Didascalies Antigone

monologue Principalement employée dans les tragédies, la tirade, monologue dans le dialogue, est également un moyen utilisé afin de faire fléchir son adversaire, souvent réduit au silence par le locuteur. Dans Anouilh, Créon s’épuise à expliquer à Antigone qu’elle doit comprendre sa décision politique, mais elle ne veut rien entendre ; il l’interrompt alors, la secoue violemment et lui représente l’image terrible du bateau en pleine tempête. Dans un autre registre, Pyrrhus, amoureux d’Andromaque, essaie

Il y a un affrontement : Créon/Antigone = scène classique au 20ème siècle, qui s'inscrit dans la longue tradition des luttes théâtrales. -> il y a 2 didascalies intéressantes ( page 64 et 99 ) qui soulignent la solitude des deux personnages. La tirade de Créon survient au deux tiers de cette scène et vient briser cette solitude. => Ce texte est un plaidoyé, une justification, un moment d'éloquence persuasive où Créon tente de faire entendre raison à Antigone. Pb: Quels armes utilise-t-il ?

secoue» L.7 | -Injure-Didascalie=hyperbole | Antigone domine m’échange avec Créon : elle tente de le perturber, de révéler les failles de son interlocuteur et se montre irrespectueuse. | «Pourquoi veux-tu me faire taire? Parce que tu sais que j’ai raison» L.8«Tu crois que tu peux m’ordonner quelque chose?» L.31 | Questions posées à Créon + réponses | Œdipe est un motif de combat auquel d’identifie Antigone. Créon la méprise à travers lui mais c’est un échec car Antigone est fière. | «comme ton

est l’acte 1, scène 1 de Tartuffe, comédie écrite par Molière au XVII siècle. Le deuxième est l’acte 1, scène 1 de La double inconstance, également une comédie, écrite par Marivaux au XVIII siècle et enfin, le troisième texte est le prologue de Antigone, tragédie écrit par Anouilh au XX siècle. Ces trois scènes répondent de manière différente aux enjeux d’une scène d’exposition qui sont principalement la fonction d’information et la fonction d’accroche. Dans ces trois scènes, les personnages

Antigone, lecture analytique n°3 (suite) : le dialogue entre Antigone et le garde I/ Le Contraste entre les deux figures a) contraste lié à une opposition entre les préoccupations des personnages b) le fonctionnement du dialogue creuse encore ce contraste II/ Le mélange des genres a) lyrisme qui imprègne le discours d’Antigone b) une scène pathétique c) le comique de dérision se combine avec le pathétique et le tragique de la scène emprunt à Sophocle du personnage du garde : personnage

pouvoir se venger de son maître qui le maltraitait « à coups de gourdin ». Le second texte est extrait d’Antigone, de Jean Anouilh, publié en 1944. Ce texte met en scène deux sœurs : Ismène l’aînée et Antigone sa cadette. Leurs frères se sont battus pour prendre le pouvoir et Etéocle a tué Polynice. Antigone est horrifiée par la décision de leur oncle Créon de ne pas enterrer Polynice qu’il considère comme un traître. Elle décide de braver son interdiction pour rendre à son frère les honneurs funèbres

temps, nous remarquons que la scène peut s'avérer suffisante. Effectivement, le texte fournit l'essentiel. Par ses répliques et certaines didascalies internes, il permet de comprendre la dimension comique, tragique ou romantique de la scène, de saisir la dynamique de celle-ci et d’imaginer les personnages ( leurs caractères et leurs physiques). Les didascalies externes permettent de s’imaginer les décors, la gestuelle, les mimiques des personnage et leurs stratégies de séduction. Dans le mariage

l’héritage, source du conflit. En premier lieu, nous étudierons les retrouvailles amères entre Adrien et Mathilde. Tout d’abord, l’accueil d’Adrien n’est pas ordinaire, comme nous le montre l’unique didascalie de l’extrait « Entre Adrien, en haut de l’escalier. ». Cette didascalie nous prouve qu’Adrien ne prend pas la peine de descendre saluer sa sœur qu’il n’a pas vue depuis quinze ans. Il est en hauteur, dans l’escalier Mathilde est dans l’entrée, Adrien se considère supérieur. On remarque

humaine. Nous allons donc étudier un dialogue qui se passe entre Antigone et le garde.Cet extrait prend place vers la fin de la pièce. Antigone, l'héroïne éponyme de la pièce a été condamnée à mort par son oncle Créon pour avoir désobéi à son ordre de ne pas rendre les hommages funèbres à son frère Polynice. Elle se résigne à son sort, mais demande à un garde de transmettre un dernier message à son fiancé, Hémon, fils de Créon. Antigone seule avec le garde, veut savoir comment on meurt. Le garde évite

la nourrice). « il n'y a pas si longtemps » indicateur temporel. On sait grâce aux didascalies qu'il lui sourit, lui prend le bras... 3. C. est lucide il connaît le regard négatif ds ados sur les adultes et l'intègre. Malgré le bon sentiment de C envers sa nièce, il n'arrive pas à la persuader de vivre, car A est un perso complexe à la fois doux et obstiné. B- Antigone 1-Sa douceur elle apparaît ds les didascalies, elle est respectueuse, elle écoute C, ne lui coupe pas la parole. Son tps de parole