Dîme

emprunts russes qui dormaient là en espérant leur résurrection, le pistolet d’ordonnance d’un grand-oncle, dont le chargeur était plein mais dont on avait limé le percuteur, et de l’argent aussi, pas beaucoup, quelques billets, d’où je prélevai la dîme nécessaire au financement du cadeau. Voler pour acheter l’affection des adultes… Ce n’était pas exactement du vol et ça n’acheta évidemment aucune affection. Le pot aux roses fut découvert lorsque, durant cette même année, j’offris à ma mère un de

- Mentalité => distinction de naissance remplacée par distinction du mérite (légion d'honneur) => émergence de catégories de petits bourgeois (ascensions sociales) => remet en cause pouvoirs de l'église (nationalisation des biens, perte de la dîme) => liberté de culte et de conscience Conclusion Transformations sociales et économiques (égalité devant l'impôt, nouvelle monnaie, fin société d'ordre... ) Mais administration reste centralisée, malgré la création des départements. Mentalités

qui louent ces terres , ou sont salariés de l’église. Certains de ces paysans sont des serfs, ils sont rattachés aux terres, si le propriétaire vend la terre , le paysans est vendu aussi. De même les laïcs doivent payer un impôt à l’église, c’est la dîme, et correspond à 1/10 eme des récoltes ou du troupeau. Cet impôt est obligatoire sous peine d’être exclus de la communauté (=excommunication) en effet l’église s’enrichit considérablement mais condamne l’enrichissement ( paradoxe) Aussi l’église

(cure) les âmes des fidèles, avec l'aide d'un ou plusieurs vicaires.Au-dessus, se trouve l'évêque, obéissant lui-même à un archevêque de grande ville. Evêques et archevêques sont de grands seigneurs féodaux. Ils sont riches, prélèvent la taille et la dîme, ont des serfs et des soldats ; ils vont à la chasse, font parfois la guerre et rendent la justice. Au-dessus de tous, un chef suprême, le Pape, qui siège à Rome, commande également le clergé des monastères auquel vous voulez appartenir, et qu'on nomme

l’Eglise est en quelque sorte la protectrice de la famille royale, les ecclésiastiques prient pour le salut du roi ainsi que pour le salut de sa famille. Les interventions de l’Etat sont également économiques, puisque Charlemagne décide de généraliser la Dime, c’est-à-dire la généralisation d’une redevance de tout chrétien due à l’Eglise, elle correspondait à un dixième des revenus. Mais l’Eglise est également un soutien important pour l’empereur puisque c’est elle qui légitime son pouvoir, c’est le Pape

diagonalisable si et seulement si χf est scindé sur K et pour toute valeur propre λ de f, o(λ) = dim(Eλ ). Théorème. f est diagonalisable si et seulement si E est somme directe des sous-espaces propres. Théorème. f est diagonalisable si et seulement si dimE = dim(Eλ ). Théorème. Si dim(E) = n ∈ N∗ et f admet n valeurs propres deux à deux distinctes alors f est diagonalisable et les sous-espaces propres de f sont des droites (réciproque fausse). 2.5 Polynômes d’endomorphismes 1) Commutant.

Tiers-Etat : se divise entre les ruraux et les bourgeois, regroupe près de 25m de personnes Clergé : corps religieux de l’Etat Inégalités entre les 3 ordres : il y a des privilèges. Privilèges du Clergé : * ne paie pas d’impôt et en perçois ; la dîme. La dîme vient de dix, car 10% du produit des récoltes des paysans leur revient. . * ne sont pas soumis au droit commun, sont jugés par les tribunaux ecclésiastiques qui appliquent le droit canonique. * dispensés de service militaire Privilèges

être exploité par leur seigneur sous réserve. Ces seigneurs, ces guerriers, sont engagés envers le roi, ils lui doivent assistance militaire et en échange, le roi garantit la possession de leurs terres (l’église va percevoir tout de même une taxe, la dime, elle a donc accepté cette solution de compromis). Ce mécanisme, qui au départ est limité au roi et à son entourage qui repose sur des liens étroits, va se multiplier à l’infini. Ces grands seigneurs vont faire de même avec leurs propres guerriers

nombreuses parcelles aux évêques, ces dons sont souvent l’œuvres de voisins victimes de la pressions de l’épiscopat. Les évêchés perçoivent en outre la dîme (établie aux conciles de Tours et Macon en 557 et 585, généralisée par Pépin le Bref en 755). La dîme était au départ justifiée par la nécessité d’avoir une Eglise à même de racheter les prisonniers. La dîme est un impôt qui permet à l’Eglise de percevoir 10% des revenus fonciers de la province. Les épiscopats justifient aussi leurs spoliations par

souverain, bien que le Clergé soit officiellement exonéré d'impôts. Le Clergé possède un important patrimoine foncier dont il tire de colossaux revenus (6% du territoire), des immeubles (églises, couvents, abbayes, hospices, écoles...), et perçoit la dîme dont une partie est réservée à des oeuvres de charité, à l'enseignement, aux soins portés aux malades... Le Clergé se compose d'environ 130 000 membres, repartis de la manière suivante : - 70 000 séculiers - 60 000 réguliers (dont 40 000 religieuses)