Dignité Humaine

mal, se rapporte à des lois, des normes, des impératifs • Étymologiquement, « morale » vient du latin (philosophia) moralis, traduction par Cicéron, du grec ta èthica ; les deux termes désignent ce qui a trait aux mœurs, au caractère, aux attitudes humaines en général et, en particulier, aux règles de conduite et à leur justification. On réserve parfois, mais sans qu’il y ait accord sur ce point, le terme latin à l’analyse des phénomènes moraux concrets, celui d’origine grecque au problème du fondement

d’une nature d’un être. Il y a deux sortes de violence, la violence physique et la violence morale. Ce qui pousse l’homme a être violent ne peut être compris qu’a partir de ces motivations. Or ces motivations peuvent être juste (liberté, la dignité humaine, le défense) mais aussi injuste (le pouvoir, l’esclavage, la destruction, le non respect de ce qu’est l’humanité) Il fallait donc distingué deux sorte de pouvoir celui qui se maintien et se prend dans la violence, et au contraire le pouvoir

sol israélien en 1965. L’adoption de la loi fondamentale de 1992 va considérablement modifier le rôle de la Cour. En effet, la loi fondamentale sur la dignité humaine et la liberté stipule que l’Etat s’engage à « sauvegarder la dignité humaine et la liberté, reconnaître la valeur de la personne humaine, de la sainteté de la personne humaine, du principe que tous les hommes sont libres, droits inspirés de la Déclaration d’indépendance de l’Etat d’Israël. Les valeurs de l’Etat d’Israël sont celles

avril 2002 dégage de toutes poursuites les médecins qui auraient (ou auront) pratiqué un suicide assisté sous des conditions extrêmement précises : le Ministère de la Santé déclare que cette pratique "autorise une personne à terminer sa vie dans la dignité après avoir reçu tous les soins palliatifs disponibles". Lire la discussion sur l'euthanasie (en anglais) sur le site du Ministère Néerlandais de la Santé, du Bien-Être et des Sports. Au Luxembourg, après une gestation sinueuse, le projet de

rapports entre les hommes en fonction de la dignité humaine, en déterminant les droits et les facultés dont l’ensemble est nécessaire à l’épanouissement de la personnalité de chaque être humain »1. Par contre pour Yves MADIOT, « L’objet des droits de l’homme est l’étude des droits de la personne reconnus au plan national et international et qui – dans un certain état de civilisation – assurent la conciliation entre, d’une part, l’affirmation de la dignité de la personne et sa protection et, d’autre

Séquence 1 : De la dignité humaine : La question de l'homme dans les textes argumentatifs, du XVIe s. à nos jours. Texte 1 : Discours de la servitude volontaire (ou contr’un) d’Etienne de la Boétie, rédigé en 1548 et publié en 1574. I) Présentation et problématique Etienne de la Boétie (1530-1563) issu d’une famille de magistrat passe son enfance à Sarlat, en Dordogne. Il fait des études de droit, rédige ce discours à l’âge de 16 ans et devient par la suite conseiller au parlement de Bordeaux

l’histoire de la gauche et la rose désigne les socialistes à l’heure d’aujourd’hui). Sa tache première est respecter la dignité de la personne humaine et la sauvegarde de la planète. Sa nature est « d’aller a l’idéal et de comprendre le réel » d’inventer le futur et de travailler dans le présent, d’assumer les tensions et les contradictions qui en résulte et font la vie humaine Actuellement ses principaux alliés politique sont le parti radical de gauche, le mouvement républicain et citoyen ainsi

membres de l’ONU. Les droits des enfants sont les droits de la personne qui s’appliquent aux enfants. Les jeunes ont notamment droit à une protection et à des soins attentionnés, au maintien d’un lien avec les parents biologiques, à une identité humaine, à la satisfaction de leurs besoins alimentaires fondamentaux, à une instruction financée par l’État, à des soins de santé et à des lois pénales adaptées à leur âge et à leur développement. La portée de ces droits repose sur la protection contre

droits garantis aux détenus 1- dignité de la personne humaine, droit à la vie : Dans sa jurisprudence Kudla c/ Pologne le 26 octobre 2000, la Cour Européenne des Droits de l’Homme déclare que : «  l’article 3 de la convention impose à l’état de s’assurer que tout prisonniers est détenu dans des conditions qui sont compatibles avec le respect de la dignité humaine… ». Le Conseil Constitutionnel, lui-même estime que la sauvegarde de la dignité de la personne humaine est un principe indérogeable (décision

qu’ils ont de nier les hommes…vous le voyez bien que, pour eux, la vie humaine, la dignité humain ne comptent pas ! » Il défend les droits de l’homme. Il prône l’égalité des hommes et est contre le racisme. Le dilemme auquel il est confronté est donc d’autant plus dur. Il doit choisir entre la vie de 6 otages innocents et celle de millions de Vénézuéliens. Sa conscience ne peut être que déchirée car dans les deux cas la vie humaine est en jeu. D’une part celle des 6 otages enfermés avec lui, d’autre