Diérèse

tutoiement dans l’impératif qui renvoie à la duchesse d’Albuquerque (« Dis donc (…) ! »), dont le nom lui-même évoque le poids et la sévérité (longueur du nom, deux fois [k] avec le [r]). De plus, la reine reprend le mot « dévotions », gonflé par la diérèse et le pluriel, comme il l’était au vers précédant : la prière devient plus officielle et contrainte.

autre --> naissance du sadisme de Néron (c’est un « monstre naissant » comme dit Racine). - L'action se noue avec l'introduction de la thématique amoureuse qui va faire basculer la tragédie. Lecture S'entraîner : rythme de l'alexandrin, diérèse, "e" muet, césure... Lecture expressive -> Néron : évocation amoureuse => Mettre le ton ! il évoque sa "bien-aimée" donc lenteur, émotion... Mouvements du texte par Katchamay : 1ère partie du texte (du début à « J’ai passé dans le mien »)

et vocaliques. Diérèse et synérèse : On parle de diérèse et la synérèse en cas de diphtongue (collusion de deux voyelles distinctes). - On fait la diérèse lorsqu'on prononce distinctement les deux sons des voyelles, prononçant ainsi deux syllabes. - On fait la synérèse lorsqu'on ne prononce pas distinctement les deux sons des voyelles, ne prononçant ainsi qu'une seule syllabe. Exemple : prononciation de "une liaison" En faisant la diérèse : une [li][ai]son

«cieux»), dans les débordements de la phrase sur plusieurs vers et dans les diérèses. On retrouve une régularité dans les sons, les voyelles reviennent : v1 «i» (insistance), v3 «i» et «o», v4 «o». De plus, on retrouve une interrogation qui traduit l’accablement du poète au v5, ce qui allonge le vers. À la 2e strophe, on retrouve des allitérations en «s» et en «z» exprimant la douceur. Ces dernières sont renforcées par une diérèse (à la rime) qui ralentit la diction : v9 est plus long donc ralentit la

ce qui donne une rime masculine isolée, comme le poète. Le vers est à l’image de la rupture amoureuse. -L’absence de ponctuation favorise la fluidité du poème et son ambiguïté en multipliant les sens possibles. -Un calembour est composé par la diérèse « vi-o-lente » = vie-eau-lente et évoque la lenteur de la vie qui passe. -« Comme », lui-même a plusieurs valeurs : adv. exclamatif,  conj. de cause, temps, comparaison. - Le poème est à l’image de ce Paris qui se transforme, qui se tourne vers

de l’eau et le fait qu’elle change et la vie avec : « change », « passe », « varie », « varier » (ici, noter l’insistance avec la diérèse : on prononce : vari-er). - Fluidité du sonnet : v. allitération en « l » (= labiales) : v.3… / enjambements (vers ¾, 5/6) → expression de l’écoulement, de la rapidité. / « varier » à l’hémistiche 2x (v.9 et 12 + diérèse au vers 12). + la structure binaire du texte : « flots sur flots » : on étudiera ici tout ce qui a trait à la structure binaire du

est associée à un certain érotisme, elle est sensuelle (//courtisane) : - Evocation de son corps (//blason) : « ta jambe » (associée au poignard => érotisme sadique, noir), « seins » (mis en valeur car adjectifs « beaux » et « radieux » avec diérèse sur « radieux » + comparaison « comme des yeux » rejetée) « bras » - Evocation de la nudité : « dévoilent », « déshabiller » - Evocation de la luxure : « péchés », « mutins », « lutins », « galants » (amants), « valetaille de rimeurs » qui regarde

révolutionnaire correspondant au mois de Janvier Février correspondant aux mois froid ( « froid ténébreux »), les mots « grand flots » renforce l'idée de froid continue s'abattant sur la ville. Pluviôse est placé au début de phrase le rendant primordiale. La diérèse de pluviôse étire le mots et le renforcent. La pendule « enrhumée » Les sensations déplaisantes remplissent le poème ce qui amène un malaise chez Baudelaire et ainsi son spleen. II°/ Le spleen : => Les souvenir de la femme aimé « Le beau

personnification du Lion en roi et en vieillard. En effet : "un Lion décrépit et goutteux, n'enpouvant plus" décrit péjorativement un vieillard dans la déchéance physique, avec une gradation. Pour mettre en valeur la souveraineté du Lion, La Fontaine utilise la diérèse Li-on de façon ironique. Deplus, le Lion se comporte comme un enfant capricieux et le verbe "vouloir" le souligne. Il est égoïste puisqu'il prétend vouloir rechercher un "remède à la vieillesse" en général, alors qu'il enrecherche un uniquement pour

poème. C'est une déclaration d'amour avec : -Aimer (répéter deux fois dans le même vers) = le thème de l'amour est bien présent dans ce poème. - « à peine » = jusqu'à ladouleur. - « mon mal est délicieux » = car il peut l'exprimer, le poétiser + diérèse = plaisir trouver dans la douleur. - « Automne » = amour fini. - « livre ancien » = histoire d'amour finieII ) Élégie et thème du temps. A) L'inéluctable écoulement du temps : -«soldat » : référence à la guerre (Alcools publié en 1913) = signifie