Dialogue Sujet D Invention

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2009 ÉPREUVE ANTICIPÉE DE FRANCAIS TOUTES SÉRIES Durée de l’épreuve : 4 heures Coefficient : 2 en séries S – ES 3 en série L L’usage des calculatrices est interdit. Le candidat s’assurera qu’il est en possession du sujet correspondant à sa série. Corrigé Bac 2009 – Série L – Français – Pondichéry www.sujetdebac.fr Objet d’étude : Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV

Jordy • Les modalités peuvent être variées, créatives : des travaux d’écriture :  invention, lettre à l’auteur, réécriture ;  dissertation : large corpus d’extraits à exploiter ;  réalisation d’une anthologie de scènes, de topoï, avec paratextes et notes sur le lexique ou glossaire à l’oral :  préparer un argumentaire pour une rencontre, réelle ou imaginaire, avec l’auteur… Madame Fize, IA-IPR, renvoie à ce sujet à un article de L’École des Lettres, sur la lecture cursive de la seconde à la première

Glaucon, que le mythe a été sauvé de l'oubli et ne s'est point perdu. Il peut, si nous y ajoutons foi, nous sauver nous-mêmes. » La République, X. Dans quel dialogue ce mythe est-il raconté ? Le mythe d'Er figure dans le livre X de La République de Platon. Il constitue la dernière partie de cette ouvrage. « La République » C'est un dialogue en dix livres de Platon, dont le but est de définir la justice chez l'homme. Pour ce faire, Socrate est amené à décrire la cité modèle et le gouvernement idéal

temps tous les passages relatifs à ce sujet. » L’éducation donnée par ce précepteur est vivante par le dialogue entre Gargantua, son élève et lui-même. En effet, l’étude se fait par oral. Gargantua récite, lit à haute voix. De plus, dans le chapitre 21, le champ lexical du dialogue est très présent : « à voix hautes et claires », « avec la prononciation requise »,  « on lui répétait les leçons de la veille », on lui faisait la lecture », « en discutant du sujet de la lecture »… L’éducation de ce précepteur

d'affaiblir le sujet mythique ou historique, est la condition de son actualisation : plutôt que travesti ou véritablement reproduit, le sujet est réinterprété en termes modernes, et peut dès lors être investi de nouveau par l'imaginaire". En effet, pour le critique, la reprise et l'adaptation d'un sujet mythique ou historique pour la tragédie, loin de le desservir et de l'appauvrir, enrichit au contraire la source et lui permet de survivre en entreprenant sa réactualisation dans l'époque. Le sujet mythique

Le Langage La pensée et son langage Mais encore faut-il que cette pensée existe. Il nous semble illusion doxique que nous avons de toujours une pensée indépendante des mots, c'est la pensée du sujet par lui même, ce que la tradition appelle conscience. Il suffirai de se tenir et de plonger en soi pour rencontrer cette pensée fondatrice sur laquelle viendra se déposer les autres. A/ Position doxique On a le sentiment que les mots nous trahissent, d'une pensée qui est beaucoup plus riche

ème siècle Contexte historique : Essor Technique et scientifique -  l'invention de l'imprimerie par Gutenberg, dont le premier livre imprimé en 1454 a été la Bible. -  multiples inventions techniques : la caravelle, la boussole et la cartographie, qui facilitent la navigation maritime, ou la peinture à l'huile qui révolutionne la façon de peindre. - nouvelles démarches scientifiques : le corps humain et de découvrir la circulation

étant en relation avec l’industrie ce qui est d’ailleurs à l’origine de la divulgation des idées et pratiques expérimentales au sein des scientifiques français. Certains déposent même des brevets ou traités sur des mises au point, construction et invention. C’est cependant le domaine de la technique qui domine aux yeux de l’industrie, tel est le cas de Jamin qui met au point sa propre variante sur la bougie Jablochkoff qui «pourrait ainsi éclairer toute une grande ville par une usine rayonnant dans

que ce dernier dialogue. En eux, « [Montaigne] puisse comme les Danaïdes, remplissant et versant sans cesse » (l. 2-3 ). Dans ces deux auteurs, il trouve une source infinie d’idées et de réflexions, mais Montaigne « parl[e] indifféremment de tout ce qui se présente à [sa] fantaisie » ( l. 18-19). L’imagination de Montaigne est le point de départ de toutes ses réflexions. A ses yeux aucun sujet traité n’a plus de valeur qu’un autre, d’ailleurs Montaigne ne choisit même pas ses sujets, ce sont eux « qui

narration→ un discours didactique au service de la leçon de morale politique humanistePremier mouvement (3ers paragraphes)  : 1er paragraphe : •  l'auteur utilise les procédés du genre épistolaire en mettant en place un dialogue fictif entre l'expéditeur (Grandgousier) et le destinataire de la lettre (Gargantua) par l'emploi des pronoms « je » et « te » et les adjectifs possessifs de la 2ème personne du singulier