Dialogue intercongolais

Didascalies expressives Didascalies textuelles La double énonciation Les émetteurs Les récepteurs LE DISCOURS THÉÂTRAL Les formes du discours La réplique Le dialogue L'aparté Le monologue La tirade Le récit La stichomythie La sentence Pragmatique du discours théâtral Le fonctionnement du dialogue Les conditions d'énonciation L’implicite Les procédés du dialogue Les enchaînements Les interruptions Les répétitions Dramaturgie de la parole La parole-action L'échange d'informations L'adresse au public L'aparté

subjectives, les jugements et prises de position personnels. Inachevé, l’essai est aussi «interminable». On peut imaginer une suite ou, comme Montaigne, des ajouts à l’infini. III - Un genre ouvert 1.Un genre dialogique • Genre ouvert, inspiré du dialogue et de la lettre, l’essai laisse une large place à la discussion et au débat d’idées. II intègre volontiers la pensée d’autrui. Les citations, les allusions plus ou moins directes à d’autres textes sont fréquentes, pour renforcer ou au contraire réfuter

à Dom Juan : • DJ devient provocateur lorsque P lui promet attirer faveur C en échange du don d'argent : reproche de monnayer infos, alors qu'il devrait agir de manière desintérréssé • S'emploi à démystifier pouvoir prière par ironie : se sert dialogue pour conduire démonstration logique par déduction en manipulant P : - impératif méprisant, arrogant - interrogatives sous-entendue - puis déclarative, généralisante et négative Réponses P nourrissent arguments et railleries : • Prier pour

déjà de façon éminente chez Platon. En effet, à la question que lui pose Théétète dans le dialogue du même nom : "Qu'est-ce que tu appelles penser ?", Socrate répond ainsi : "Une discussion que l'âme elle-même poursuit tout du long avec elle-même à propos des choses qu'il lui arrive d'examiner". Et il ajoute ensuite : "Car voici ce que me semble faire l'âme quand elle pense : rien d'autre que dialoguer, s'interrogeant elle-même et répondant, affirmant et niant".[1] Platon conçoit donc la

son sourire en signe qu’elle ne parlerait pas et qu’il ne se dérangeât pas ». Au début de la liaison entre Marin et Madeleine, Madeleine se contente de dire trois fois « Non » quand il lui dit que son père est un homme « méchant et fou », puis ce dialogue est remplacé par le langage des corps : «Elle avança ses doigts. Ils se touchèrent et ils sursautèrent. Puis ils étreignirent leurs mains, avancèrent leurs ventres, avancèrent leurs lèvres » De même lors de la dernière visite de Marin Marais au

monologues *séq. 2 & 4 : présentation du tableau, ialogue et didascalies *séq. 5 & 6 : bilan ind. De l'entrevue, monologues * Structure très carthésienne : a b a b c c Modalités de paroles très diversifiées dès le début. * Dialogue: *double exposition : échanges entre persos + renseignemt spectateur *express° naturelle, minimaliste *thème : toile contemporaine *mise en abîme du dialog. , procédé se désignant («A qui tu parles ?») * Séq. 2 : mise en place du malaise

effet celui-ci est marqué par la fin de l’illusion de Ruy Blas qui se plaisait dans ce monde de noblesse. Tout d’abord dans la scène précédente Ruy Blas déclare son amour à la reine qui, de plus, est réciproque comme en témoigne d’une part les dialogues mais aussi la mise en scène qui souligne la promiscuité du duo et la sincérité de leur amour. Cependant, dans la scène que nous étudions le retour de Don Salluste que n’avait pas envisagé Ruy Blas est marqué au début de la scène par la didascalie : « effaré »

Charmide Personnage * Critias : Critias est le neveu de Glaucon, qui est le grand-père de Platon. Il est représenté dans le dialogue sous les traits d’un homme d’une trentaine d’années, habile. Il est mort lors d’une banale bataille de rue contre des démocrates, près du Pirée, en -404. L’une des accusations portées plus tard contre Socrate vient de ses relations avec ce personnage. * Charmide : Charmide est l’oncle de Platon et le frère de Périctionè, la mère de Platon. Platon le décrit

commun à l'oral. Écrire quelque chose, implique de contextualiser ses propos afin qu’ils soient compréhensibles par le destinataire. Un énoncé comme « ils sont longs comme ça et puis épais comme ça on en a là » est tout à fait compréhensible dans un dialogue oral mais ne peut être interprété à l'écrit. Le scripteur doit donc préciser à quoi renvoie le « Moi-Ici-Maintenant ». ➢ La construction du sens message : dans un échange oral l’interlocuteur peut par ses manifestations linguistiques et

Comment ces dialogues de roman contribuent-ils à la construction des différents personnages ? Lorsque les personnages prennent la parole, c’est souvent pour faire avancer l’action mais on apprend aussi des informations sur eux à travers différents détails. Premièrement, le langage du personnage est assez révélateur de son éducation, sa classe sociale, ses origines ou de sa perception du monde. C’est donc un élément majeur de sa construction. Dans l’Assommoir, Zola s’est efforcé de restituer