Dionysies

siècle) s’inspirent directement de sujets mythologiques et historiques : A) La tragédie antique La tragédie grecque est une manifestation caractéristique d'Athènes du Ve siècle avant J-C. C'est vers 534 que le premier concours tragique des Dionysies à lieu. En effet, la tragédie naît des célébrations religieuses faites pour Dionysos (dieu de la vigne, du vin et de ses excès). En plus d'être basée sur Dionysos, la tragédie présente un personnage en situation de victime, qui est confronté aux

communication qui doit remplir les critères suivants: a) La cohésion b) la cohérence c) l´intentionalité d) l´acceptabilité e) l´informativité f) la situationnalité g) l´intertextualité (Alexandra Georgakopoulou a Dionysis Goutsos: Discourse Analysis an introduction) Les deux premiers critères sont appellés «internes» tandis que les autres sont des critères dits «externes». Ces derniers constituent ce que l´on appelle le contexte alors que les éléments «internes»

partie d'un palais. L'abbaye se met à l'abri: La 1ère fortification e Saint-Denis est commanditée en 869 par Charles le Chauve pour protéger le monastère des raids vikings. Déclin de la présence royale : Progressivement, le castellum Sancti Dionysii devient un bourg qui prospère à l'abri des remparts. Sur le terrain, les bâtiments du palais disparaissent pour laisser place à une extension de l'habitat civil et du cimetière. Les galeries qui les reliaient les 3 églises sont détruites et remplacées

Les prêtres sont des magistrats tirés au sort, les citoyens vont instaurer la religion civique. La plus grande fête religieuse est des Grandes Panathénées qui a lieu tous les 4 ans. Elle accueille tout le monde, même les non-citoyens. Lors des Dionysi (la fête donnée en l’honneur de Dionysos) on joue trois tragédies et une comédie. Elles mettent en scène des problèmes sociaux, cela permet d’exprimer des mécontentements, des peurs et des critiques politiques dans le cas d’Aristophane. Ces fêtes

(justifiée et théorisée par Aristote au IVème siècle dans sa poétique) s’instaure entre la tragédie et la comédie. La première étant considérée comme un genre « élevé » et la seconde un genre « bas ». D’ailleurs lors des concours de théâtre aux Grandes Dionysies un seul jour est consacré à la comédie et trois à la tragédie. Cette théorie reprise par les auteurs classiques français existe encore de nos jours. Au IIème siècle av. J .C les auteurs latins comme Plaute et Térence adaptent les auteurs grecs

9, doc.2) Des fêtes, elles-mêmes naissent la tragédie et la comédie destinées à honorer le dieu. Les pièces de théâtre sont écrites et jouées pour les concours qui ont lieu chaque année aux fêtes célébrées en l'honneur du dieu Dionysos : les Dionysies. Elles connaissent un remarquable essor (peut-être lié aussi à l’extension de la viticulture). Elles se déroulent vers la fin du mois de mars et durent six jours. La foule se rend en procession au sanctuaire de Dionysos pour en sortir la statue du

protectrice de la cité sont construits par la cité et financés par les citoyens les plus riches pour qui c'est un devoir. Le plus célèbre est le Parthénon dédié à Athéna et qui abrite une statue de la déesse oeuvre de Phidias. Les Panathénées et les Dionysies sont les fêtes les plus importantes. - Célébrée en été, la fête des Panathénées (c'est à dire de tous les Athéniens).manifeste l'unité de toute la cité puisque les citoyens sont tenus d'y participer ainsi que tous les autres habitants : les enfants

tragédie entrait dans une lente évolution qui allait la mener vers un théâtre de l'imitation. Plus tard, Sophocle augmentera à trois le nombre des acteurs. Dionysies Fêtes en l'honneur de Dionysos, dieu du vin, du plaisir et des jeux, qui est aussi le protecteur des arts, en particulier du théâtre. En Grèce antique, les Grandes Dionysies avaienr lieu chaque année, au printemps; à cette occasion, on organisait pendant six jours toutes sortes de solennités : processions, sacrifices, dithyrambes

étroit entre le culte rendu aux dieux (notamment les dieux protecteurs de chaque cité) et le fonctionnement de la cité, dont tous les actes importants comportaient un sacrifice. De même c'est la cité qui s'occupait des fêtes (Panathénées et Grandes Dionysies notamment), des constructions religieuses et de leur entretien. Pas de classe sacerdotale distincte, c'était la fonction des magistrats. C'est l'assemblée qui décidait du calendrier religieux, des offrandes, de la rétribution des prêtres, de l'introduction

origine le cômos, procession en l'honneur du Dieu Dionysos où des personnages déguisés se moquaient de la foule. Sa forme théâtrale s'élabore en concurrence avec la tragédie, considérée comme plus noble: ainsi, lors des concours de théâtre aux Grandes Dionysies, un seul jour est réservé aux comédies alors qu'on en accorde trois aux tragédies. Cette hiérarchie entre les deux genres, l'un « élevé» et l'autre « bas », est justifiée et théorisée par Aristote au IVe siècle av. J.C., dans sa Poétique. Elle est