Dis-moi qui tuer

la folle! Fais la folle! Je la connais, la chanson. Jai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais tête dure comme toi, non. D’où viens-tu, mauvaise? Antigone, soudain grave Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein? Dis non, peut-être. Antigone, doucement Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux? Antigone, étrangement, après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. Jai un amoureux. la nourrice, éclate. Ah! c'est du joli! c’est du propre! Toi

Fais la folle ! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise ? ANTIGONE, soudain grave. __ Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE __ Tu avais un rendez-vous, hein ? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. __ Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE __ Tu as un amoureux ? ANTIGONE, étrangement, après un silence. __ Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. __ Ah ! c'est du joli ! c'est

J’ai choisis ce texte car on voit que un soldat demande à boire et que par pitié même si c’est en temps de guerre un autre homme a voulu lui en donné sauf que en fait ce n’était qu’une feinte pour pouvoir tuer son adversaire plus facilement et malgré que le soldat ais voulut le tuer et bien il a quand même gardé sa générosité et le laisser boire je trouve sa très généreux de sa part. Le dormeur du Val Arthur Rimbaud C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant

décrivent une nature effrayante, inquiétante et froide par moment. « Sombres » ; « brouillard laiteux »… Nous pouvons également remarquer que la lumière est naturelle dans les extraits de Thérèse Raquin et de l’étranger (« soleil » « crépuscule ») tant dis que la lumière qui est utilisée dans l’extrait de la condition humaine, est artificielle, en effet elle provient des buildings de la ville. Ce ci prouve que ces auteurs n’utilisent pas la même nature. De plus, il y la présence de personnifications

la folle ! Fais la folle ! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise ? ANTIGONE, soudain grave. Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein ? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux ? ANTIGONE, étrangement, après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. Ah ! c'est du joli ! c'est du propre ! Toi

attentive et que même si mon épaule est petite, on peut s’appuyer dessus ; c’est toutes ces choses, plus l’éducation que j’ai reçue : « Il faut donner, avant de recevoir. » qui m’ont poussé à devenir bénévole. Ce soir-là, je me rends à l’association, dis bonjour aux autres, bavarde un peu, puis après quelques appels sans réelle gravité, le téléphone retentit, je décroche et dit : « Allo ! S.O.S. personne en détresse à votre écoute. » Mais aucune réponse. Je me suis dit que c’était une blague et au

Fais la folle! Fais la folle! Je la connais, la chanson. Jai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais tête dure comme toi, non. D’où viens-tu, mauvaise? Antigone, soudain grave Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein? Dis non, peut-être. Antigone, doucement Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux? Antigone, étrangement, après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. Jai un amoureux. la nourrice, éclate. Ah! c'est du joli! c’est du propre! Toi, la

folle! Fais la folle! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise? ANTIGONE, soudain grave. Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux? 1 6 ANTIGONE, étrangement, apres un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amou­ reux. LA NOURRICE, éclate. Ah ! c'est du joli ! c'est

tendu par une anxiété inexprimable. Je sais que jeudi prochain, sans délai possible, tu dois être mariée au comte. Champs lexical du devoir, de l'obligation, "rien et reculer", mise en valeur de la date: antéposé et postposé. JULIETTE. - Ne me dis pas que tu sais cela, frère, sans me dire aussi comment je puis l'empêcher. Si dans ta sagesse tu ne trouves pas de remède, déclare seulement que ma résolution est sage, et sur-le-champ je remédie à tout avec ce couteau. (Elle montre un poignard.) Dieu

Fais la folle! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise? ANTIGONE, soudain grave. Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux? 16 ANTIGONE, étrangement, apres un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amou­ reux. LA NOURRICE, éclate. Ah ! c'est