Dîme

société d’ordres, de corps hiérarchisés même si viennent se surimposer une hiérarchie du savoir, du revenu et du patrimoine. Les conditions de vie sont difficiles pour une grande partie de la population comme le montre Vauban dans son projet de Dîme royale ou Fénelon dans certains de ses écrits. Toutefois, à la différence du règne de Louis XIII, celui de Louis XIV a été peu marqué par les révoltes populaires.

politiques), juridiques puisqu’elle dispose de son propre droit dit canonique et de ses propres tribunaux et, fiscaux puisqu’elle ne paie pas d’impôts hormis un don au roi au montant libre. L’Eglise est même à l’origine d’impôts puisqu’elle touche la Dîme qui s’exerce sur toutes les propriétés et dont même le Roi doit s’acquitter en plus des « casuels » en échange des services religieux rendus. Ces privilèges fiscaux ont largement contribué à l’enrichissement de cet ordre. Avec l’apparition de la

campagnes La dépendances économiques : la possession des terres : la plus part posséder par des gens de la ville l’artisanat contrôler par des urbain contrôle du prélèvement des villes sur les campagnes : ex le paysans doit payer l'impôt royale, la dîme... le prêt de l'argent est souvent prêter par les urbain => la ville à des pouvoir sur la campagne B- Une attraction urbaine La ville est un lieu de refuge en cas de problème personnelle (grossesse illégitime), en cas de crise (institutions

circulation des marchandises en Fce : barrières douanières abolies et politique facilitant l’échange. Multiplicateur de Boisguilbert : imptce de la circulation des ressources monétaires. Vauban (1663-1707) : préconise une réforme fiscale Projet de dime royale (1707), la prospérité de l’agriculture entraine celle du commerce et de l’industrie. Quesnay domine la pensée éco en Fce à partir de 1750. Richesse de l’agr irrigue tte la sté. Existence d’une logique économique, un « ordre naturel ».

commercialisait cependant 16 000 litres par an grâce à la dîme, encaissant de cette façon les bénéfices du vin sans avoir à assumer tous les problèmes des coûts d’exploitation. Pour le blé, dans la même ville, Alonso Castroviejo estime que la pression exercée par les gros propriétaires sur la production correspondait à peu près à 21% de la récolte pour les terres de secano et à 30% pour le regadío ou la huerta. Mais le petit paysan —une fois payés la dîme, les frais d’exploitation, la location de la terre

enfin Marie Calumet, que Narcisse aide à descendre de voiture. C o m p é t e n c e (chap. V-XI) L'ordre est rétabli au presbytère par M . C , mais le curé doit contrôler deux excès : a) M.C. v a trop loin et le curé doit refaire sa réforme de la dîme; b) M.C. croit devoir conserver la sainte pisse de monseigneur et le curé refuse. La sexualité apparaît dans le cadre inhabituel du presbytère, entre M.C. et l'homme engagé. P e r f o r m a n c e (chap. XII-XVIII) Marie Calumet va à Montréal

blasphème mais de les prévenir que ce roi sera un despote . Finalement , pour y répondre, il propose Saül . Par cette réponse il prévint des risques du passage a cette royauté . « Le Roi sera propriétaire de son royaume . Ainsi il lèvera l’impôt , la dîme . Il réduira des hommes en esclavage . Il enrichira ses proches » Voila une explication concernant l'origine de toutes ces inégalité qui gouvernent le monde . Les hommes en sont la cause et ce en connaissance de cause . Cette monarchie n'est

déclinaisons d'impôts directs et indirects fluctuèrent en regard de la situation politico-économique du pays. 1789, la révolution modifia le cours des choses radicalement. Suppression des privilèges d'ordre et de classe ainsi que la suppression de la dîme et des droits féodaux contribuèrent à l'instauration de nouvelles bases de calcul dans l'application de l'exercice fiscal. Deux mesures notables : le calcul de la contribution foncière ramené sur la base des revenus nets de la terre, et non plus sur

Priléges; LERO| Privileges \ leclrgé ne paye Haut cere k Lniiiihay La noblessene pay pasTimpOtroyal ing A bis ga piesohe lata ‘ tla des fonctions bigques, abs 4 (anon noblesse de cout may Pas de priildges: letiers Cat paye divers imps dime a cleg, la tlle a oie es rots selgneuriauy, ule lege, Bas erg (us, moins) GE LANOBLESS fre) get 2% Moyenne et petite nblesse lapoulation ~ Vege ~ debe lier dio Bic = A / TIERS Artins-Boatgs Paysansmoyes trance) E TAT (hse 98

Au 18ème siècle la France est répartie selon trois ordres, tout d’abord le clergé qui compte 1% de la population, c’est une minorité puissante qui joue un social (enseignement, assistance, état civil). Sa richesse est principalement fondée sur la Dîme (impôt en nature payé par les paysans) et les dons des fidèles, il est aussi jugé par ces propres tribunaux. Ensuite la noblesse qui compte qu’en à elle 2% de la population est très attaché à ces privilèges honorifiques (droits de porter l’épée) et