Différences Et Points Communs Entre Stalinisme Et Nazisme

est voué un culte de la personnalité. Cependant, malgré un usage commun de la violence envers leurs peuples (Juifs en Allemagne, propriétaires en URSS, démocrates et socialistes en Italie) des différences existent entre les totalitarismes comme l’antisémitisme nazi ou le système économique des communistes. 1)Génèse et idéologie Fascisme Nazisme Stalinisme La conquête du pouvoir par le fascisme en Italie Entre 1918 et 1920, une importante crise morale, politique et sociale secoue

barrées correspondent aux allégements ordonnés par l'Inspection générale en octobre 2012. 10 à 11 heures Genèse et affirmation des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) - Les régimes totalitaires dans l'entre-deux-guerres : genèse, points communs et spécificités - Les totalitarismes face aux démocraties dans les années 1930 La fin des totalitarismes - La dénazification de l'Allemagne et le procès de Nuremberg - La sortie progressive du totalitarisme en URSS : Khrouchtchev, la déstalinisation

fréquentation des écoles primaires est rendue obligatoire à la fin du XIXe siècle et les couches populaires y souscrivent d’autant plus qu’elles constatent l’intérêt des études pour la promotion sociale. b) en France, Guizot, en 1831, oblige toutes les communes de plus de 500 habitants de se doter d’une école de garçons ; lois dites Jules Ferry de 1880 (gratuité) et 1881 (obligation). En Angleterre, l’obligation date de 1880 et gratuité de 1891. c) Presque tous les pays créent d’ailleurs un système éducatif

individu appartient à une multiplicité de champs dans lesquels il choisit de se positionner dans un champ. Un champ est un espace social structuré entre dominants et dominés entre personnes qui s’y inscrivent. Quand on veut étudier le champ intellectuel, il faut étudier les collectifs intellectuels et notamment les Thinks Tanks, lieux de rencontre entre acteurs positionnés dans différents champs : hauts fonctionnaires, intellectuels, grands patrons etc. Dans la rencontre, des positons sont fabriquées

saisir la portée, le pertinence, la relativité des catégories utilisées pour analyser telle réalité politique. Ex : l’Etat : quand on parle d’Etat, on parle de la constitution de l’état au point de vue social en France ; ou l’état en Inde où il n’est pas construit et perçu de la même façon : on doit relativiser son point de vue, on ne peut appliquer la catégorie utilisée pour la France. Il faut s’ancrer dans le substrat historique. Que mettre comme conditions pour réfléchir à la comparaison ? Effort d’explications

que sur la stabilité politique des Etats, que ce soit dans les anciennes démocraties ou dans les « nouvelles ». - En dernier lieu, il faut souligner l'influence capitale exercée sur tous les pays européens par la Révolution bolchévique de 1917. Entre tentations et rejets, la Révolution de 1917, avec les 1 A. CHAUOU -–Lycée de Kerichen – Pôle CMC potentialités de développement qu'elle sous-tend, est une donnée capitale pour tous les pays européens dans l'entre-deux-guerres. 2 A.

autoritaires. Quelques années plus tard, Mussolini le reprend pour montrer la suprématie de l’Etat Italien. A la fin de la guerre, il prit une signification péjorative. A l’époque, un combat sans merci opposait deux idéologies opposées à tout point, mais qui étaient tous les deux légitimes dans leur zone d’influence. En fait, pour simplifier ; si Hitler avait gagné, c’est le capitalisme qui serait diabolisé maintenant. Actuellement, le totalitarisme a été tellement banalisé qu’il est employé

fini par englober les régimes de type nouveau qui, au lendemain de la 1ère Guerre mondiale, voient le jour en URSS, Allemagne et Italie. • La notion de totalitarisme pose problème. Elle a été un instrument de guerre froide qui impliquait une identité entre les régimes fascistes et le communisme stalinien, affirmation qui ne résiste pas à l’analyse historique : ces régimes sont différents voire opposés par leur niveau économique, leur évolution sociale, leur culture politique, les forces sur lesquelles

construit à cet effet par Albert Speer, architecte du régime, mais aussi par la diffusion à large échelle d’images de ces manifestations. Ce document témoigne aussi de l’embrigadement de la société : elle passe par l’adoption de gestes et de signes communs – le salut nazi, la croix gammée – et par l’encadrement de la jeunesse – ici, des jeunes filles que l’on peut supposer appartenir à la Bund Deutscher Mädel, branche féminine des Jeunesses hitlériennes. On peut aussi attirer l’attention des élèves

touchait une fibre esthétique déjà présente en eux, réalisait un idéal esthétique en germe» (Lacroix 2004: p. 308). La culture de la jeunesse, de l’ordre et de la violence plébiscitée par les régimes fasciste et nazi (et dans un certain sens par le stalinisme) n’aurait ainsi été que le produit du recyclage pervers d’un mouvement de fonds de l’imaginaire européen. Pour cette raison, les historiens de la littérature peuvent aujourd’hui aisément découvrir dans les œuvres de jeunesse et la biographie