Dire Oui Antigone

"Antigone, murmure, le regard perduLe bonheur...Créon, a un peu honte soudain.Un pauvre mot, hein ?Antigone, doucement.Quel sera-t-il, mon bonheur ? Quelle femme heureuse deviendra-t-elle, la petite Antigone ?Quelle pauvreté faudra-t-il qu'elle fasse elle aussi, jour par jour, pour arracher avec ses dents, son petit lambeau de bonheur ? Dites, à qui devra-t-elle mentir, à qui sourire, à qui se vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ?Créon, hausse les épaulesTu es folle,

Séquence Antigone    Séance 1 ( 1 h) : étude du paratexte   peu d’indices à partir du titre et de l’illustration. Définition d'un éponyme : le titre de l'oeuvre est le nom du personnage principal Relever :       Date de création : 4 février 1944  autorités allemandes favorables à l’activité théâtrale pour que la vie semble continuer normalement. De +, autorités françaises souhaitaient voir jouer œuvres classiques et voyaient d’un mauvais œil les pièces où le thème de l’adultère était important

Convaincre, persuader et délibérer. Texte A - Jean de La Fontaine : «Le Lion s'en allant à la guerre» (Fables, Livre V, fable XIX, 1668) Texte B - Jean de La Bruyère : «Du Souverain» (Les Caractères, fragment XXIX, 1688) Texte C - Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).            Annexe 1 : Sergueï, Le Monde, «Dossiers et documents littéraires», 1993.            Annexe 2 : Fénelon, Les Aventures de Télémaque, livre V, extrait, (1694-1696).   Texte A - Jean de La Fontaine : «Le Lion s'en allant

Nom : Antigone Auteur : Jean Anouilh (1910-1987) date :1944. Mise en scène : Nicolas Briançon (2009). Domaine artistique : Arts du langage / Arts du spectacle vivant. Antigone : Barbara Schultz Créon : Robert Hossein Le Prologue : Bernard Dhéran I-l'auteur Jean Anouilh est né à Bordeaux en 1910, d’un père tailleur et d’une mère musicienne. Il mène des études de droit puis travaille dans la publicité. Passionné de théâtre, il décide de s’y consacrer après une représentation de Siegfried

d’avoir condamné ma cliente, Antigone, à mourir. Pour cela, rappelons les faits. Créon, l’oncle de ma cliente, a offert de splendides funérailles à son neveu, Etéocle, mort au combat contre son deuxième neveu, Polynice qui lui, sous un prétexte quelconque n’a pas mérité de funérailles. Créon a décidé que l’âme de son propre neveu ne méritait qu’une errance éternelle et que quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort. Ma cliente, Antigone, est une fille renfermée

Fiche de lecture Antigone De Jean Anouilh Editeur : la petite vermillon Année de parution : 2008 Sommaire 1) Le mythe d’Œdipe page 1 2)Auteurs ayant écrit sur le mythe page 2 (suit page 3) 3)Présentation des personnages page 2 4)Passage m’ayant plu page 3 (suite page 4) 5)Mon avis sur le livre page 4 6)Imagination d’une mise en scène pages 5 à 6 pour la pièce 1) Le mythe d’Œdipe Il semblerait que Laïos et Jocaste ayant bientôt un fils consulte

Jean Anouilh, Antigone, 1944. Texte A. Julie, Éraste, Nérine. JULIE. - Mon Dieu ! Éraste, gardons d’être surpris ; je tremble qu’on ne nous voie ensemble, et tout serait perdu, après la défense que l’on m’a faite. ÉRASTE. - Je regarde de tous côtés et je n’aperçois rien. JULIE (à Nérine). -Aie aussi l’œil au guet, Nérine, et prends bien garde qu’il ne vienne personne. 5 NERINE (se retirant dans le fond du théâtre). - Reposez-vous sur moi, et dites hardiment ce que vous avez à vous dire. JULIE. - Avez-vous

supplémentaire dans Antigone suite à l'extrait 3. À la fin de l'extrait 3, Hémon qui a entendu toute la conversation entre Créon et Antigone, décide d'intervenir sur scène et de s'exprimer. Imaginez la scène, le dialogue, qui s'ensuit. Hémon rentre. HÉMON: Tu ne pouvais pas me dire toute la vérité ce matin ? ANTIGONE : Hémon ? Depuis quand écoutes-tu notre conversation ? HÉMON : J’ai tout entendu. Tu ne m’aimes pas suffisamment pour oublier tout ça et rentrer avec moi ? ANTIGONE : Oui, je t’aime,

Antigone, de Jean Anouilh est un texte théâtral inspiré d'un mythe antique mais en rupture avec la tradition de la tragédie grecque. Il s'agit d'une des réécritures de la pièce de Sophocle représentée aux Dionysies d'Athènes au Ve siècle av. J.-C.. L'Antigone d'Anouilh est représentée pour la première fois à Paris le 4 février 1944, c’est-à-dire durant l'occupation allemande. Le personnage d’Antigone symbolise la résistance en luttant contre les lois de Créon, qui représente le pouvoir. L'histoire

conflit, à cet attentat. a. La religion: une croyance iréelle et public (Conscience collectif, privé) Pouvons nous parler de religion universelle? Oui et non. Oui car pour pouvoir croire en quelque chose il faut bien qu'il y ait un point de départ, croire en quelqu'un ou a quelque chose. Toutes personnes croyante ont donc la même croyance c'est à dire croire en Dieu par exemple mais ils n'auront pas forcément la même vision, le même point de vue ni la même méthode pour pratiquer cette religion. Il