Diabète de type 1

I°) Les répercussions du diabète 1- Epidémiologie Les dernières études montrent une épidémie en forte hausse. En effet en France en 2009, on estime à plus de 3.5 millions le nombre de personnes atteintes, des chiffres attendus normalement pour 2016. Le taux de prévalence du diabète était en 2006 de 3.95%, en 2009 il atteint selon l’INVS (institut national de veille sanitaire), les 4.4%. Le nombre de patients diabétiques est passé de 1.6 à 2.9 millions. Le gros de ces chiffres concernent

Introduction : Le diabète occupe une place importante dans l’histoire de la médecine. Elle fut observée pour la première fois en 1500 AV JC par Eber, médecin Grec pour les symptômes suivant (urine abondante et sucrée, soif et faim excessives). En attendant la découverte de l’insuline et au début du 19ème siècle, les approches chimiques sur la présence de sucre dans l’urine base la maladie sur un déséquilibre alimentaire. Vers le milieu du 19ème siècle que les médecins basent leurs travaux sur

noter : Cardiopathie ischémique / HTA / Insuffisance cardiaque Diabète insulinodépendant ( diab type 1) ( tté par métformine jusqu’en août, relais Lantus) Coxarthrose bilatérale, gonarthrose Gche, spondylarthrose lombaire Sd sub occlusif en 2008. Hernie ombilicale port d’une ceinture. Actuellement on peut noter : OMI → port de bas de contention (type cohebans) Surpoids IMC Prise de poids de 10 kg en 1 mois et demi. Derniers résultats de bilans biologiques : INR :

la détermination de l’état artériel, la détermination de l’objectif de traitement, les conseils (mode de vie, médicaments) et le suivi. BILAN LIPIDIQUE  Le dépistage d’une dyslipidémie repose sur l’EAL (exploration d’une anomalie lipidique) (Tableau 1).  Tous les adultes (< 80 ans) doivent être dépistés dès lors qu’ils ont un facteur de risque mais il n’est pas justifié de répéter ce bilan lorsqu’il est normal.  En cas de valeurs anormales,une confirmation est indispensable.  On peut individualiser

Les phénotypes diabétiques Le diabète correspond à une hyperglycémie chronique, diagnostiqué après une HGPO à une valeur de 1,26 g.L. On distingue deux types de diabètes : Le DID, diabète insulino-dépendant ou diabète de type I (dit maigre) Le DNID, diabète non insulino-dépendant ou diabète de type II (dit gras) Néanmoins les complications à long terme de ces deux maladies sont identiques : - lésions de petits vaisseaux, la microangiopathie diabétique

Prévention et traitement du diabète de type 2 Le diabète de type deux est aussi appelé diabète non insulino-dépendant, diabète gras ou de la maturité. C’est une maladie métabolique caractérisée par un excès chronique de sucre dans le sang. Le diabète est une maladie qui doit être prise en charge précocement : -ralentir l'évolution -limiter les complications. Il existe deux types

que plusieurs organes (pancréas, foie et rein principalement). Cette régulation fait partie des processus de maintien de l'homéostasie au sein de l'organisme. La glycémie à jeun normale chez l'homme est statistiquement comprise entre 0,80 et 1,10 g/L 1. Le glucose joue un rôle capital dans l'organisme : c'est un substrat catabolique servant (entre autres) au fonctionnement de l'ensemble des cellules de l'organisme dont les muscles, le cerveau et les hématies. La régulation de la glycémie est contrôlée

Problématique : En quoi le diabète est il un véritable fléau dans notre société moderne ??? Introduction : Bonjour à tous, nous sommes heureux de vous présenter notre TPE : 2011/2012 porter sur le thème : Santé &amp; Bien être à travers le quelle nous étudierons les méfaits du diabète dans notre société moderne. Pour cela nous nous intéresserons à l’organe cible touchées par le diabète et nous verrons les conséquence de sa défaillance. Par la suite nous différencierons les trois types de diabètes les plus souvent

Révision d’Endocrinologie – Groupe 2 (09/12/2014) Révision d’Endocrinologie Groupe 2 (09/12/2014) 1. Tumeurs Hypophysaires : a. Adénome Lactotrope [Définition | Clinique | Diagnostic | Traitement]. b. Adénomes Corticotropes [Définition | Clinique | Paraclinique | Traitement]. i. Diagnostic du Syndrome de Cushing. ii. CAT devant une hyper corticolisme endogène. c. Adénome Somatotrope [Définition | Clinique | Complications | Traitement] i. Complications de l’acromégalie. 2. Insuffisance Antéhypophysaires

Le Diabète PR.RIGALLEAU UE 2.7.S4, 2011 V Rigalleau • Définition, physiopathologie La définition a été difficile à obtenir, on en dispose depuis une petite quinzaine d’année • Hyperglycémie chronique avec risque de complications (OMS) (complications dues à la chronicité) – > A partir de 1.26 g/L à jeun (2 prélèvements pour assurer la maladie) -> 2g/L après 2h de la prise de glucose (pas besoin de vérification) Effectivement à partir de ce seuil, 6 ans et demi après on remarque