Dictatures Latino Américaines

Fuentes, Gabriel García Márquez et José Donoso, Mario Vargas Llosa est considéré comme l'un des grands acteurs du boom de la littérature latino-américaine dans les années 1960 : littérature, dont le style visionnaire, foisonnant et luxuriant, vanté par les lecteurs du monde entier, a reflété toute la complexité artistique et politique du continent sud-américain, pittoresque, morcelé et paradoxal[2],[3]. C'est à Paris qu'il rédige La Ville et les chiens en 1963, ouvrage qui fait de lui un auteur de

où Barack Obama transporte son offensive de charme mondiale, à l'occasion du Sommet des Amériques, a repris de l'assurance. Constatant avec un mélange de fierté et de méfiance le regain d'intérêt qui se manifeste à Washington, la plupart des Latino-Américains ont deux priorités, l'une économique et l'autre politique. Cependant, l’Amérique latine risque, en 2009, de voir sa force toute neuve mise à rude épreuve. La baisse de la consommation dans les pays riches devrait faire chuter les exportations

continentale américain. A. Le « transaméricains » Remontée à la doctrine Monro, 1823 : vrai solidarité des Etats Unis envers les pays d’Amérique du sud. Au début la doctrine Monro était positive mais progressivement ça a changé car Etats Unis sont devenu impérialiste. Devoir d’intervention américain en cas de mauvais gouvernent (mais c’est eux qui juge), mouvement anti grinos. Solidarité transformée avec le temps. Trans américanisme, pan américain : traduit l’impérialisme nord américain. Idée :

Fuentes, Gabriel García Márquez et José Donoso, Mario Vargas Llosa est considéré comme l'un des grands acteurs du boom de la littérature latino-américaine dans les années 1960 : littérature, dont le style visionnaire, foisonnant et luxuriant, vanté par les lecteurs du monde entier, a reflété toute la complexité artistique et politique du continent sud-américain, pittoresque, morcelé et paradoxal. C'est à Paris qu'il rédige La Ville et les chiens en 1963, ouvrage qui fait de lui un auteur de renom

Sport, géopolitique et mondialisation depuis les années 1930 Eléments pour l’introduction « Un succès sportif peut servir une nation autant qu'une victoire militaire », Gerald Ford, 1974, président américain Le sport a toujours été un enjeu des relations internationales. Les Jeux olympiques auraient été créés pour mettre fin aux conflits qui ravageaient dans l’Antiquité = façon de faire la guerre sans les armes En 1896: 1ers jeux olympiques modernes (13 pays participent, 9 sports, quelques milliers

Le continent américain entre tensions et intégrations     https://www.youtube.com/watch?v=487DFgpSJwI       https://www.youtube.com/watch?v=9T01NKHeED0             INTRODUCTION :     Définition du sujet (espace géographique ­mots clefs – mots de liaison )  Tensions =  Intégrations =  « et  » =      Problématique (question à poser) et annonce du plan    Pourquoi et comment ce continent est­il partagé entre tensions (oppositions) et volonté  d'unité (intégration)?   S'ils connaissent de fortes tensions à toutes les échelles

violence dans ce conflit : violence verbale des propagandes et même la violence physique lors de conflits périphériques opposant les deux grands. Ex : Guerre du Corée entre 1950 et 1953 : 3 millions de morts, entre 1947 et 1991, jamais un soldat américain à tirer sur un soldat Russe et réciproquement. Néanmoins, les deux grands se disputent sur le terrain économique, sportif, idéologique, scientifique (spatiale) et artistique. Autrement dit, de 1947 à 1991, la compétition entre les deux modèles n’à

traditionnelles. 3) Mondialisation et développement L’unification du monde en un vaste marché met en concurrence les vieux pays industriels et le tiers-monde. Exemple : impuissance des cultivateurs de coton maliens contre les cotonniers américains (dont la production est subventionnée). Pays du Nord = les grands gagnants de la mondialisation car leurs FMN rapatrient une bonne partie des bénéfices de leurs délocalisations et elles n’hésitent pas à changer d’Etat quand leur intérêt est en jeu

d'ahimsâ (du sanskrit a ; « négation » ahimsâ ; « violence »), un des fondements du jaïnisme, de l'hindouisme et du bouddhisme. Elle a été adoptée ou utilisée plus ou moins ouvertement par de nombreuses personnes, dont Martin Luther King pour la lutte des Noirs américains contre la ségrégation, le 14e dalaï-lama en exil en Inde pour résoudre le conflit sino-tibétain, Adolfo Pérez Esquivel en Amérique latine, Vinoba Bhave à nouveau en Inde, Lech Wałęsa et Václav Havel contre les gouvernements communistes polonais

appartenance à la civilisation. S.H. décrit la civilisation comme l’entité culturelle la plus large dans laquelle un individu se reconnaît. Elles sont au nombre de huit : occidentale, confucéenne, japonaise, islamique, hindouiste, slave-orthodoxe, latino-américaine et africaine (avec un bémol sur la certitude que l’Afrique soit une civilisation). Les caractéristiques de ces civilisations contrastent de différences fondamentales. Par exemple, « les idées occidentales que sont l’individualisme, le libéralisme