Dis-moi qui tuer

pourchasse et motive le renvoi de la servante par sa grammaire incorrecte, ce qui est pire à ses yeux que de casser ou de voler quelque chose. Pour ce faire, Philaminte utilise les expressions « crime impardonnable » v467, « pour tuer une oreille sensible » v499, « pour tuer une oreille sensible » v501. Toutefois, l’exagération dont font preuve les deux femmes, n’est pas la seule à faire rire. En effet, l’utilisation des injures telles que : « maraude v428, friponne v429 et 461, l’impudente

particulier car je suis a la fois honoré que moi et mes et freres défendons notre cité et a la fois decu de devoir me battre contre un memebre de ma famille. Mais aprés de mures réflexions je me suis dis que ce grand honneur de défendre ma cité est plus fort que tous je n'hésiterais donc pas a tuer curiace pour ma cité. Aujourd'hui je pense que je n'ai jamais été autant ébranlés de ma vie .Curiace, Sabine, Camille et moi meme nous sommes fais des adieux mutuels. J'ai senti que Curiace était tout

La femme, il l’avait tuée, il la possédait, comme il désirait depuis si longtemps la posséder, toute entière, jusqu’à l’anéantir. (p. 1298) La description de l’état d’âme de Jacques témoigne le fait qu’il n’arrivait plus à contenir son envie de tuer. Il devait le satisfaire un jour ou l’autre. Zola compare la respiration et le souffle de Lantier à des animaux comme un sanglier et un lion. Un passage plus loin renforce l’idée: « Cet homme que, depuis des mois, épargnaient les scrupules de son éducation

ce qu'il se passait. On me fit monter dans un camion brun, qu'on avait néanmoins l'habitude de voir. Dedans, je fus surpris de retrouver la petite couturière de la rue brune. Têtue comme elle était, elle prèferait cacher son chat noir au lieu de le tuer. D'un autre côté, elle avait bien fait, dans tout les cas, elle se serait retrouvée dans ce camion aussi … Pendant notre petit voyage vers l’inconnu, on s'arretait de temps en temps pour prendre d'autres « passagers » et on avait beau questionnés

ce qu'il se passait.   On me fit monter dans un camion brun, qu'on avait néanmoins l'habitude de voir. Dedans, je fus surpris de retrouver la petite couturière de la rue brune. Têtue comme elle était, elle avait préféré cacher son chat noir que le tuer. D'un autre côté, elle avait bien fait, dans tous les cas, elle se serait retrouvée dans ce camion aussi…     Pendant notre petit voyage vers l’inconnu, on s'arrêtait de temps en temps pour prendre d'autres « passagers » et on avait beau questionner

REMARQUE : « il n’avait pas très envie de le savoir » : indifférence du chat. Ce manque d’intérêt manque de logique !  Répétition « dit le chat » (incise) : fantaisie dans l’écriture qui nous sort du récit  Fantaisie et lourdeur de l’atmosphère  « Dis donc tu as mangé du requin ce matin ! » ajoute de l’humour  Pied de nez final : la mort de la souris viendra d’une des petites filles aveugles qui marchera sur la queue du chat  Memphis et Davenport son fausses car Vian n’est jamais allé aux USA

analysons le pour et le contre de chaque argument. Peut-être serai-je mieux éclairé pour fonder ma position. 1. L’argument d’efficacité POUR CONTRE Je dis par exemple : je suis pour la peine de mort parce que c’est une sanction dissuasive. Comme tout être humain a peur de la mort, c’est par cette menace qu’il faut intimider celui qui veut tuer. Aux USA, on a constaté que les bandits vont dans les États où elle a été supprimée. Un seul hésitant évitera une victime… J’argumente ainsi l’utilité de

nourrissait de gâteaux et de bonbons. Céleste alors s'emportait, criait : « C'est une honte, monsieur, une honte. Vous faites le malheur de cet enfant, son malheur, entendez-vous. Mais il faudra bien que cela finisse ; oui, oui, ça finira, je vous le dis, je vous le promets, et pas avant longtemps encore. » Lemonnier répondait en souriant : 6 « Que veux-tu, ma fille ? Je l'aime trop, je ne sais pas lui résister ; il faudra bien que tu en prennes ton parti. » Jean était faible, un peu malade. Le médecin

ce qui s' est passé Pendant qu' il était très saoûl Vu qu' il a choisi de boire et conduire Maintenant moi je dois mourir Donc pourquoi le monde le fait? Maman En sachant que ça ruine des vies Et maintenant je meurs de douleur Dis à ma soeur de ne pas avoir peur, Maman Dis à Papa qu' il doit être brave Et que j' irai au Paradis Écris La fille à Papa sur ma pierre tombale Quelqu'un aurait dû lui dire Que c' était mal de boire et conduire Peut-être que si ses parents lui avaient dit Je serais vivante

deux épaules. », p. 13-15Texte 2 : Chapitre X : de « Je ne fis qu’un bond pour aller me réfugier dans ma cabine. » à « Cette hésitation me sauva. », p. 119-122Texte 3 : Chapitre XVI : de « Une fois seul, ce fut bien pire. » à « Je n’ai jamais pu me tuer moi. », p. 198-200Texte 4 : Chapitre XXX, de « J’allais maintenant le voir un peu moins souvent (…) » à « Le temps passait quand même. », p. 333-335 | -Voltaire, Candide, extrait du chapitre III, (1759)-Driss Chraïbi, La civilisation, ma Mère ! …