Dis-moi que tu m'aimes

La comtesse – Que te voulait le Comte ma Suzon ? Suzanne d’un air gênée – Il souhaitait me faire part de certains…désirs. La comtesse – Des désirs ? Dis moi en plus. Suzanne – Pour dire vrai, il voulait me faire des avances, que bien sûr j’ai rejeté. Il ne l’a pas apprécié mais mon Figaro ne supporterait pas une telle chose. La comtesse – Dis en moi plus tout de même. Suzanne – À vrai dire…Monseigneur a été très entreprennent. Il me demanda si ma nouvelle chambre me plaisait en y laissant parvenir

la prochaine femme qui partagerait ma vie serait la dernière, la bonne enfin celle que j’avais toujours cherché jusqu’ici. Je me suis dis que notre histoire est si particulière que personnes ne voulait y croire, toi la première en plus de l’entourage. C’est tout ce qui m’a convaincu, habitué à défier ma vie quotidienne, éternel combat pour la survie, je me suis dis, c’est la première fois que quelque chose de bien m’arrive et je voulais continuer à y croire. Dans mon obstination j’ai découvert en

tellement fort que tu pourrais l'étouffer. Tu le sens, tu le respire. Tu vis avec. Tu dis que c'est ta vie, ton sang, qu'il fais partie de toi, de ta vie, que rien ne pourra vous séparer. Vous vous promettez des millions de choses. Tu peux passer des après-midi dans le silence avec pour seule occupation se noyer dans son regard. Quand t'es amoureuse, tu le regarde sans t'arrêter, sans parler. Tu le vois, tu l'admire, tu lui dis qu'il est parfait. Tu es liée avec lui . Tu ne peux pas passer un jour sans lui

pouvais plus, de me détruire de jour en jour. Le bonheur c'est sans doute pas pour moi, l'auto destruction non plus mais il y a que dedans qu'il se passe quelque chose. Ouais, ouais, je sais, t’es désolé, j’suis désolé, tout l’monde est désolé ! Tu m’aimes puis tu m’détestes. Tu te montres sensible puis tu te conduis comme un parfait salaud. C’est une bonne description de notre relation ? Et passent, passent, passent, passent, passent, passent les jours, et rien, non rien, rien ne change sur le parcours

l'égoïsme. Ou simplement le besoin d'avoir un jardin secret, avoir quelque chose à préserver. Chaque fois, je vous promets que j'essaie, je suis prête je vais le dire c'est comme une poussé d'adrénaline les mots sont pendus à mes lèvres.. mais non. Je ne dis rien. Et là je sais que j'ai l'air conne envers moi-même . Alors, je plaisante pour cacher ça, et je me fais la promesse que la prochaine fois je le dirais, malgré que je sois au courant que les fois prochaines seront identiques. M'a fois. Les yeux

d'ailleurs. Il a l'air de bien m’aimer Marc je lui montre mes quelques créations graphique, on m'as toujours dit que je dessine vraiment bien, même si se sont toujours des dessins vraiment sombre. Ma plus belle création serait sûrement le petit enfant seul dans le coin d'une pièce, vraiment sombre. Sarah m'avait dit qu'il était dérangeant mais très réussi. Elle m'as toujours fait des compliments Sarah, je ne comprendrais jamais quelle en est la raison... Si ça se trouve elle m'aime, non je pense pas. Quelle

Vais a« Dis moi pourquoi je t'accorde toute cette importance? Dis moi pourquoi je pourrais tout te pardonner, en peu de temps? Dis moi pourquoi je t'idéalise, pourquoi je ne veux que toi? Dis moi pourquoi je ne pense qu'à toi, pourquoi j'écris tout ça, pourquoi, trop souvent, tu me manques? Dis moi pourquoi je ne supportes plus tout ça, pourquoi j'ai peur de tout perdre? Dis moi pourquoi je me souviens de tout comme si c'était hier? Pourquoi j'ai toujours cette envie de tout recommencer depuis le

pas guérir si on ne connaît ni l'épreuve ni la guérison. On apprend rien, et si on apprend rien, on ne change pas. La plus grande vérité que l'on puisse apprendre un jour est qu'il suffit d'aimer et de l'etre en retour Dis moi que tu m'aimes, dis moi juste que tu m'aimes parce que moi j'oserais jamais te le dire la première, j'aurais trop peur que tu crois que c'est un jeu. Sauve-moi. Je t'en prie. La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce quel'on veut et de le vouloir cependant

balancer pleins de belles paroles, et après ne pas agir comme tel. Et encore ca ce n’est pas le pire. Le plus horrible dans l’histoire c’est de te voir roucouler avec elle. C’est de voir comme elle te rend heureux. De savoir que tout ce que tu me dis, tu lui dis aussi. En fait je crois que tu me manques tellement, que je serais prête à croire n’importe quoi. Mais ca ca va durer qu’un temps. Des trombes d’eaux tombent du ciel, et ça me fait penser à la neige. Aux tableaux peint avec de l’eau. Aux poèmes

tu ne souris pas ? Moi : Je suis fatigué ... Louis : Tu dis des choses mes ton regard en dis une autres. Moi : Ça va ! C'est bon Louis, je vais bien ! Je suis juste fatigué ! Oui, ce soir j'en avais marre … Marre de tout s'est mots doux qu'il me disait ... Qu'il me disait dans un sens et que moi j'espérais qu'il me dise dans l'autres sens ... J'espérais tous les jours depuis 4 ans qu'il vienne me voir et qu'il me dise qu’il m'aime ... Et ça depuis un moment. Mais malheureusement tout ça était