Dioxyde de soufre

mètre cube). Ces seuils correspondent à des niveaux à partir desquels il y a un risque pour la santé. L'indice est déterminé par le maximum d'un ensemble de sous-indices, chacun d'entre eux étant représentatif d'un polluant de l'air : dioxyde de soufre (SO2), dioxyde d’azote (NO2), ozone (O3) et poussières fines (PM10). Les sites de mesure sélectionnés pour son calcul caractérisent la pollution atmosphérique de fond des zones fortement peuplées (sites urbains) ou périurbaines (sites périurbains) :

|qualité de l'air. | | |Les catégories actuelles les plus fréquentes de polluants de l'air sont les oxydes de soufre, les | | |oxydes d'azote, les composés organiques volatils (VOC) et les petites particules de poussière | | |(aérosols).

microbes et les bactéries extérieures. L’emballage constitue aussi une barrière à l’oxygène qui prévient le développement des micro-organismes aérobies. Plusieurs gaz peuvent être utilisés pour la conservation des aliments, tels que le dioxyde de soufre, le dioxyde de carbone, l’argon, l’hélium, l’azote, le protoxyde d’azote (gaz hilarant), le butane, l’isobutane, le propane, l’octafluorocyclobutane, l’oxygène et l’hydrogène. Tous ces gaz, en mélange ou seul, sont utilisés pour leurs propriétés chimiques

et concerne l’examen des corrélations entre les niveaux de pollution et l’incidence des crises d’asthme chez les enfants. Elle a montré des corrélations significatives entre l’incidence des crises d’asthme et les taux de pollution par le dioxyde de soufre, le monoxyde d’azote et l’ozone.

associées à une augmentation de la mortalité pour causes respiratoires ou cardiovasculaires. Elles contribuent aux salissures des bâtiments et des monuments. Dioxyde de soufre (SO2) Il est issu de la combustion de combustibles fossiles (fioul, charbon, lignite, gazole, etc.) contenant du soufre. La nature émet aussi des produits soufrés (volcans). Il entraîne des irritations des muqueuses de la peau et des voies respiratoires supérieures (toux, gène respiratoire, troubles asthmatiques). Il contribue

d’émissions aux entreprises, qui les échangent ensuite entre elles. Une véritable « Bourse au CO2 » va donc naître, comparable aux marchés des matières premières. Il existe déjà un marché de ce type aux États-Unis pour les émissions de SO2 (dioxyde de soufre). Marc Bertola, « Après le oui de Moscou : Kyoto c’est vraiment parti ? », Sciences actualités, 23 février 2005. Entrer dans le sujet Il est courant de mettre en relation les notions de croissance, d'indicateur de variation des richesses mesuré

particules sont : dioxydes de carbone, de soufre et d’azote, poussières, par­ticules radioactives, produits chimiques (dont certains engrais et pesticides), etc. Certaines molécules, tels que le CFC, sont même capables de détruire la couche d’ozone (trou d’ozone). Les voitures sont les championnes de la pol­lution, et c’est grâce à elles qu’on doit la ma­jeure partie des émissions de gaz à effet de serre, soit environ 26% (voir illustration 4). Comme les voitures rejettent du dioxyde de car­bone CO2

ozone (O3), hydrofluorocarbures (HFC), perfluorocarbures (PFC) et hexafluorure de soufre (SF6). Ces gaz empêchent l’énergie de passer directement de la surface du globe dans l’espace. De plus, une grande partie de ceux-ci sont produits par nos activités humaines tel que le transport, l’industrie… Chacun de ces gaz a un pouvoir d’absorption différent. Le méthane, par exemple, est plus « réchauffant » que le dioxyde de carbone. Mais le CO2 peut rester dans l’atmosphère un siècle contre dix ans pour

profonde présentent un grand intérêt pour le volcanologue. Ils s'échappent de façon diffuse, continue et invisible des flancs du volcan et sous forme de fumerolles. Leur couleur indique si l'on a affaire à de la vapeur d'eau, du dioxyde de soufre, de l'hydrogène, du soufre mais le CO2 lui est aussi invisible que dangereux. Leur température peut dépasser les 1000 °C ! Comment le volcanologue obtient-il ses températures ? L'étude d'un volcan passe par l'observation de son activité pour tenter de

Quelques points clés concernant la pollution atmosphérique Les principaux éléments responsables de la pollution atmosphérique, issus d’émissions naturelles ou anthropiques et des transformations chimiques des composés ainsi émis, sont : Les oxydes de soufre Les oxydes d’azote Les composés organiques volatils ou COV (butane, propane, méthane, acétone…) Le monoxyde de carbone Les particules primaires et secondaires L’ozone Sous l’effet du rayonnement UV, des réactions chimiques entre les oxydes d’azote