Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services

le premier protocole financier avec la Tunisie. Depuis 30 ans, les domaines de coopération entre l’Union européenne et la Tunisie se sont multipliés et étoffés. Aujourd’hui, l’Union européenne appuie la Tunisie tant dans la modernisation et la compétitivité des entreprises et la facilitation de leur accès au marché, à travers plusieurs programmes; que dans le développement de l’enseignement secondaire et supérieur et de la formation professionnelle, ainsi que leur interaction au marché de l’emploi

relativement bas par rapport aux pays à niveau économique comparable. Le secteur n’exporte que 17 % de sa production en raison notamment des difficultés à satisfaire les critères de qualité et des exigences sanitaires des pays développés. Cependant l’industrie alimentaire nationale reste dans son ensemble, un système productif fragile et structurellement faible. Si au niveau de plusieurs branches, quelques entreprises - généralement les entreprises de création ancienne ou relevant du grand capital- réalisent

transformation des coopératives ainsi que l'interaction entre la demande de la société et les nouveaux débouchés pour le secteur laitier. - Garantir la qualité sanitaire des produits et le faire savoir. - Selon une récente étude portant sur la compétitivité de l’industrie laitière européenne, on trouve, au top 5 des pays innovants : le Royaume-Uni (142 nouveaux produits développés en 2006-2007), suivi par la France (63), le Danemark, l’Allemagne et les Pays-Bas (respectivement 47, 45 et 43). Les innovations

une méthode de gestion qui a pour principal avantage d’instaurer une structure au sein de l’organisme : cela permet d’engendrer des gains de temps, de rendement, de compétitivité... Le SME vise théoriquement à l’amélioration des performances et de la mobilisation du personnel... Cette démarche tend à décloisonner les différents services, à mettre en place des méthodes de travail transversales, à donner un sens et une cohérence aux actions entreprises. Ainsi, en permettant de sortir de la routine et

POLITIQUES ECONOMIQUES DU CIRES POLITIQUE ECONOMIQU E ET BILAN DIAGNOSTIC DE L’INDUSTRIE IVOIRIENNE AHOURE Alban A. E. - Consultant TANO A. Paulin - Consultant BUPED N° 03/2008 BULLETIN DE Ce numéro de BUPED est tiré de Politique Economique et Développement N°03/2008 de la CAPEC. Année de publication : Avril 2009 Résumé Cette étude vise à faire le bilan diagnostic de l’industrie ivoirienne. Après une analyse des politiques industrielles, nous mettons en exergue les

Réalisé par : IGOUDYANE Youssef | LABBI Taoufik | EL AOUFI Jamal | HNINI Anouar | REDOUANE Rabii Sommaire 1. Présentation et Organisation du Groupe 2 1.1. Historique 2 1.2. Segments Opérationnels 4 1.3. Profils Régionaux 5 1.4. Direction et conseil d’administration du groupe 5 1.5. Données clés du groupe 6 2. Stratégie du Groupe 7 2.1. Situation actuel du groupe 7 2.2. La Stratégie d’Enabler intelligent 8 2.2.1. Un modèle qui évolue 8 2.2.2. Éradiquer la fragmentation

la libre entrée et la libre sortie , la parfaite mobilité des facteurs de production. Si l’un de ces facteurs n’est pas respecté alors nous rentrons dans le modèle de concurrence imparfaite. De nos jours, sur la plupart des marchés de biens et de services, le modèle de concurrence pure et parfaite n’est pas respectés La concurrence se dit donc imparfaite si l’un des acteurs (monopole) ou un groupe d’acteur (oligopole) à la possibilité de fixer un prix, une quantité ou une qualité. Pourquoi les marchés

entre le SI et la stratégie c) Obstacles à l’alignement stratégique 2. Le SI vecteur stratégique pour un avantage concurrentiel. 1) Stratégie et concurrence. a) Le modèle Porter b) SI au service de l’avantage stratégique 2) Mesure de la compétitivité et évaluation du SI. a) Les indicateurs de compétitivité b) L’urbanisation du système d’information "Ce qui est simple est toujours faux. Ce qui ne l'est pas est inutilisable " Paul Valéry (1871-1945), Mauvaises pensées et autres, 1942 in Oeuvres

Aperçu général et étude du cas marocain Réalisé par : Kanti – Loirraqi – Lakouasma – Khersafi– Kpelo – Housni – Mouflih – Laqrouni – Jeanne Chancelia – Lambarki – Khayam Ce rapport rentre dans le cadre d’un projet confié par Mme Rochdane, professeur d’Economie internationale à l’ENCG de Casablanca. Ce travail de groupe a pour but l’appréhension et l’assimilation du rôle des échanges extérieurs dans le développement des économies en général, et de l’économie marocaine

attirer des IDE vers un plus grand nombre de pays en développement et pour que ces investissements aient le maximum d'effets positifs pour le développement. C'est essentiellement aux pays d'accueil qu'il incombe de mettre en place des conditions générales, transparentes et favorables à l'investissement et de renforcer les capacités humaines et institutionnelles nécessaires pour les exploiter. La plupart des flux d'IDE prenant leur origine dans les pays de l'OCDE, les pays développés peuvent contribuer