Diocèse

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l’évêque, chef de l’église dans la cité. (Diocèse) l’évêque préside à la communauté des prêtres. Concile : assemblées Monachisme : l'état et le mode de vie de personnes qui ont prononcé des vœux de religion, et font partie d’un ordre dont les membres vivent sous une règle commune, séparés du monde. Les bénédictins en 529 : la prière et le chant de l’office divin, le travail manuel et le travail intellectuel. Elle est dépendante de l’évêque du diocèse Les latin est la langue d’administration des

avec le patriarche qui accuse les Eglises occidentales de faire du prosélytisme en Russie depuis la chute du mur. Relations se sont tendues davantage à la suite de la création par Rome de nouveaux diocèses. J P II : création en 1991 et 1999 d’administrations apostoliques, remplacées en 2002 par 4 diocèses, couvrant tout le territoire avec un archidiocèse à Moscou. Patriarchat de Moscou dénonce « acte inamical » : mesure « d’expansion ». Soutenu par les Eglises serbes et même par le patriarche de Constantinople

moments super sympa avec les malades, surtout lors de la procession aux flambeaux. J’ai parlé aux malades et ils m’ont apporté beaucoup plus que je ne leur ai donné. Le mardi matin, nous avons accueilli les malades du diocèse de Strasbourg (avant on s’occupait des malades du diocèse de Rodez et du Mans). On les a accueillis en musique, ils ont aimé. Aurélie D. Hirsingue Belle expérience- super moments Lourdes…quelle aventure ! Les vacances passent et d’un coup, on se retrouve enfin dans le bus

rentes annuelles fixes. C’est ainsi le cas du bureau de Lunel, dans le diocèse de Montpellier, qui touche 1500 livres de rentes en 1770. Les premiers bureaux de charité sont fondés à la fin du XVIIème s mais leur nombre n’augmente que peu jusqu’en 1760. A partir de cette date, les bureaux se multiplient, l’Etat leur confiant volontiers la charge des pauvres. Ils sont inégalement répartis sur le territoire, certains diocèses possédant jusqu’à vingt-cinq bureaux, comme Montpellier en 1770 alors que

doctorat de médecine aurait nécessité trois années d'études)11. À la fin de ses études, en 1503, il quitte définitivement l'Italie et réintègre son diocèse. Humaniste aux activités multiples À son retour en Pologne, Copernic se loge auprès de son oncle dans le palais épiscopal de Lidzbark Warmiński. Il assiste l'évêque dans l'administration du diocèse (qui disposait d'une autonomie politique vis-à-vis du roi de Pologne), et devient également son médecin personnel. La réputation du médecin Copernic

Sire, Seigneur, Messire = Seigneur, Monsieur Le prud’homme, le bourgeois Le marchand, l’aubergiste Le curé = le prêtre = le chapelain > l’étole, l’eau bénite, le bréviaire (= livre de prières) Le miracle, la merveille, la ruse L’évêque du diocèse, l’Eglise, le Seigneur (= Dieu / Jésus-Christ), la Terre Sainte (= Israël et territoires palestiniens occupés), les Saints Le prévôt = le juge royal, l’homme de loi Le païen = l’homme sans religion L’étourderie, la gourmandise, l’avarice, la méchanceté

commune, sous la direction d’un abbé | * Le clergé séculier est constitué des clercs qui consacrent leur vie au service de Dieu, mais qui vivent dans le siècle, c’est-à-dire au contact de la société laïque | pape, clerc, moine, évêque, curé, diocèse, paroisse | Au Moyen-Age, l’Eglise est tutrice de l’Occident | * L’Eglise est omniprésente : elle contrôle toute la vie sociale (pouvoir spirituel, matériel, judiciaire, contrôle sur le savoir et l’enseignement) * L’Eglise joue également

et surtout plus proche du peuple tout en laissant les pouvoirs principaux à l’autorité centrale à Rome. Il limite l’influence du Sénat tout en éprouvant beaucoup de respect pour celui-ci. Au niveau des provinces, il va regrouper les provinces en diocèses à la fin du 3e siècle. Ceci va faire augmenter le nombre de provinces car elles vont être morcelées et va permettre de mieux contrôler les gouverneurs, notamment par les vicaires sortes de surveillants à la solde de l’empereur, et d’augmenter l’efficacité

hommes les plus sérieux et les moins superstitieux du village de Gentilly venaient passer la nuit au presbytère, et en sortaient le matin, blancs comme des fantômes. Le pauvre curé ne vivait plus. Et il décida d’aller consulter les autorités du diocèse : et comme Trois-Rivières n’avait pas encore d’évêque à cette époque, il partit pour Québec. Le soir de son retour, nous étions réunis, comme les soirs précédents, attendant le moment des manifestations surnaturelles, qui ne manquaient jamais de se