqua forti, à droite : Gossard, sculp. (Une petite planche analogue avait été dessinée en 1819 par C. Bourgeois.) 4. 12e figure de Gravelot pour la Nouvelle Héloïse gravée par J. Folkéma pour une édition qui parut à Amsterdam, en 1761, chez Marc-Michel Rey, en 6 volumes

DCG 3-UE7 04/02/13 DEVOIR DE MANAGEMENT N°3 Durée : 4 heures Il vous est demandé d'accorder un soin particulier à la rédaction et à la présentation de votre copie. Ces éléments seront pris en compte dans la notation Première partie : Etude d'une situation d'entreprise (13 points) A partir de vos connaissances et des annexes (1 à 11), vous répondrez

l'acrimonie ; mordant. Un ton acrimonieux. admonestation Avertissement solennel, remontrance. admonition Avertissement fait à quelqu'un sur sa conduite. afféterie Manières affectées et prétentieuses. affidé Péjoratif. Affilié à une société secrète ou dévoué à quelqu'un dans l'exécution de desseins coupables. ahaner Faire entendre des ahans. aise Contentement, satisfaction, joie. Rougir d'aise. alacrité Gaieté vive, entraînante. allant Se dit de quelqu'un qui a de l'entrain

VIE DE BENJAMIN FRANKLIN ÉCRITE PAR LUI-MÊME, TOME I TOME PREMIER. an VI de la République. PRÉFACE DU TRADUCTEUR. Pendant les dernières années que Benjamin Franklin passa en France, on parloit beaucoup, dans les Sociétés où il vivoit, des Confessions de Jean-Jacques Rousseau, dont la première partie venoit de paroître. Cet Ouvrage, dont on peut dire et tant de bien et tant de mal, et qui est quelquefois si attrayant par les charmes et la sublimité du style, quelquefois si rebutant par l'inconvenance

et ce n'est pas cela que j'approuve. Son éducation se sentit de cette négligence. Il prit le train du libertinage, même avant l'âge d'être un vrai libertin. On le mit chez un autre maître, d'où il faisait des escapades comme il en avait fait de la maison paternelle. Je ne le voyais presque point ; à peine puis-je dire avoir fait connaissance avec lui ; mais je ne laissais pas de l'aimer tendrement, et il m'aimait autant qu'un polisson peut aimer quelque chose. Je me souviens qu'une fois que mon père