Dioclétien

chronologie et les annales, est tiré d’un ouvrage byzantin du IXe siècle, Chronographia écrit par Théophane le confesseur, ou Théophane de Sygriana. Il retrace dans sa Chronographia, l’Histoire de l’empire Romain, puis l’histoire de l’empire Byzantin, de Dioclétien à Michel 1er. Cette Chronographia possède une base chronologique stable et très rigoureuse. Théophane est le chronographe Byzantin le plus célèbre, mais il est également membre de l’Eglise, il prend part au conflit iconoclaste du cotés des iconophiles

dont la valeur chute sans cesse et par une hausse massive des prix. Cette crise monétaire et financière, qui est le reflet d'une profonde crise de civilisation, manque d'emporter l'Empire. Tout est tenté par les Empereurs pour redresser la barre. Dioclétien essaye même une fixation autoritaire des prix à la fin du IIIème siècle, ce qui montre la nullité de la pensée monétaire qui prévalait à l'époque. Les conséquences d'une fixation autoritaire des prix sont immédiates : les commerçants cachent leurs

de compromis permanent entre les tendances orientales et les réticences des citoyens romains anciens qui n’acceptent pas tellement le rejet de la République. Les empereurs vont de plus en plus augmenter la part de leur divinisation. 
L’empereur Dioclétien va affirmer que l’empereur est Jupiter sur terre. Petit à petit, notamment au début du 4ème siècle après JC, ces pratiques vont disparaitre car l’empereur Constantin va se convertir au Christianisme. L’empereur reste tout de même le représentant

discours plat et conformiste. Dans le 2ème discours, tout aussi élogieux mais plus sérieux, l’agriculture est élevée en grande valeur, telle que la religion (l.75), la Science (« des connaissances plus spéciales » l.73) ou encore l’Histoire (« Dioclétien plantant ses choux » l.90. L’ironie de Flaubert est visible dans le montage subtil qu’est la superposition des deux actions. En effet, la scène des comices agricoles n’est pas appropriée pour une entreprise de séduction. Le vocabulaire et

loisirs particulièrement imposants sont construits par les empereurs. Le Circus maximus sert aux courses de char, l'amphithéâtre Flavien, ou Colisée, aux jeux du cirque. Les grands thermes sont de véritables centres de loisirs. Ceux de Trajan, de Dioclétien et surtout de Caracalla constituaient des monuments parmi les plus imposants d'une capitale comptant sans doute près d'un million d'habitants au début du IVe siècle. II) Rome après l'Antiquité : le patrimoine de la « ville éternelle » 1) La naissance

chrétiens n’ont pas été si nombreux aux premiers siècles…[Même un apologiste comme] Eusèbe de Césarée, qui a écrit sur les martyrs en Palestine, n’en recense qu’environ une quarantaine [en Palestine], même pendant la Grande persécution [celle de Dioclétien] »[footnoteRef:5]. Le spécialiste de l'Antiquité tardive Pierre Maraval explique que « les mesures [de persécution] ont été peu appliquées en Occident, même à Rome, où de surcroît les témoignages sont peu fiables, et presque pas en Gaule »[footnoteRef:6]

naturelle dans l’architecture est cependant étroitement liée aux capacités techniques de l’époque. Durant la période romaine, l’utilisation courante du verre permet la multiplication de puits de lumière et d’atrium, comme à Pompéi ou dans le palais de Dioclétien à Split. Le Moyen Âge est, en revanche, une période sombre durant laquelle la lumière est cantonnée aux édifices religieux. C’est la Renaissance, et ses innovations techniques, qui marquent un renouveau. Les toitures s’ouvrent, les lucarnes se multiplient

Foy est une enfant née de parents sans doute païens, dans la bonne société gallo-romaine d’Agen, au IIIe siècle. Elevée par sa nourrice chrétienne, elle se donna au Christ et refusa de sacrifier aux idoles, probablement lors de la persécution de Dioclétien, en 303. Après avoir vainement essayé de la brûler vive, on la décapita. Commence alors une très longue histoire, celle de son culte. Chaque année, les chrétiens d’Agen se rendaient à son tombeau, pour l’anniversaire de son martyre, le 6 octobre

Héraclius (610-641). De même en 641, l’empire romain perd l’Egypte (prise par les arabes). La période protobyzantine débute avec la fondation de Constantinople en 324. Constantin qui s’oppose à Licinius. Depuis le rétablissement de l’autorité de Dioclétien, on avait la présence d’un Auguste en Orient. Constantinople se situe près de deux frontières sensibles (entre les Goths et les Perses). Il y avait donc une nécessité de trouver une capitale idéale. De plus, Constantinople se situe en Orient, lieu

législatif mais aussi administratif (par le mandat).Au regard du texte, on peut voir qu’au deuxième siècle, les institutions républicaines sont en perte de vitesse alors que l’Empereur, lui, est en prise de vitesse. Il faudra cependant attendre 285 et Dioclétien qui va s’affranchir clairement et définitivement des institutions républicaines qui avaient été plus ou moins gardé en place dans le principat d’Auguste en -27 avant J-C. Pour finalement instaurer le dominat et prendre le nom de Dominus, Le Maître