Diérèse

les adjectifs qualifiant le paysage à la première strophe dénotent un paysage flou, voilé, incertain et irréel : « Les soleils mouillés/De ces ciels brouillés » (v. 7-8), « Si mystérieux » (v. 10), « Brillant à travers leurs larmes » (v. 12).La diérèse sur le « i » de « mystérieux » renforce le mystère de ce paysage.De plus, chaque strophe décrit un paysage différent. On passe ainsi d’une scène à l’autre sans transition logique, comme dans le rêve.Cependant la description, marquée par une hypotypose∗

point/ de/ port,/ / le/ temps/ n’a/ point/ de/ rive/ » de Lamartine. La diérèse sépare les éléments d’un mot, ex : « inflexion » peut se prononcer de deux façons : In/ flex/ ion = 3 syllabes ou In/ flex/ i/ on = 4 syllabes. Exemple pris à Du Bellay, Les Regrets, « Heureux qui comme Ulysse… », v.9 et 10 : « Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux => synérèse : 1 syllabe Que des palais romains le front audacieux. » => diérèse : 2 syllabes 2°) Le vers libre Privilégie la recherche du rythme

sensible par plusieurs procédés : pour l’introduire, La Fontaine utilise une longue phrase grammaticale qui s’étend sur plusieurs vers (v. 3 à 6), dont deux sont des alexandrins (v.3 et 4). Le vers 4 est à ce titre particulièrement remarquable : la diérèse initiale (en-vi-eu-se), la reprise de la conjonction « et » (« et s’enfle et se travaille »), les sonorités nasales et sifflantes répétées (« Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille ») semblent allonger le vers. L’utilisation de présents

choix difficile qui s’impose au protagoniste ①Un personnage entre amour et honneur 1/ diérèse sur deux rimes  « passion » au vers 44 et ambition au vers 45 ce qui met en exergue les deux différentes possibilités, choix du dilemme, qui s’impose à Maxime 2/figure dérivative « Je pense servir Rome, Je sers mon rival » présent au vers 12 qui caractérise le choix difficile que doit opérer Maxime. 3/Diérèse au vers 5 sur le mot « violence » qui rime avec « puissance » au vers 6 montrant le lien

(6/6), l'oxymore 'fuite hautaine' attitude souveraine, fuite d'un conquerant, et les alliterations en R du vers 4 (espoir, laboureur, espoir, berger). -l'image du 'lion' occupe tout le deuxieme quatrain. l'Adjectif antepose 'courageux' et la dierese sur le nom (li-on) souligne la majeste d l'evocation. - L'allusion a "Hector" fait resurgir dans l'imaginaire du lecteur un celebre heros troyen, fils du roi Priam. - La 'gloire" de Rome est enfin rappelee par les 'triomphes' au cours desquels

blason du visage de la femme aimée qui en fait l’éloge Et la seconde : la beauté de Marie qui masque sa résistance au poèteAnalysev.1 apostrophe à Marie qui est mise en valeur puisqu’on prononce le « e » sur « Marie », un peu comme une diérèse mais qui est simplement un usage de la période De plus cette apostrophe nous permet directement d’avoir en tête le destinataire de cette déclaration d’amour, de plus le poète emploi le vouvoiement, une marque de respect courante au XVIe A

tout comme la métaphore des « constellations » que voit le poète à travers le vêtement. Le poète exprime ici son imagination. La diérèse sur le mot « constellations » agrandit la « bure » (qui est une synecdote : désigner quelque chose par une de ses parties ou composant) qui représente le Ciel. Ainsi la présence de Dieu, de la religion se trouve amplifiée par cette diérèse. De plus, le manteau à l’origine était bleu : « jadis bleu ». Le bleu est symbole de divin, d’infini, il représente l’évasion spirituelle

évidence : - « mon esprit amer » définit l’âme des poètes (à la rime). « mélancolique » v.7 et 11 doublement insistant par sa répétition à la rime. « effroi » (rime) v.5 « folle » v.3 placé à la césure « inquiète » v.3 mis en évidence par la diérèse «  si tristement » avec l’adverbe d’intensité et répété v.18 et 22 3) Le regret Dans son effort de rédemption le poète formule ses regrets, ses remords et l’interrogation initiale et finale du poète peut être interprétée comme l’élan d’un repentir

pas) phrase courte, qui reflète l’effet de choque, qui remplace l’hémistiche. 2e échec qui redouble d’énergie dans son langage : « il fit parler les mort, … » énumération, diérèse, prosopopée, . l’idée cest de montré que l’orateur roudle d’energie dans son langage comme le montre l’effet d’énumération « ;;; », la diérèse violence par la met en valeur le mot dans le ves plus court. Qui savent exité les ames les plus lentes- antiphrase, qui sont a la fin d’emistiche. eLISION D4HYPERBOLE « tona

fils innocent : le verbe « croire », le vocabulaire du doute (« soupçons », verbe « alarmer »), la volonté de ne pas savoir et la préférence pour l’aveuglement : « Je consens que mes yeux soient toujours abusés » ; les lumières sont « odieuses » : diérèse qui souligne l’adjectif. - Phèdre, un aveu sincère suivi par deux dénis (l’intervention du « ciel » puis celle d’ « Oenone ») + la distance entre la faute avouée et le châtiment (neuf vers où elle dit qu’elle n’est pas seule responsable) b) Thésée