Dionysos

comédie déséspérée      Théâtre grec:      Comme toutes les manifestations antiques, le théâtre grec a une forte composante  religieuse. Cet aspect s’explique par son origine. Le théâtre à été joué pour la première fois  lors d’une fête en l’honneur de Dionysos qui étais le dieu du vin et des fêtes. Il tire son nom  du latin theatrum, issu d'un verbe signifiant « regarder ».Lors des premières manifestations  de cet art, l'acteur mime et grimace de façon exagérée pendant qu'un public participe  bruyamment au spectacle

Euripide ) est une œuvre d’art qui opère la synthèse entre l’esprit apollinien et l’état dionysiaque. Raison et ivresse sont inséparables dans la réalité humaine. Apollon est le symbole de la rationalité, de la mesure, de la raison, de la lumière, et Dionysos, symbole du délire et de l’ivresse.. La mort de la tragédie commence avec la séparation de l’esprit apollinien et de l’ivresse dionysiaque, c’est-à-dire, avec la naissance de la philosophie rationnelle incarnée avant tout chez Socrate. D’une

I)Ses origines : La comédie a des origines populaires. Dans le cadre des fêtes en l'honneur de Dionysos, il y avait des cortèges burlesques, appelés kômoi, où l'on pouvait entendre des plaisanteries et des chansons. Ces manifestations spontanées ont fait place après quelque temps à des représentations plus organisées, des farces, des pantomimes: c'est ainsi qu'est né le théâtre populaire. Ses ressources inouïes ont inspiré des hommes de lettres qui ont décidé de les exploiter à fond et de leur donner

VIe siècle : les Néméa, les Pythia de Delphes en l’honneur d’Apollon et les Isthmia de l’isthme de Corinthe en l’honneur de Poséidon. Les les Dionysies en l’honneur de Dionysos : lors de ces fêtes sont introduites des épreuves de chœurs comiques, tragiques et dithyrambiques (le dithyrambe est un chant choral en l’honneur de Dionysos). L’organisation des épreuves de chœurs dithyrambiques est à mettre en relation avec l’institution à Athènes, par Clisthène, d’un régime isonomique, reposant sur la répartition

populaires en l'honneur de Dionysos. Il fait son apparition vers 500 av J-C. Tous les citoyens d'une cité grecque peuvent assister à des spectacles théâtraux, financés par les plus riches d'entre eux. Ils sont assis en plein-air, sur des gradins de bois adossés à un flanc de colline. De cette origine religieuse, le théâtre conserve des scènes rituelles (scènes de deuil, de sacrifice, de supplication) et des hymnes en l’honneur des dieux. Sur la scène se trouve un autel dédié à Dionysos, intégré dans la mise

Toutefois, c’est à partir de ce moment que le mythe commence à diverger entre les différentes versions. En effet, certains disent que Thésée trahit sa promesse envers Ariane en l’abandonnant à Naxos. D’autres encore affirment que c’est plutôt Dionysos, le dieu du vin et du théâtre, qui l’enleva après être tombé en amour avec elle. Bref, après qu’il eut perdu sa bien-aimée, Thésée fut tellement secoué qu’il en oublia la promesse faite à son père : déployer des voiles blanches sur le navire s’il

plus complexe qu’on ne pense, et ne se ramène pas aux péripéties d’Œdipe. Le cycle thébain commence par la fondation de la cité par Cadmos, un Phénicien à la recherche de sa sœur Europe enlevée par Zeus. Il montre aussi l’importance du personnage de Dionysos qui met en évidence les tensions et les contradictions entre l’autochtone et l’étranger, l’homme et la femme. Il fini ensuite par nous résumé le cycle de Persée.

de ce royaume. (descendre par un sentier, menant là où l'Achéron se joint au Cocyte, Cerbère gardien de la porte de l'Enfer, Hypnos, le sommeil & Thanatos, la mort y habitent) Les dieux mineurs de la terre : Demeter (déesse du blé) & Dionysos (dieux du vin), autres dieux sans grande importance : Pan : satyre, fils d'Hermès, dieu des chevriers, musicien, laid, amoureux des nymphes; Silène : dieu du vin, ivre, toujours sur un âne, frère de Pan Castor & Pollux : 6 mois en Olympe

Le théâtre est apparu en Grèce pour la première fois afin de célébrer Dionysos, et avait pour but de divertir et d'enseigner. Aujourd'hui encore, nous allons au théâtre pour penser, une heure ou deux, à autre chose. Pour nous distraire, nous émouvoir. Pour Lechy Elbernon, dans L'Echange de Paul Claudel, le public vient au théâtre pour se « regarder lui-même ». Dans Ruy Blas, Victor Hugo classe les spectateurs en trois catégories : les femmes, les penseurs et la foule auxquels il donne à chacun des

voir Zeus dans sa toute puissance. Zeus répondit à la requête de Sémélé, mais ainsi, Sémélé mourût foudroyée par son amant. Zeus prit le fils que Sémélé avait conçu dans ses entrailles et le plaça dans sa cuisse jusqu’à sa naissance. Ainsi naquit Dionysos, fils de Zeus, sorti de sa cuisse, dieu des festivités et du vin. C’est ainsi qu’aujourd’hui, cette expression signifie être imbu de sa personne, se vanter, avoir l’impression de faire partie de l’élite.  .Un cheval