Diérèse

une idéologie. les vers libres : est un vers qui n'obéit pas à une structure régulière : ni rimes, ni strophes. Un hémistiche : est la moitié d’un vers. Dans l’alexandrin, la césure sépare le vers en deux hémistiches de six syllabes. Une diérèse : est un effet de prononciation spécifique au langage poétique qui consiste à dissocier deux voyelles à l’intérieur d’une même syllabe. Un topos/des topoï : est un sujet littéraire qui revient souvent jusqu’à constituer un thème récurrent et attendu

l’auteur: “je fais souvent” à passivité “familier” mais “étrange et pénétrant” à confusion : il s’agit d’un monde différent mais ou il se retrouve Rythme confus, flou: en effet, enjambement, refus de la césure à l’hémistiche, (v. 9, 13-14..), diérèses (inflexion) à rêve confus: perte de la réalité: monosyllabe “tues” à la chute Problème dde l’identité pronoms personnels: “je”, “elle” à femme mais identité incertaine · La femme aimée seule certitude: amour pour le locuteur “et

d'or certainement car elles brillent sous le soleil. Les attributs vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille, les chaussures sont des pantoufles qui brillent pour accentuer le caractère ridicule du bourgeois. La diérèse de Monsieur au vers 8 accentue le caractère ridicule du personnage. Le poème s'articule en deux parties terminées par quasiment la même phrase "Et le printemps en fleurs sur ses pantoufles brille", une sorte de refrain riche de ses allitérations en

l’enfance =>Correspondances horizontales. -T2 + v. 11: Personnification qui s’adresse à un monde adulte ("riches, corrompus"). Parfums exotiques, capiteux, rares (exemples du v.13). Diérèse + "expansion" + "infini"(v.12) =>Propagation du parfum. =>Envoûtement de l’âme ("transports" = élan incontrôlable) par ces parfums puissants, donc très évocateurs. =>Sonnet = forme dynamique et progressive, ici pédagogique, qui enseigne la th des

vécus (La joie venait toujours après la peine…). SI l’amour passe en effet, il reste l’expérience centrale de la vie, le coeur des souvenirs, la vibration majeure de l’être. L’Espérance est au coeur du poème, elle le réveille en « violence » (la diérèse ici « cloue » en quelque sorte le mot dans le vers, l’y installe telle une arme ultime), comme elle renouvelle toute envie de vivre et d’aimer. Sans doute le poète, plus qu’il n’affirme un choix, se laisse-t-il ici conduire par sa sensibilité à l’impression

variété de vers et d’enjambements qui donne un rythme entraînant. Il y a des alexandrins et des octosyllabes comme par exemple au vers 4 et 5 « De certains compliments de consolation » « Qui sont surcroît d’affliction ». De plus chacun comporte une diérèse aux mots « consolation » et « affliction ». La Fontaine se sert donc plusieurs procédés pour rendre son texte plus animé, ce qui va lui permettre d’utiliser le registre satirique.

avec une femme artistique • une toile que dans l’esprit de l’artiste • poème programme de ce qu’il aime de ce qu’il veut faire 3- Poème ironique • se moque d’elle, l’a provoque mais l’aime = se moque du romantisme • v.40 : passion, diérèse : mettre le mot en relief, insistance Conclusion : Beaudelaire utilise un thème très ancien le «  momento morri » (souviens toi que tu va mourir) et « carpe diem » (cueille le jour). Original et choquant, volonté de bousculer le lecteur.

L’école des femmes, III, 2, Molière I. Un portrait d’Arnolphe a. Un prédicateur ridicule * Il parle de mariage => Diérèse « mariage » => Annonce le thème : le met en relief * On sait à qui il s’adresse => Apostrophe Agnès => Il se place en prédicateur dès ce moment là * Il annonce que les femmes sont légères et qu’elles sont infidèles CL libertinage « fredaine » « coquette » « jeune blondin » « libertine » => Peur du cocufiage b. Un égoïste * Le mariage

obseques , femme du lion , province , prévots , cérémonies , temples , messieurs les courtisants… . 1) Satire de la cour du roi et de la naïveté du roi . Rimes suivies aux vers 1/2 = rapidité avec laquelle les courtisants courent au roi . Dierese sur consolation et afliction = surjoués car les courtisants surjouent = espece de contagion de la tristesse. Artificiel : les condoléances sont surfaites. Satire de la cour car il y a surveillance (prevots) et qu’on est obligés d’être là . Satire

différente  décision de le punir. Vers 39 à 51 : stratagème du cerf pour se tirer d’une situation délicate. Vers 52 à 55 : « morale ». . Registres : Satirique / parodie de tragédie. . Il y a des alexandrins, octosyllabes, des enjambements et diérèses. Cela rend le texte plus vivant, plus naturel. . Vocabulaire : - Des sentiments en particulier  deuil (cour) / gaité (cerf – lionne) / colère (roi). - De la cour. . Figures de styles : - Personnification  champ lexical animalité //