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Siècle des Lumières Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Lumières. Le siècle des Lumières est un mouvement philosophique, culturel et scientifique d’intellectuels dans les pays de culture européenne au XVIIIe siècle dont le but était de réformer la société et de faire progresser les connaissances en encourageant la science et l’échange intellectuel, en s’opposant à la superstition, l’intolérance et les abus de l’Église et de l’État. Le terme de Lumières a été consacré

1) Un argument peut être en effet un constat qui présente une situation ou des faits acceptables par tous, et donc difficiles à mettre en doute. 2) II peut prendre pour référence et pour contenu les travaux de savants ou de spécialistes faisant autorité, ou bien des connaissances admises par tous, des valeurs communes qu'on ne saurait mettre en doute, ou encore des traditions que personne ne récuse. 3) Il peut s'appuyer sur l'histoire (argument historique). 4) Il peut enfin entrer dans un raisonnement

tonte de la chevelure est attentatoire à leur féminité, elle est une punition des coupables « par là où elles ont péché ». Les femmes sont prises comme des victimes expiatoires car en les tondant, les hommes ont ainsi symbolisé la reconquête de leur autorité. Fabrice Virgili montre que la tonte des femmes, loin d’être une bavure, fournit au contraire une indication précieuse des bases sur lesquelles s’est reconstruite la France, « l’octroi » du droit de vote aux femmes en 1944 s’accompagnant d’un rappel

beaucoup plus étroitement encadrées que dans le passé par un clergé infiniment mieux instruit et formé. Il faut insister sur l'importance numérique des gens de service (valets, servantes, cuisiniers, etc.) dans les châteaux et les villes. Diderot veut les exclure ou presque du drame bourgeois, mais ils peuplent comédies et romans. Paysans, valets, artisans et commerçants, hommes de loi et médecins, banquiers et gros négociants, etc., sont censés appartenir à un même ordre : le tiers

Montréal Noms et encyclopédie dans l'oeuvre de Jacques Ferron suivi d'un index onomastique général par Luc Gauvreau Département d'Études françaises Faculté des arts et sciences Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître ès arts (M. A.) en Études françaises avril 1994 Luc Gauvreau, 1994 SOMMAIRE L'ensemble des noms propres dans l'oeuvre de Jacques Ferron forme une encyclopédie de près de 9 000 noms

monarchie absolue mais en réduisant les pouvoirs du souverain. Ce nouveau régime politique inspire certains monarques, comme Frédéric II de Prusse ou encore Catherine II de Russie, qui seront conseillés par certains philosophes comme Voltaire ou Diderot pensant que ce nouveau régime est l’avènement de la raison. Ainsi les évènements, les idéaux et l’influences de l’Angleterre vont être un aboutissement politique à la fin du siècle et engendreront la Révolution française. Frédéric II de Prusse

incarné par Voltaire. Cet engagement, les philosophes le paient parfois du prix de leur liberté, en connaissant la prison, l'exil, les condamnations des autorités politiques ou religieuses, ou bien par la destruction de leurs oeuvres. Les attaques contre les philosophes sont pour la plupart, l'incarcération. ( Voltaire : Bastille en 1717 , Diderot au donjon de Vincennes en 1749, Montesquieu : Condamné par le pape en 1751. ) Les philosophes doivent parfois s'exiler quelque temps dans des pays plus

textes : A B C D E Texte 1 : VOLTAIRE, De l’horrible danger de la lecture (1765) Texte 2 : MONTESQUIEU, De l’Esprit des lois, V, 15 (1748) Texte 3 : VOLTAIRE, Candide, ch. XIX, « Le nègre de Surinam » (1759) Texte 4 : D’HOLBACH, L’Encyclopédie, article « Prêtres » (1765) Bilan 104 > Bilan > Lexique de la séquence > Corrigés des exercices 2 à 6 ..................................................................................................................................................

humaine de nos actes, celle enfin d'universalité Quel principe fondamental les hommes doivent-ils appliquer s’ils veulent « se diriger eux-mêmes » ? S'ils veulent se diriger eux-mêmes, les êtres humains doivent juger et faire la critique des autorités traditionnelles, mais avant cela, des préceptes religieux. Ce n'est pas le contenu des idéologies qui est mis en question, mais l’influences qu’elles ont dans la société : la religion n’est pas attaqué, mais c’est l’Eglise qui est attaqué de la façon

DIDEROT Entretien d’un père avec ses enfants Présentation, choix des extraits, notes et dossier par LAURENCE RAULINE, professeur de lettres Du même auteur dans la même collection Jacques le Fataliste Madame de La Carlière (in Trois Contes philosophiques) Le Neveu de Rameau Supplément au Voyage de Bougainville © Éditions Flammarion 2010. ISBN : 978-2-0812-3819-0 ISSN : 1269-8822 SOMMAIRE ■ Présentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L’esprit des Lumières Diderot ou la