Dichotomie Sphère Reelle Et Monétaire

Faculté des Sciences Economiques Année Universitaire 2005/2006 Et de Gestion de Sfax COURS : Economie monétaire Destiné aux étudiants de 2ème et 3éme année Sciences économiques Enseigné par TRIGUI Borhen Maître de Conférences Responsable de l’Unité de Recherches DEFI-FSEG-Sfax Support de cours n°1 Avertissement : Les documents distribués ne sont pas des suppléants du cours mais seulement des supplétifs soutenant les notes personnelles prises

connexes 3 Mesure de l'inflation 3.1 Mesure de la variation des prix à la consommation 3.2 Mesure d'une variation plus large des prix 3.3 Impact de l'inflation sur la mesure du PIB 4 Causes de l'inflation 4.1 Inflation induite par excès de masse monétaire 4.2 Inflation induite par la demande 4.3 L’inflation importée 4.4 Inflation induite par les coûts 4.5 Inflation induite par des éléments structurels 4.6 Rôle des facteurs psychologiques et des anticipations 5 Conséquences de l'inflation 5

car il n’y a pas de thésaurisation et le troc nécessite un équilibre entre l’offre et la demande. 2) La monnaie comme unité de compte ▪ La monnaie permet de mesurer la valeur de toutes marchandises qui va être exprimé en unités monétaires que ce soit une unité monétaire ou une monnaie scripturale (le florin banco avait par exemple juste une valeur d’usage). En terme mathématique, dans une économie de troc, on a (n(n-1)/2 prix qui doivent être déterminés. A l’inverse, avec une monnaie, on dit qu’il

L'INTERMÉDIATION FINANCIÈRE Ch. BIALÈS La question de l'intermédiation financière est à la fois ancienne et nouvelle. Ancienne, dans la mesure où depuis longtemps les théories monétaires, telles que celle de Gurley et Shaw qui date déjà d'une quarantaine d'années, l'étudient en distinguant la finance directe et la finance indirecte. Nouvelle, parce que la globalisation financière actuelle est régie par une règle que l’on peut appeler « règle des 5 D » : le Décloisonnement des marchés (avec

surtout en gestion. La logique de la falsification (ou réfutation) n’est pas aisément applicable en sciences sociales pour beaucoup de raisons, dont la plus importante est le réductionnisme simplificateur des modèles eu égard à la complexité du réel qui oblige à raisonner toutes 12 Professeur : M. Silem choses étant égales par ailleurs (ceteris paribus) avec des variables difficilement mesurables avec précision et rigueur. 10. Le critère de vérité : Réalisme des hypothèses / instrumentalisme

d’infrastructure financière ; 2 - une intervention du gouvernement dans le système financier et une expérience de répression financière ; - un cadre légal et règlementaire non attractif et une gestion prudentielle non rigoureuse ; - une gestion monétaire non rigoureuse et non performante ; - rareté des compétences en matière de gestion financière et technique. La nécessité de mobiliser l’épargne (public et privée), et surtout d’assurer une allocation efficiente des ressources financières, commandait

sociale I. L’EVOLUTION DU ROLE DE L’ETAT Si l’opposition entre Etat gendarme et Etat providence reflète une partie des débats du 19ème et du 20ème siècle, il convient de rappeler que l’Autorité publique n’a jamais cessé d’intervenir dans la sphère économique et sociale. Les guerres de 1914 et de 1940, ainsi que la crise économique de 1929 vont cependant donner une nouvelle légitimité aux interventions de l’Etat. 1. De l’Etat gendarme à l’Etat Providence Pendant très longtemps, l’Etat a eu pour

POLITIQUE MONETAIRE DANS L’UMOA ET REVUE DE LA LITTERATURE .................................................................................................................................... 8  CHAPITRE I : LA POLITIQUE MONETAIRE ET SON ENVIRONNEMENT ...................................... 10  I-  INTERACTIONS DE LA POLITIQUE MONETAIRE ET DE SON CONTEXTE :  ...................................................... 11  . II-  MUTATIONS DE L’ENVIRONNEMENT ET CONDUITE DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU PLAN INTERNATIONAL

entraîner le déclin des capacités de production et du nombre de renouvellement du capitalisme productif, ce qui va entrainer à moyen terme une diminution du profit (Théorie de la baisse tendancielle du profit). Marx pense que le capitalisme est une sphère vicieuse dans laquelle toute la richesse crée devrait être réinvestie. Le fond de ce système repose sur l’accumulation continue du capital, le profit étant toujours transformé en capital productif afin de générer du profit. Cette accumulation

Les analyses d'Amartya Sen sont un levier pour sortir du débat habituel sur les politiques économiques, entre politique de l'offre et politique de la demande, avec leurs deux versants, politique budgétaire d'une part, politique monétaire d'autre part. Mais de manière plus globale, la critique de l'"économicisme politique" que développe Amarty Sen ne doit-elle nous conduire à repenser l'articulation entre les sciences sociales et les politiques publiques ? Quelle place revient alors