Dick Rivers

pop avec les Beatles et leur harmonie vocales, le rock avec The Rolling Stones, le blues avec The Yardbirds. - En France : 1960 Johnny Hallyday sort son premier 45 tours, Les Yéyés, Eddy Mitchell et Les Chaussettes Noires, Dick Rivers et Les Chats sauvages. 1966-1968 le tournant : Le power blues , Le rock , Le psychédélisme. 1969-1970 : La mort de Brian Jones, Jimi Hendrix, Janis Joplin, Jim Morrison,…La séparation des Beatles. Partie 3 : - La prédominance britannique : Le

Sophie, Noël Deschamps, Jacky Moulière, Annie Philippe, Claude François, Eileen, Guy Mardel, Billy Bridge * Michel Berger, Michel Laurent, Nicole des Surfs, Salvatore Adamo, Thierry Vincent, Tiny Yong, Antoine, Françoise Hardy, Benjamin * Dick Rivers, Monique des Surfs, Hervé Vilard, Jocelyne, Richard Anthony * Dave, Rocky, Coco, et Pat des Surfs, le Petit Prince (avec dans les mains une peluche de Chouchou, la mascotte de Salut les copains), Christophe. Salut les copains a arrêté définitivement

succès de cette époque ex: Les portes du pénitencier). Multiples groupes, chanteurs en herbe, lolitas font émergés quelques talents : les chaussettes noires , qui permettront à Eddy Mitchell de connaître le succès ,Les chats sauvage révèleront Dick Rivers et Les Cyclones leur guitariste Jacques Dutronc ( dont les chansons dénoncent les défauts de la société ).

l’année dernière pour la 2ème fois. En Belgique, j’ai fait Forest National (l’équivalent de Bercy à Paris) en 1ère partie de Chuck Berry, ainsi que les Francofolies de Spa. A Paris, j’ai eu fait de grands festivals de rock, avec Eddy Mitchell, Dick Rivers… » L’année dernière, il est également descendu jusque dans le Sud de la France où il a fait une tournée "formidable" : « Pour eux c’est exotique, très original, alors qu’en Bretagne, c’est commun. Enfin, même les musiciens irlandais de Celtic Legends

gare » où Patrick Dewaere et Sylvette Henry alias Miou-Miou, y ont fait leurs débuts. Là-bas, Coluche fonde avec des amis la troupe « Le vrai chic parisien ». En 4 ans, il joue avec succès « Thérèse est triste » et « Ginette Lacaze » avant que Dick Rivers ne leur demande en personne d’assurer la première partie de son concert « Rock’n Roll Show » à l’Olympia de Paris. Mais Coluche quitte la troupe en 1974 : « j’ai eu deux coups de pot dans ma vie : être découvert par Bouteille et être viré par Bouteille »

Sylvette Henry alias Miou-Miou, qu’ils y ont fait leurs débuts ou encore Depardieu et Renaud. Là-bas, Coluche veut diriger sa troupe et fonde avec des amis la troupe « Le vrai chic parisien ». En 4 ans, il joue avec succès « Thérèse est triste » et Dick Rivers leur demande en personne d’assurer la première partie de son concert « Rock’n Roll Show » à l’Olympia de Paris. Plus tard, Coluche quitte la troupe. Confiant en ses chances et fatigué par le travail en troupe, il décide en 1974 de partir en solitaire

à 30 francs. Deux entractes ont lieu où les comédiens font le service. Le public est conquis. Coluche fonde avec des amis la troupe « Le vrai chic parisien ». En 4 ans, il joue avec succès « Thérèse est triste » et « Ginette Lacaze » avant que Dick Rivers n’impose lui-même cette jeune bande en première partie de son Rock'n Roll Show à l'Olympia. La troupe joue également « Introduction à l'esthétique fondamentale » avant que Coluche ne la quitte. « J’ai eu deux coups de pot dans ma vie : être découvert

décide de s'en aller et de se faire un nom de son côté. Il fonde en 1971 la troupe " Au vrai chic parisien " dont le premier spectacle s'intitule " Thérèse est triste " : tout un programme ! Les sketches sont programmés en première partie du show de Dick Rivers à l'Olympia. Après plusieurs spectacles, nouvelles tensions, nouveau départ de Coluche. Il se lance alors dans sa carrière solo : publicités, petits rôles au cinéma (Peau d'âne en 1970, Madame êtes-vous libre ? en 1971) et premier one man show :

débat international sur la société et la culture contemporaine en relation à la technologie et à la communication de masse. Le Pop Art se précise et se développe pleinement aux Etats-Unis avec Warhol, Johns, Lichtenstein, Dine Oldenburg, Wesselmann, Rivers, Segal et Rosenquist, avant de se rependre également en Europe. En partant d’une réflexion sur la société contemporaine, qui se caractérise par l’abondance des biens de consommation, de la surproduction industrielle et par la présence de plus en

Book of the Sea, Oxford Un. Press, 1991? Robertson, Bruce, Reckoning with Winslow Homer: His Late Paintings and Their Influence, Washington: Corcoran Gallery, 1991 Seelye, John, Beautiful Machine: Rivers and the Republican Plan, 1775-1825, Oxford 1991?, [vol. 2 of larger series on American rivers] Robert Baldwin, A Bibliography of the Sea, Shipwreck, and Water in Western Literature and Art Published: Bulletin of Bibliography, 48, 3, 1991, 153-170 [750 entries] As nature's