Diminutif

historiens lui attribuent. Il fut secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique de 1922 à 1952 et dirigea l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) à partir de la fin des années 1920 jusqu'à son décès. D'abord surnommé Sosso (diminutif de Iossif) pendant son enfance, il se fit ensuite appeler Koba (d'après un héros populaire géorgien) dans ses premières années de militantisme clandestin et par ses amis proches. Il utilisa ensuite le pseudonyme de Staline, formé sur le mot russe

pour éviter l’homonymie moudre (melzti, malti). Dans le shomonymes aimer et estimer – gerbti du latin aestimare, le dernier a été remplacé par estimer, terme de la formation savante. Le substantif raine (rana lat : varle) a été remplacé par le diminutif grenouille (lat.ramencula) pour éviter l’homonymie la reine – la raine Les homonymes sont une source inépuisable pour les jeux de mots : Je suis ce que je suis, si je n’étais pas ce que je suis, je ne serais pas ce que je suis, ou bien Quel est

d’abord nous allons découvrir un récit plaisant. Nous allons parler de Perrette qui est un personnage sympathique. En effet Jean de La Fontaine a décidé d’appeler son personnage principal Perrette ;c’est un prénom très attachant. Perrette est le diminutif de Pierrette qui est le féminin de Pierre. De plus l’auteur dès le début de son œuvre, montre l’attachement que l’on peux avoir pour ce personnage, « notre laitière » V 7, ainsi que la description courte mais précise que nous avons de cette jeune

ses idées marxistes en 1899. A 18 ans, il va se rallier secrètement au Parti social-démocrate de Tiflis. Dès lors il mena une activité révolutionnaire ce qui lui valu d’être déporté en Sibérie à plusieurs reprises. Joseph est alors connu sous son diminutif de Sosso puis sous le pseudonyme de Koba. En 1904, il rejoint le les bolcheviks dont il fut un militant exemplaire ; à nouveau déporté il s’évade et organise au Caucase en 1907 des «expropriations», qui sont en fait des hold-up, pour soutenir le

LA « TROTTINETTE » 2012/2013 HISTORIQUELe mot trottinette aurait été construit comme diminutif de trottin, terme en usage à cette époque qui désignait une jeune employée chargée de faire les courses en ville, et qui pour cela « trottinait » fréquemment, c'est-à-dire marchait à petits pas courts et pressés. La patinette est strictement synonyme. Et « trotinette » n’existe pas, même si il est couramment utilisé ça prend bien 2 « T ». La trottinette en elle-même n’a pas vraiment d’histoire

échanges de courrier personnels. ÉTYMOLOGIE : Correspondant ; espagn. correspondencia ; ital. corrispondenza.  Billet : Message bref, adressé à une personne, réduit à l'essentiel dans son contenu comme dans sa forme. ÉTYMOLOGIE : Billetus ; diminutifs du bas-latin billa, rescrit  Lettre : Chacun des signes graphiques dont l'ensemble constitue un alphabet servant à transcrire une langue. Signe graphique ou ensemble de signes graphiques. ÉTYMOLOGIE : espagn. letrado ; ital. letterato ;

Caesar, Drusus III, Drusilla, Julia Livilla, Agrippine la jeune. Enfant, il accompagna sa mère qui suivait souvent son père dans les camps militaires et ses sandales adaptées à ses petits pieds lui ont valu le surnom de « caligula » (« sandalette », diminutif de caligae), qu’il finit par détester. Tibère avait assigné sa succession conjointement à son propre petit-fils Gemellus et à Caligula ; celui-ci se fit seul reconnaître par le Sénat (en l’an 37), adoptant d’abord Gemellus, qui se fit assassiner

éléments contribuent à cette transformation originale de la tradition : le vocabulaire, le rythme, un ton plus cru... Tout d'abord Queneau emploi un registre de vocabulaire parfois familier. Il tutoie sa muse et l'interpelle par un diminutif "fillette" vers 3. A la fin de chaque strophe intervient "ce que tu te goures" qui est très familier. De même, le bégaiement un peu comique "xa va xa va xa" vers 5, repose sur une contradiction de la lange parlé "que ça va" est réduit à "xa va",

« hockey » pour désigner de tels jeux est attestée depuis 1785 (1527 pour hockie) mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux mot français d’origine germanique hoquet (bâton de berger, crochet)[6], ou de l’hokkie hollandais, diminutif de hok (chenil ou cabane et désignant dans ce cas les cages de but). Beaucoup de ces jeux furent développés pour les champs, mais furent joués également sur la glace, comme on le voit sur certaines peintures hollandaises du XVIe siècle. Cependant

fêtes galantes de Verlaine, les adolescents se livrent au jeu de la séduction, l'adolescente qui apparait n'est pas une beauté plastique, elle est d'abord métaphorisée prosaiquement en "chiffon", elle a des petits airs charmants mais est affublée de diminutifs, elle est petite, semble soumise à son père, inaccessible. Mais on peut se prendre et se laisser prendre au jeu de la séduction, devenir amoureux sur un simple regard, un retournement. Le retournement devient bouleversement car l'amour impose de