Dichotomie Sphère Reelle Et Monétaire

Chapitre 5: Politique monétaire Introduction"Il est bien sûr évident que la monnaie n'est rien d'autre que la représentation du travail et du produit et qu'elle ne sert que de méthode pour les mesurer et les évaluer. Lorsqu'il y a plus grande abondance d'espèces, comme une plus grande quantité d'entre elles a pour objet de représenter la même quantité de biens, cela ne peut avoir aucun effet, ni en bien ni en mal... pas plus que cela ne changerait les comptes d'un marchand qui, au lieu d'utiliser

on retrouve cette conclusion libérale que la monnaie ne sert à rien), passionnant. Comment l’argent est au coeur de nos sociétés et comment l’argent s’est transformé au cours du temps. On lie l’inflation à la monnaie, pas uniquement un phénomène monétaire. John Stuart Mill écrit en 1848 « il n’existe pas dans l’économie d’une société quelque chose de plus insignifiant que la monnaie ». Abba, « money, money, money » Contexte: la Grèce est à l’origine si ce n’est la cause d’un rejet de plus en plus

recherche constante d'une forte rentabilité : ➢ Mais : Raréfaction des projets non-risqués. ➢ D'où : Hausse des investissement dans les projets risqués. ➢ Mais : Défaut des créantier des subprimes. ➢ D'où : Peur d'un passage de crise financière économique/réelle. ➢ à crise Quelles sont les limites fixées par les pays d'Europe pour garantir une bonne croissance? ➔ ➔ 60% de dette publique : Actuellement de > 80% 3% de déficit : Actuellement de > 5% Qu'est ce que la Tritrisation? Émission

Amphi : Economie contemporaine 22/09/11 Introduction. Opérations réelles : achat de biens et services. Opérations financières : Les agents peuvent dépenser plus que leurs revenus, ils vont donc emprunter, continuité dans le temps. Pour ces opérations, on utilise la monnaie. On parle d’opération monétaire en contrepartie作为回报 des autres opérations des agents. La monnaie circule. Au lieu de dépenser cette monnaie, on peut en garder. La monnaie peut servir à autre chose que opérations de

On observe une séquence en trois phases : L’inflation par la demande, une inflation réelle (opposée à monétaire)  L’inflation réelle se double d’une inflation monétaire et devient principalement monétaire  L’inflation monétaire peut se transformer en hyperinflation, elle devient surtout psychologique et sera entretenu par les phénomènes de panique A. Phase 1 - L’inflation est d’abord réelle : La production ne répond pas à la demande -1983 : le tournant de la rigueur Au départ

désirs ’ ; dans le cas d’une économie de troc, un individu possédant du beurre veut avoir des œufs. Il lui faut trouver quelqu’un qui possède les œufs et qui veut du beurre pour pouvoir procéder à l’échange ; dans le cadre d’une économie monétaire, chacun peut vendre ce qu’il possède à n’importe qui parce qu’il sait que la monnaie sera acceptée en échange des produits qu’il souhaite acquérir. - Réserve de valeur  : ‘ Lien entre le

crise de l’endettement des années quatre vingt qui faisait planer un risque de crise économique mondiale qui a été résolue en 1989 par la mise en place des politiques d’ajustement structurel, le crack boursier de 1987 qui fut maîtrisé et la crise monétaire de 1967 qui a été résolue grâce aux politiques de désinflation compétitive dans les pays occidentaux. Les politiques de rigueur mises en place dans les pays occidentaux ne maintiennent pas les acquis sociaux des trente années glorieuses

métathéories car Marx peut être considéré comme classique, appartenant à un vaste axe de pensée allant de Ricardo à Saffra. En revanche, les néo-classiques peuvent être séparés entre théories marshallienne, walrassienne et autrichienne. Enfin l’approche monétaire peut regrouper les intuitions non-classiques de Marx et les interprétations hétérodoxes de Keynes et des vues kaleckiennes. Pour distinguer différentes approches théoriques, on peut par exemple le faire sur les priorités que choisissent chacune

Toutefois, au-delà de ces deux courants de pensée sur la demande de monnaie, d’autres théories existent comme celles de Milton Friedman, de James Tobin et de Wiliam Baumol.Dans le chapitre précédent, nous avons abordé la création de monnaie. La création monétaire, son émission par la banque centrale et les banques commerciales (monnaie scripturale) représente l’offre de monnaie. Dans ce chapitre nous allons voir les déterminants de la demande de monnaie. Mais que signifie la demande de monnaie ?La demande

A) LES HYPOTHESES ET LEURS IMPLICATIONS B) L’EQUILIBRE MACROECONOMIQUE a) La sphère réelle b) La sphère monétaire SECTION II : LE DEPLACEMENT DE L’EQUILIBRE A) LE DEPLACEMENT DE L’EQUILIBRE SUR LE MARCHE DU TRAVAIL a) Déplacement de la courbe d’offre de travail : b) Déplacement de la courbe de demande de travail : B) LES POLITIQUES ECONOMIQUES a) La politique budgétaire b) La politique fiscale c) La politique monétaire d) Conclusion sur les politiques économiques CHAPITRE SIX : UN MODELE DE