Didascalies Absurde

| |Titres du cours | |Séance 1 |(Lire et comprendre la scène d’exposition |2H |Extrait no1 : La scène d’exposition : Vraie ou fausse | | |(Lire et interpréter la didascalie initiale | |exposition ? Scène I | | | | |Lecture expressive + Questions de lecture | |Séance 2 |(analyser

français du XXème siècle qui appartient au théâtre de l’absurde. Notre extrait provient d’une de ses pièce et qui est intitulée La Cantatrice chauve parue en 1950. La pièce est marqué par la seconde Guerre Mondiale qui à fortement influencé le style absurde de Ionesco. C’est extrait est une tirade de Madame Smith, femme de Monsieur Smith. La scène étant la première de la pièce, il s’agit donc de la pièce d’exposition. Pourquoi cette pièce d’exposition pourrait elle paraitre comme une parodie de la

conservé, pour plus de clarté, les titres du plan. Les introductions et les phrases de transition (ou conclusions provisoires) à la fin de chaque partie sont notés en italiques et en gras. Le passage sur lequel ouvre la pièce présente une longue didascalie suivie d'une sorte de ballet scénique composé d'entrées et de sorties du roi et de plusieurs personnages formant sa suite, puis d'un échange entre ces derniers, moins le roi, qui ne réapparaît que beaucoup plus tard dans la pièce. Ce début de pièce

Questions: En quoi cette scène est-elle absurde? Pourquoi, à votre avis, Ionesco a-t-il sous-titré sa pièce: “Drame comique”? Cette scène est-elle comique? Comment le meurtre est-il représenté dans cette scène? Etudiez le motif de la folie dans cette scène? Faut-il prendre cette scène au sérieux? Etudiez l'importance des gestes/des didascalies dans cette scène? En quoi cette scène est-il une scène de théâtre? En quoi cette scène est-elle une critique de la représentation? Quelles réflexions (sur

nécessaires pour comprendre l'action : le lieu, les raisons de la présence des personnages et les relations qui les lient. Beckett, et d'autres dramaturges comme Ionesco refuse l'exposition classique. A l'ouverture de Fin de partie, deux personnages absurdes mettent fin à quelque chose. La fin d'une vie, d'un jeu, d'une journée, du monde, ou d'une pièce de théâtre ? Axe 1 : Des personnages grotesques et désespérés Arg1 : Hamm, un personnage à la fois grotesque et odieux Dans cette scène d'exposition

qu’ils sont mariés. Les didascalies indiquent la monotonie et cette inconsistance des rôles, comme s’ils étaient lassés de jouer indéfiniment la même pièce en boucle. (malgré les points d’exclamation) Le dialogue est ponctué de l’expression « Comme c’est curieux ! » Selon une autre didascalie, « la pendule sonne vingt fois » puis « une fois » puis « plusieurs fois » = la dimension temporelle est absurde, la règle de l’unité de temps est alors effacée. (Les longues didascalies font presque un effet

conventions théâtrales dans l’organisation du texte (scène, nom des personnages, didascalies), dans les informations délivrées. Champ lexical de la famille: notre petite fille, mon petit garçon, ma fille. Présente les personnages principaux, la famille ( parker), le voisin, le docteur Mackenzie-King, l'épicier d'en face, l'épicier du coin. La didascalie initiale présente le décor : rôle traditionnel de cette didascalie qui ouvre le texte. La description du décor est longue mais elle reste très peu

(siècle, courant) : XXe. S, Absurde. Théâtre qui rompt avec la tradition classique. Par son minimalisme et le dérèglement du langage, Ionesco invente un « nouveau théâtre », à la fois comique et tragique derrière laquelle se cache une visée. Axes (propositions de lecture) : - Scène d’exposition traditionnelle - Scène d’exposition atypique (tranquille ?absurde ?) - Opposition des personnages - Enjeux de la pièce (horizons d’attente) Procédés : - Longue didascalie = endroit tranquille, banale

et publiée en 1953 qui s’inscrit dans théâtre de l’absurde. La pièce comporte 2 actes et l’extrait est situé au début du deuxième acte. Vladimir et Estragon, nos deux héros vagabonds, se retrouvent et poursuivent leur dialogue sans queue ni tête, absurde. Albert Camus, dans le mythe de Sisyphe, définit l’absurde tel que : « si j’étais arbre parmi les arbres, je ferais parti de se monde. Je serais se monde auquel je m’oppose maintenant par toute ma conscience et par toute mon exigence de familiarité

descriptions que Hamm peut « voir », ses jambes aussi car il pousse son fauteuil. Mais il peut aussi représenter sa conscience, dans sa dernière réplique «  Signifier ? Nous signifier ! Ah elle est bonne ! », Il nous montre qu’il a compris que sa vie était absurde, tout autant que son dialogue, et il l’énonce haut pour le faire entendre a Hamm. Ils sont donc complémentaires et indissociables l’un de l’autre. I1 Les noms des personnages ne renvoient à aucun nom ou prénom usité dans la société du 20eme siècle