Dis-moi que tu m'aimes

pardonnas : mais pas longtemps Depuis la fois première Je filais, pareil aux autans, Comme la fois dernière. Tu me cherchas, me dénichas ; Courte et bonne, l’enquête ! Qui fut content du doux pourchas ? Moi donc, ta grosse bête ! Puisque nous voici réunis, Dis, sans ruse et sans feinte, Ne nous cherchons plus d’autres nids Que ma, que ton étreinte. Malgré mon caractère affreux, Malgré ton caractère Affreux, restons toujours heureux : Fois première et dernière. IV 3 Or, malgré ta cruauté Affectée

terminer comme ça. Et puis un matin , tu te lèves et la première personne à laquelle tu penses c'est lui et là , tu te rends compte que tu ne l'as toujours pas oublié et que malgré tout, tu l'aimes encore. ''- Tu l'aimes ? - Oui - Pourquoi tu lui dis pas ? - Il s'en fout...'' J'ai pas envie d'être celle des autres, j'aurais voulu être la tienne.. *Si tu m'appelles pas tous les jours, je comprends. Quand tu m'envoies pas de message toute la journée, je comprends. Je comprends même que tu ne me

l’orgueil, et […] » La longue énumération déborde sur les vers suivants et traduit le flot de joie qui l’envahit (mot sublime). L’ivresse (v. 1282) ressentie traduit par le rythme haché de l’alexandrin qui est proche de la prose (v. 1285) « La reine m’aime ! Ô Dieu ! c’est bien vrai, c’est moi-même. » L’anaphore « devant mes yeux » « devant moi » traduit l’idée que Ruy Blas pénètre dans sa vision. Les répétitions du substantifs « monde » de part et d’autre de la césure et du pronom personnel « moi »

que tout est encore possible. » « T’attendais quoi de moi au juste ? Faut pas croire, si tu cherchais la fille parfaite fallait même pas me regarder. » « Comment tu peux penser que tu tiens à moi si moi-même j’y tiens pas, pourquoi tu dis que tu m’aime alors que moi-même je me déteste, pourquoi t’es là, pourquoi tu restes. – FAUVE » « ton niveau d'intelligence doit être aussi profond que ta gorge, connasse  »

L'enfer souillerait ta faiblesse. Laisse Ses banquets à tes envieux, Vieux. C'est aller au sabbat trop jeune ! Jeûne. Garde-toi de leurs jeux hideux, D'eux ! Vois-tu dans la sainte phalange L'ange Qui vient t'ouvrir le paradis, Dis ? - Ains la mort nous chasse et nous foule, Foule De héros petits et d'étroits Rois. Attilas, Césars, Cléopâtres, Pâtres, Vieillards narquois et jouvenceaux Sots, Bons évêques à charge d'âmes, Dames, Saints docteurs, lansquenets

Mais a quelques endroits, en haut des montagnes, au sommet, elle reste, malgré le fait qu'on la jette, qu'on marche dedans, malgré tout les obstacles, elle sera toujours là. Dis, tu vois l'infini ? Ben moi je t'aime à peu près dans ces environs là. "Aimes-moi ou détestes-moi, les deux sont en ma faveur:-si tu m'aimes je serais toujours dans ton cœur;-si tu me détestes je serais toujours dans tes pensées."~William Shakespeare - Tu veux sortir avec moi ?- Mais ça va gâcher notre belle

continuer si tu n'es pas à mes côtés. A quoi bon se lever si je sais que tu ne me parleras pas, a quoi bon se lever si je sais que tu ne me regarderas pas, que tu ne penseras pas a moi, que tu feras comme si j'étais un fantôme. Un jour tu réussiras à m’aimer, comme un jour ont explosés les bombes et si j’écris çà c'est sûrement que je suis psychologiquement morte ou peut être seulement sentimentalement morte. Ouais, ouais, je suis jalouse. J'ai l'impression que tu me nargues, j'ai l'impression que tu

importante à leurs yeux. « -Bon moi je pense que la robe m’irais bien ! Commença Naura. -Ouai, avec le slim bleu turquoise ça sera nickel ! Conseilla Tara. -Oui tu raison, et toi ton avis, June, On peut l’avoir ? Rétorqua Naura. -Moi j’men fou. Dis-je en envoyant des textos. -Essaye de faire un effort au moins ! -J’en est pas envie, c’est pas mon truc les « One Direction » - Bon, moi je mets le sweat 1D rose alors ? Dit Tara. -Non plûtot le … » Et elles continuèrent comme ça toute l’heure

ce qui ne va pas mais sans trop insister, tout simplement parce que tu sais que d'en parler sa me fait le plus grand bien. En revanche, quand je vais bien, tu vas quand même rester près de moi, pour me prouver que tu ne m'aimes pas que pour savoir mes problèmes mais que tu m'aimes pour ce que je suis en réalité. T'es le genre de personne que j'admire. & C'est grâce à sa que je m'accrocherais à toi, de toute mes forces, et pour toujours. | « L'amour est une question de timing, il faut

filles et se dirige sur la place. Elle croise Donna mais poursuit son chemin). Donna : Hé ! Bonjour ! Sophie : Ah oui, bonjour. Donna : Sophie ? Sophie : Quoi ? Donna : Qu’est-ce qu’il se passe ? Hier soir, … Sky et toi … il y a un problème ? Dis-moi ce qui ne va pas. Sophie : (un temps) Je ne sais plus ce que je dois faire. Donna : Mais tu n’as rien à faire. (elle la prend dans ses bras). C’est ton choix et … on annule tout si tu veux, les gens comprendront. Sophie : (se retire brusquement