Dhimmi

OTT appellent la “Roumélie”). pop mixtes : OTT ont amenés des turcs avec eux ; dans l’espace anatolien, majorité musulmane et turque ; dans l’espace balkanique, majorité chrétienne. début des conversions vers l’Islam pour plusieurs raisons : foi dhimmi : statut avec inconvénients (impôt [djizîa], habits différents, pas de construction d’églises) 1372 : Souverain bulgare (qui a pris le titre de tsar) donne sa soeur Tamara en mariage au sultan Murad. Murad exige de l’empereur byzantin de l’aider

et tolérance caractérisaient, par ailleurs, la politique arabe à l’égard des « gens du Livre », qui bénéficiaient du statut de « dhimmi ». Grâce à l’Islam, ils purent revenir à Jérusalem, la ville sainte dont ils avaient été bannis, avant d’être tentés, de plus en plus, par la conversion à l’Islam, facilitée par l’exemption de l’impôt, payé uniquement par les « dhimmi ». Tous ces facteurs expliquent la disparition dans la « longue durée » de la majorité juive en Palestine. Ils expliquent aussi la

religieux. En effet, sur le plan religieux, l’islamisation reste très partielle et n’est pas imposée à ces populations, du moment qu’elles reconnaissent la supériorité de l’Islam (de ce fait, elles écopent d’un statut social inférieur portant le nom de « dhimmi) et respecte le droit musulman. Au quotidien, seul le domaine fiscal est concrètement impacté par cette dichotomie religieuse. Tous les individus « lambdas » (non exhonérés) vivant sur le territoire arabo-islamique payent des impôts, cependant le

le respect des pratiques religieuses, des institutions, arts et pratiques commerciales des chrétiens et des juifs a permis au sultan de dynamiser la ville. Les chrétiens, dont les Grecs orthodoxes, et les juifs bénéficient en Islam du statut de dhimmi : payant un impôt supplémentaire, ils ont une relative liberté de culte. Les Grecs conservent leur chef spirituel, le patriarche orthodoxe, maintenu par les sultans et nommé par eux. Cette bienveillance des musulmans à l’égard des autres communautés

souvent été contraint de vivre dans des rues ou quartiers à part (les ghettos). Ils ne pouvaient être proprio terrien donc ils allaient vers la finance. Parfois même plus protégés en terre d’Islam que chrétienne au Moyen-Age, on les appelle les « dhimmis » (gens du Livre) qui payent un impôt en échange duquel tolérance religieuse. De grands intellectuels ont montré des contacts très intenses entre les deux mondes juifs et musulmans au MA, comme Moïse MAÏMONIDE (12ème siècle), philosophe à Cordou et

donner naissance à des minorités. On appelle mozarabes les chrétiens installé dans la partie musulmane. On appelle mudejars les musulmans qui vivent dans les territoires chrétien. Dans l'Espagne musulmane, les chrétiens aussi bénéficie du statue de dhimmi. Cela est aussi valable pour les juifs. Ils sont protéger, ils conservent la liberté de culte mais ils doivent apporter des signes distinctifs. Il paye un impot particulier et certains métiers leurs sont interdit. Les rois chrétiens accordent des

développe aussi une poésie et une musique d’origine musulmane. B/ L’Andalousie • Domination musulmane (à partir du 8ème siècle) mais les populations chrétiennes soumises aux musulmans (appelées Mozarabes) et population juive. Statut social : les Dhimmi « les protégés » : en échange de l’impôt. • Une civilisation avec de nombreux savants en philosophie, médecine : Averroès (Philo) ; il travaille sur Aristote, distingue la science et la religion. Maimonide : médecine. • Dans les territoires

l’essentiel de la Palestine. Les Juifs forment une diaspora = un peuple qui a perdu son unité géographique originelle mais qui garde des liens culturels. A partir du VIIème : deux catégories : * Sépharades Mise en place par les musulmans du statut du Dhimmi, qui permet aux Juifs de continuer à pratiquer leur religion * Ashkénazes Les Juifs seront victimes d’un antijudaïsme car « assassin du Christ ». Interdiction de mariage entre Juifs et Chrétiens. Interdiction de certains métiers aux Juifs.

l'empire ottoman comptait une majorité de chrétiens (Slaves, Grecs, Arméniens, Caucasiens, Assyriens....). Ils jouaient un grand rôle dans le commerce et l'administration, et leur influence s'étendait au Sérail, le palais du sultan. Ces «protégés» (dhimmis en arabe coranique) n'en étaient pas moins soumis à de lourds impôts et avaient l'interdiction de porter les armes. Les premiers sultans, souvent nés d'une mère chrétienne, témoignaient d'une relative bienveillance à l'égard des Grecs orthodoxes

limites 1 Questions A Observer les documents 1. Reconstituer une chronologie succincte de l’histoire de l’Espagne médiévale d’après le doc. 2. 2. Décrire le doc. 3. 3. Expliquer les mots : dhimmis (doc. 1), mihrab (doc. 4), synagogue (doc. 5), Almoravides (doc. 6), thésauriser (doc. 6). a. Statut des dhimmis , chrétiens et juifs en terre d’islam… On ne saluera pas non plus [les chrétiens et les juifs] avec la formule : « la paix sur toi » car « Satan s’est emparé d’eux entièrement et leur a fait