Dialogue Interreligieux

contre Don Guritan en utilisant un dialogue savoureux et décryptant l’affrontement. En premier lieu, on remarque que Don César et Don Guritan utilise un dialogue savoureux, marqué très fortement par un esprit de compétition qui est souligné par l’emploi de la première personne : «  Jarrive «  vers1865, ‘’et moi’’vers1869, j’ai vers 1875. Il y a aussi une utilisation importante de la ponctuation, des exclamations et des interrogations qui marquent un dialogue haut en couleurs. Chacun des personnages

» narrataire. Elle parle à quelqu’un de précis : sa fille Françoise qu’elle aime énormément. Elle envoie ses nombreuses lettres pour combler la distance entre elle et sa fille. « ma chère fille ».• Echange de propos, impression de discours oral, dialogue écrit. « Vous me demandez » qui renvoie à une lettre précédente. « Ah ! » interjection orale qui donne l’impression de parole, il donne de la vivacité au récit, il exprime les sentiments. 2. La mise en scène de l’affectivité La tonalité exprimée

d'espoir vivante, la plus petite chance d'espoir à étrangler. Nous sommes de ceux qui lui sautent dessus quand ils le rencontrent, votre espoir, votre cher espoir, votre sale espoir ! 1. Une péripétie : – Jusqu’à maintenant Créon dominait le dialogue ; après la découverte de la vérité sur ses frères, Antigone est comme assommée (ANTIGONE murmure, le regard perdu), elle est sur le point d’obéir à Créon. Mais il commet une maladresse en parlant de bonheur (alors que lui-même a déclaré que le bonheur

comportementale" ; Le message de l'abeille en fait agir une autre. Il n'y a donc pas circularité ou échange réciproque. Le message ne transite jamais que dans un sens. Cette absence de dialogue interdit toute élaboration commune d'une information. Il n'y a pas d'enrichissement de l'information par le destinataire. " Le dialogue (...) condition du langage humain " : Si la communauté animale se caractérise par son "unilatéralité" i.e. l'absence de réponse, c'est donc faute d'une telle circularité qu'il est

Célimène c-Arsinoé : Arsinoé, est une amie de célimène. Dans la pièce, elle est décrite comme dévote prude et jalouse. Lors d’une tirade, Célimène en fait le portrait, que nous allons voir par la suite. II. Confrontations dans la pièce a- Le dialogue entre Arsinoé et Célimène Acte III, scène 4, vv. 961-1000 ARSINOÉ À quoi qu’en reprenant on soit assujettie, Je ne m’attendais pas à cette répartie, Madame, et je vois bien, par ce qu’elle a d’aigreur, Que mon sincère avis vous a blessée au cœur

Objet 4 : Argumentation L'argumentation essai, apologue, dialogue - littérature d'idées = toute littérature où l'idée, le message est pré existant et central dans le texte. Deux façons : argumentation directe -> thèse défendue par des arguments => Preuve, raison et démonstration = LOGIQUE argumentation indirecte : thèse transmise par le biais de la fiction -> facile d'accès - information -> constat - opinion -> interprétation, jugement non construit - idée -> analyse, construction

partenaire (réel ou imaginé, individuel ou collectif). Cette caractéristique pose le cadre figuratif de l’énonciation. Comme forme de discours, l’énonciation pose 2 figures nécessaires : la source et le but de l’énonciation : c’est la structure du dialogue (discussion sur le statut du monologue et de différentes formes de discours p. 11). Chapitre 2 – La nature des pronoms Si chaque locuteur disposait d’un « indicatif » distinct pour exprimer sa subjectivité, il y aurait autant de langues que

ne nous entend plus. J’essaye en vain de lui parler en l’appelant « Madame », mais je n’ai pas de réponse, je lui prends donc les mains, lui demande son prénom. Elle me donne le sien, puis, me demande alors le miens. J’essaye alors d’instaurer un dialogue entre elle et moi afin qu’elle pense a autre chose. Mais elle me parle à nouveau de son ancienne hospitalisation et de sa peur de mourir à ce moment la, et évidemment de sa peur que ceci se reproduise. Je reprends sa tension environ toute les deux

nous pensons et la pensée ne devient clair que lorsqu’elle trouve le motil n y a pas de pensées sans les mots Idée 2 : penser, c’est se parler à soi mêmePlaton : il définit la pensée comme ce dialogue intérieur que l’âme entretient en silence avec elle mêmeL’âme quand elle pense ne fait rien d’autre que dialoguer, elle s’interroge elle même et se répondL’activité de pensée n’est rien d’autre qu’une parole intérieure que l’on s’adresse à soi même Idée 3 : penser, c’est élaborer par la parolela cure psychanalytique

relation. | | stratégie de coopération : rechercher le consensus durant la communication, écouter l’autre et ses arguments. | | stratégie de résistance ou d’opposition : être réfractaire au dialogue, s’entêter sur ses positions. La communication est difficile. | | stratégie d’évitement : fuir le dialogue, éviter le conflit. La communication est rompue. | | stratégie d’influence : essayer de faire changer l’opinion ou le comportement de l’autre. Il existe plusieurs types de stratégie d’influence :