Diamantaire

nommée Dia Met, ils ont su acquérir tous les permis nécessaires et tout cela sans éveiller la curiosité de l’ « ogre » De Beers. Ils ont eu la brillante idée de proposer leurs affaires à d’autres entreprises minières jusque-là en dehors du marché diamantaire et c’est finalement un autre groupe britannique BHP Billiton qui s’engage dans ce projet. BHP a mis les moyens nécessaires pour la construction de l’implantation minière qui lui a couté 700 M$. La «EKATI Diamond Mine™» (Ekati) fut alors créée

tracé d'un fossé du XVIe siècle destiné à repousser les Espagnols. Comme tout port d'envergure internationale, Anvers présente parfois un aspect légèrement défraîchi. Pourtant, derrière les façades discrètes du quartier juif s'active l'industrie diamantaire la plus importante du monde. En fait, il existe peu d'endroits où l'ancien et le nouveau s'accordent avec autant d'harmonie. À Anvers, les bâtiments Art nouveau côtoient le plus naturellement du monde des demeures néo-Renaissance, et les tours médiévales

s’est développée aussi bien au niveau économique qu’au niveau social. En effet, les régions belges possèdent des atouts économiques : la Flandre concentre de nombreuses entreprises spécialisées dans l’agroalimentaire ainsi que l’automobile et le diamantaire. On y trouve également dans cette région le port de Zeebrugge et d’Anvers, des éléments indispensables pour se développer à l’international. Ensuite il y a la région de Wallonie. On y trouve essentiellement de l’industrie chimique, de l’aéronautique

diamant brut, le groupe De Beers, a cédé le 4 novembre pour 5,1 milliards de dollars ses 40% du capital de De Beers à l’empire minier Anglo American. Et ce, alors que De Beers représentait une affaire de famille depuis près d’un siècle. Cette société diamantaire, fondée en 1888 à Kimberley, avait été rachetée en 1927 par Ernest Oppenheimer, émigré juif allemand ayant fondé dix ans plus tôt l’Anglo American Corporation. Les bijoux, certes, restent bien gardés: l’Anglo American connaît parfaitement le business

ville Disparition de Joseph Suzanne et Carmen 147-154 « La première fois... » La ville Suzanne à la ville, au cinéma ; rencontre de Joseph 155-162 « huit jours et huit nuits » ; « La mère en avait presque fini avec les diamantaires » La ville Fugue de Joseph ; Suzanne : Carmen, le cinéma ; la mère 163-169 « Le lendemain il rencontrerait la mère » La ville Rencontre de Barner 169-175 « l'après-midi même » La ville Rencontre de la mère et de

144-146 Imparfait ; « pendant cinq jours » ; « un soir » « au bout de deux jours » ; « pendant quelques jours » ; « bientôt » ; « dès le jour où... » « La première fois... » « huit jours et huit nuits » ; « La mère en avait presque fini avec les diamantaires » « Le lendemain il rencontrerait la mère » « l'après-midi même » « un après-midi » Prolepse (« Sauf la mère, mais bien plus tard ») « un après-midi » ; « dès le lendemain » ; « au bout de quelques jours » « un matin » Analepse (« La mère avait

horloger avec la collection Christal. Chaumet, prestigieux joaillier de la place Vendôme, poursuit son développement mondial ciblé. Fred renforce son identité de joaillier créateur contemporain. De Beers affirme son positionnement de joaillier diamantaire. Perspective Au sein d’un marché horloger et joaillier qui sera difficile en 2009 du fait de l’environnement économique, le groupe d’activités Montres et Joaillerie a pour objectif de continuer à gagner des parts de marché tout en consolidant

transformation comme les raffineries de sucre ou le broyage du tabac. Dans les boutiques le long du Dam s"étalent les plus belles soieries, les tapis les plus rares, mais aussi les bijoux les plus précieux, car Anvers a fait fuir vers Amsterdam nombre de ses diamantaires juifs et protestants. Et ses marchandises aussi sont rassemblées dans les immenses magasins des Compagnies des Indes orientales. Amsterdam au XVIIe siècle 6 Exposé Le commerce de la V.O.C. en Asie et les territoires ayant constitué l'empire

ville Disparition de Joseph Suzanne et Carmen 147-154 « La première fois... » La ville Suzanne à la ville, au cinéma ; rencontre de Joseph 155-162 « huit jours et huit nuits » ; « La mère en avait presque fini avec les diamantaires » La ville Fugue de Joseph ; Suzanne : Carmen, le cinéma ; la mère 163-169 « Le lendemain il rencontrerait la mère » La ville Rencontre de Barner 169-175 « l'après-midi même » La ville Rencontre de la mère et de

l'un de ses fils, Gilbert, sympathisant communiste, est parti rejoindre une association à but non lucratif dans le tout premier "village vacances", à Majorque, aux Baléares. Il a été créé par Gérard Blitz, un personnage haut en couleur, fils de diamantaire belge, ancien résistant, ex champion de water-polo (il sera d'ailleurs un des rares Juifs à participer aux JO de Berlin en 1936), également passionné de yoga et de mysticisme oriental. C'est l'entreprise Trigano qui loue alors à Blitz les tentes