Diérèse

argumentations opposées sur la résistance au vent Chêne :se moque de la fragilité du roseau(discours direct et se vante de sa résistance :c’est la faute de la Nature Roseau :-prend la parole au v.18 ; fait une concession avec le mot compassion (diérèse) -a partie du v.20 le rapport de force est inversé ; de plus, le roseau connait déjà la fin « Attendons » B) Le rôle du vent Personnification du vent, le récit s’accélère sur la fin du texte (octosyllabes, verbes d’action) qui mènent

Alexandrin: Vers de douze syllabes. Vers: Ensemble de mots formant une unité et régi par des règles de poésie. Mètre: Élément de mesure du vers. Décasyllabe: Vers de dix syllabes. Octosyllabe: Vers de huit syllabes. Diérèse: Séparation d'une syllabe en deux syllabes distinctes. Strophe: ensemble de vers développant ou un système de rimes ( A:B/A/B, A/BB/A....) et / ou une unité de sens ( à ce sujet, pour le sonnet on parlait de sizain et non pas de tercets) ; plus généralement aujourd'hui

la vision accentuée par l'évocation des sentiments éprouvés (par la femme vraisemblablement). CF. emploi de termes à connotation négative: "charogne infâme" (à la rime), "cette horrible infection" 38: ici, mise en valeur par antéposition adj. et diérèse + "vous crûtes vous évanouir", mais ici, ton un peu précieux en décalage avec la réalité macabre et atroce.  

Bérécynthienne * Périphrases V.1 a 3 (dieu) création d’attente de comparaison. * Régularité du rythme > sonnet > Alexandrin (Coupé de manière regulière). * Enjambements * Allitération en dentale sourde >T «  Telle » Consonne * Diéresse V.1 separé une syllabe en deux * Ensemble Mythologique « ANTIQUITE » = Mieux que tout II. Image déformé, idéalisé de Rome * Polyptote (plusieurs forme d’un même mots.) EX : Pouvoir, peu revoir,… * Enjambement V.12/13 *

« R » V. 11, cela a une valeur péjorative ou négative sur les bâtiments romains Allitération en « S » V 5 a 8 qui montrent la souffrance et la mélancolie (hélas, maison, saison) Ces allitérations ont le but de montrer sa préférence nationale Diérèse à « audacieux » V. 10 montre également préférence nationale Champs lexical de l’affection qui montre le regret du pays natal Niveau de langue soutenu pour montrer son humanisme Anaphore à « plus » répété 4 fois cela permet de comparer positivement

signifiante. ~ Versets: choisi par des poètes inspirés par Dieu. ~ Diphtongues: quand deux voyelles se suivent, on considère soit que ça forme une syllabe soit une liaison. ex: é|vo|lu|tion| autre possibilité: é|vo|lu|ti|on| ~ Diérèse: met l’accent sur le mot et le ralenti ex: li|on ~ Alexandrin: 1 2 3 4 5 6 | 7 8 9 10 11 12 hémistiche | hémistiche césure - rythme binaire: 1 2 3 4 5 6 7 // 8 9 10 11 12 - rythme ternaire:

lugubre » = terme extrêmement négatif - type de phrases propres au registre tragique & pathétique : exclamatives et interrogatives. - interrogatives = incompréhension face à la mort et la fatalité. - reprise du mot « tuer » qui est mis en valeur par diérèse - « avez-vous vu la mûre saigner dans les haies » métaphore = tête sanguinolante de l’enfant Conclusion Victor Hugo a choisi d'inscrire un débat politique dans un drame intime ; le ton même du poème est intime, touchant, pathétique pour décrire

vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille, les chaussures sont des pantoufles qui brillent pour accentuer le caractère ridicule du bourgeois que tout oppose au poète, mal vêtu, mal coiffé, à la tenue négligée. La diérèse de Monsi/eur (i-eu) au vers 8 accentue le caractère pompeux et ridicule du personnage. Étrange situation pour ce personnage bien vêtu, il souffre d'allergie, un rhume de cerveau, une rhinite, un coryza qui contraste avec sa situation importante. Par

compagnie » est placée. Les manifestations de deuil sont ostensibles accompagnées des cris du roi repris en chœur par la cour et donnant lieu à des condoléances marquées, « certains compliments de consolations/ qui sont surcroit d’affliction », la diérèse à la rime soulignant la longueur du rituel de déploration. Il met donc en place le cadre spatio-temporel de façon très détaillée en explicitant le titre de la fable. Dans un deuxième temps, du vers 25 au vers 51, il va évoquer l’aventure du cerf en

type de vers ou mètre auquel on a affaire. • Le « e » muet placé devant une voyelle ou en fin de vers ne se prononce pas. • Synérèse : on appelle synérèse un groupe de deux voyelles comptant pour une seule. Exemple : é/lé/va/tion. • Diérèse : on appelle diérèse un groupe de deux voyelles comptant pour deux syllabes. Exemple : é/lé/va/ti/on. Chaque syllabe ainsi définie correspond à un pied. Les vers les plus courants sont : • Les octosyllabes (huit pieds). Exemple : Tes pas, enfants de mon