Dichotomie Sphère Reelle Et Monétaire

conceptions fondées sur le bon sens. Nous étudierons le mercantilisme à partir de quatre thèmes : l’époque, la doctrine, les variantes nationales et les critiques des mercantilistes tardifs. La période mercantiliste se caractérise une crise sociale et monétaire mais aussi par des progrès décisifs, notamment un renouveau économique, culturel, scientifique et démographique.    II – Ce qu’il faut retenir   1 - Présentation de l’époque mercantiliste : 1450 – 1750 Vers 1450, le contexte économique en

TROISIEME CYCLE INTERUNIVERSITAIRE (PTCI) 12ième PROMOTION Mémoire présenté et soutenu publiquement en vue de l’obtention du Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) en Sciences Economiques Option : Macroéconomie Appliquée Spécialité : Economie Monétaire Internationale Par MIGNAMISSI Michel Dieudonné Titulaire d’une Maîtrise en Sciences Economiques Sous la direction de Professeur AVOM Désiré Agrégé de Sciences Economiques Avril 2008 INTRODUCTION GÉNÉRALE La décennie 90 a été marquée

social. A et O disent que la monnaie peut jouer ce rôle de stabilisateur et se substituer à la violence. Il faut pour cela un processus de socialisation : les individus vont des normes leur permettant de tenir la violence à distance. L’institution monétaire joue un rôle. Second ouvrage d’A et O la monnaie souveraine, ils approfondissent cette idée en disant que la monnaie possède des capacités régulatrices qui proviennent du fait que la monnaie possède des valeurs communes. La monnaie devient un symbole

relations internationales (régimes monétaires, régimes commerciaux par exemple) ; ces travaux ont pour objet d'expliquer pourquoi et comment apparaissent, se transforment et peuvent mourir des structures d'ordre partiel dans le champ de l'économie internationale. On montre que, malgré l'intérêt de ces analyses, leur limite est de concevoir les régimes internationaux comme des organisations portant sur les relations inter-étatiques ou "inter-nationales" posées comme sphère autonomisée par rapport aux données

macroéconomie I. Définition et objectifs de la macroéconomie 1. Définition [#] La macroéconomie est l’analyse de l’économie d’un pays, d’un point de vue global à travers les relations qui existent entre ses agrégats : PIB, emploi, FBCF, NGP, masse monétaire, etc. 2. L’objet de la macroéconomie [#] L’objet de la macroéconomie est la compréhension des forces sous-jacentes à la croissance et aux fluctuations (cycle d’activité) d’un pays, afin de comprendre la réalité économique pour déterminer la

de l’économie IV. Les Trente Glorieuses, simple période de rattrapage ? A. Le rattrapage au sens de R. Solow B. Le rattrapage des « décennies perdues » V. Le cadre international : stabilité des changes et développement des échanges A. Le Système Monétaire International d’après-guerre B. Le développement des échanges commerciaux Bibliographie : chapitre 1 • ASSELAIN J.-C. (1984), Histoire économique de la France du 18ème siècle à nos jours, Tome 2, De 1919 à la fin des années 1970, Seuil. Point

obtenus à la suite d’une sommation ou d’une agrégation de variables microéconomiques : exemple les prix des biens ou les consommations individuelles. La macroéconomie se penche aussi sur le circuit économique dans ses composantes réelles et monétaires (flux réels et flux monétaires). Elle se limite à des hypothèses restrictives comme la constance des attentes, du savoir technique, du stock de capital, de la population et des préférences, etc.. Elle considère une économie de marché avec une institution

l’Europe qui voit son taux augmenter aussi vite qu’aux USA mais qui ne redescend pas aussi vite et qui reste globalement autour de 8-9% pour les 30 dernières années. Pour lutter contre le chômage nous avons des méthodes conjoncturelles (politiques monétaires ou budgétaires ➔ court terme) ou structurelles (politique d’emploi ➔ effet à long terme, on agit sur la structure). Qu’est-ce qui explique qu’il y ait croissance, récession, chômage et crises? La presse économique et financière semble systématiquement

parce que mesurables en termes monétaires, forment la dimension proprement économique des phénomènes régulés, comme si celle-ci, en toute circonstance, devait être considérée comme le cœur, l’essentiel du problème –l’externalité économique devenant synonyme de secondarité1. Cette définition de la réalité, ancrée elle-même dans l’histoire philosophique de la modernité, conduit à admettre une comparabilité illimitée de tous les types d’utilité, via le médium monétaire, et donc la possibilité de les

source d’emploi. ⎝ Ceux qui ont été influencés par Machiavel préconisent un protectionnisme rigoureux dans la mesure où la seule accumulation de métaux précieux assoit la puissance du Prince en favorisant les exportations. ⎝ Le quantitativisme monétaire signifie que le niveau général des prix d’une nation est lié à sa quantité de monnaie en circulation. Les mercantilistes sont des pré-quantitativistes car ces idées demeurent non formalisées. La physiocratie ⎝ C’est une école de pensée