Diérèse

consonnes:L'allitération →répétition d'un même son de voyelles:L'assonance →lorsque 2 voyelles se suivent ,elles peuvent être scindées pour permettre le découpage d'une nouvelle syllabe:La diérèse Rythmes:→la pause dans un vers se fait généralement à sa moitié:Coupure/césure à l'hémistiche →le poète peut choisir d'allonger son vers.Il existe alors 2 priorités : ►quand un vers se prolonge

| v.2 | 6/6 | v.3 | 5/7 + enjambement | v.4 | 2 (rejet) /4/6 | v.5 | 3/9 + enjambement | v.6 | 2 (rejet) /10 + enjambement | v.7 | 6/6 | v.8 | 9/3 + rejet au vers 10 par-dessus le vers9 | v.9 | 3/9 | v.10 | 3/9   | v.11 | 5/6 (+diérèse ?) | v.12 | 6/6 + enjambement | v.13 | 1 (rejet) /7/4 (contre-rejet) + enjambement | v.14 | 3/3/3/3 |     Rédaction du commentaire ________   Introduction    Ce sonnet daté d’Octobre 1870 trouve sans doute son inspiration dans un épisode

travers des jeux littéraires. Séance 2 : dire une réplique Quelques repères pour lire des alexandrins : Un alexandrin se compose de 12 syllabes. Pensez à :  élider le e devant un mot commençant par une voyelle ou en fin de vers  la diérèse : dire séparément deux voyelles qui composent d'ordinaire une diphtongue. Pour rythmer votre lecture, pensez qu'un alexandrin se compose de deux hémistiches (6 syllabes/ 6 syllabes) séparés par une césure, qu'on accentue les 6° et 12° syllabes

utilise le présent pour renforcer ceci, car quelquechose qui se déroule au présent est plus grave et nous concerne bien plus qu'une choses qui s'est déroulé dans le passé. - épopée: poème, un héros: donner sa vie pour l'idéal d'un peuple. - diérèse l.19 « furieux », valorise le combat. -langue soutenue. II) Une argumentation qui permet de montrer le camp d'Agrippa Agrippa prend parti pour les protestant. Ronsard a écrit un texte semblable ou il prend parti pour les catholiques.

renforcent cette idée de folie et de déséquilibre mental:«Bonheur qui me fuit» (v5) «chaud, froid» (v12). Les sentimentssont intenses, le poète utilise des procédés d'amplification et des adjectifs hyperboliques tels que «furieux» accentué par la diérèse «fatal»; «extrême» (v10) et en outre par l'accumulationd'infinitifs: «rester, songer, penser[...] pleurer, crier[...]oublier et ne vouloir» (v2, 3 et 8) L’anaphore au début des trois premiers quatrains montrent l'aspect obsessionnel et répétitif

l’auteur: “je fais souvent” à passivité “familier” mais “étrange et pénétrant” à confusion : il s’agit d’un monde différent mais ou il se retrouve Rythme confus, flou: en effet, enjambement, refus de la césure à l’hémistiche, (v. 9, 13-14..), diérèses (inflexion) à rêve confus: perte de la réalité: monosyllabe “tues” à la chute 2. Problème dde l’identité pronoms personnels: “je”, “elle” à femme mais identité incertaine · La femme aimée seule certitude: amour pour le locuteur “et que

un masque commode, puisque l'homme a été créé par Dieu avec une âme et un corps : ” pour être dévot, je n'en suis pas moins homme”, “après tout, je ne suis pas un ange”. Cet amour devient donc une épreuve envoyée par Dieu (”les tribulations” avec diérèse), et Tartuffe se présente comme un héros tragique, déchiré par une lutte intérieure entre sa passion (”de mon intérieur vous fûtes souveraine”, “un cœur se laisse prendre”) et sa dévotion : il décrit longuement sa lutte avec “la résistance où s'obstinait

-rejet-contre-rejet vers 109 à 110 : rupture du rythme plus suscite la curiosité et attire l'attention 4. Impressionner , par anticipation les spectateurs et lecteurs face à Cyrano -nom complet M.de Bergerac : fierté , importance , unicité , respect du héros -Diérèses : "rimeur" ,'' bretteur" , "physicien" , "musicien": talents de Cyrano positifs -énumération "bizarre, excessif, extravagant,falot": met en valeur le héros et les spectateurs son curieux allitération en r ,p,k ou v au vers 119 Lecture Analytique

valorisant (idéalisée par le poète) : Emploi du vocatif 2 fois : « ô la reine des grâces » , « ô ma beauté »/Amour marqué par emploi adjectif poss « mon », « ma » associé à terme très fort : « passion » (mise en valeur par la place à la rime, fin de strophe et diérèse : passi-on) 2. Une promenade amoureuse ? *Im promenade donnée par évocation « sentier » *Nat imp donne atmos bucolique : «  nature » « ciel » « fleur » « l’eau courante et le vent » « rochers » *Nature semble propice à l’amour montrée

que d’une seule strophe de 14 vers. Queneau établis un véritable satyre envers les gens de la haute société et tente de nous montrer que malgré qu’ils soient fortunés, ils ne sont pas intelligents et supérieurs à nous. -Un quatorzain sans synérèse/diérèse. Mis en prose du poème -Mise en prose du poème -> pas de storophe -Des rimes redoublés -On peut observer deux enjambement + un césure à l’hémistiche du vers 7. Il nous donnent les infos pour savoir comment le réciter et en plus que la césure soit