Dis-moi qui tuer

Horrible dis-tu ? Moi je la trouve pas plus affreuse qu’une tête d’animaux empaillées, dis-je en me moquant. - Oui, celle-ci, avoua-t-il gênait. Mais j’ai besoin d’aide Joseph ! J’ai essayé de l’accrochée dans ma chambre le soir même après la soirée, comme je vous l‘ai expliqué, sauf qu’au moment ou j’ai voulu la clouée sur mon mur, les os ont oscillés et le clou est ressorti tout seul, sur le coup je ne me suis pas inquiété, ça devait être les effets de l’alcool me suis-je dis, et je l’ai posé

folle ! Fais la folle ! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise ? ANTIGONE, soudain grave. __ Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE __ Tu avais un rendez-vous, hein ? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. __ Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE __ Tu as un amoureux ? ANTIGONE, étrangement, après un silence. nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. __ __ Oui, Ah ! c'est du joli ! c'est

la folle! Fais la folle! Je la connais, la chanson. Jai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais tête dure comme toi, non. D’où viens-tu, mauvaise? Antigone, soudain grave Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE Tu avais un rendez-vous, hein? Dis non, peut-être. Antigone, doucement Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE Tu as un amoureux? Antigone, étrangement, après un silence. Oui, nourrice, oui, le pauvre. Jai un amoureux. la nourrice, éclate. Ah! c'est du joli! c’est du propre

est votre réaction face à l’affaire d’Outreau ? Le procès d’Outreau est, à mon avis, quelque chose qui devait arriver, et dont je salue l’arrivée. Parce que c’est le moment où, les métastases ayant envahi tout le corps, on se rend compte qu’il faut tuer la bête. Le procès d’Outreau est frappant parce que c’est un bouquet de fleurs vénéneuses. Dans chaque dossier, il y a une de ces fleurs. Là, on les a toutes réunies, en même temps. Lors du procès d’Outreau, un expert dit : « Cet enfant a dessiné un

Rally avait dis etre sous le choc pour appeler la police alors qu'elle avait averti le docteur . Ce mystere fut vite resolue ce n'etait pas elle qui avait appeler mais leur voisine qui venait d'entendre un bruit dans le jardin de Rally et elle parti ausitot appeler le premier qui venait .Cel neanmoins ne nous disait pas comment cela avait-il pu se passer . L'autopsieur decida qu'il fallait ramener le corps au labo pour en savoir plus sur l'heure du deces et sur la facon dont on l'avait tuer car cela

Dans les tribunaux, on débattait d’une multitude de questions. Les héritiers étaient-ils tenus de rendre les biens qu’ils avaient récupérés ? Si une femme mariée bénéficiait du statut de morte-vivante, fallait-il considérer que son mari était veuf ? Tuer des vampires était-il un meurtre ? Un mouvement populaire prétendait même leur donner le droit de vote. Comme l’a si bien dit Bob Dylan, «les temps changent » ! Fixant le mort-vivant assis en face de moi, je haussai les épaules. Si j’estimais qu’un

Rousseau dit « Quand je dis que l’objet des lois est toujours général, j’entends que la loi considère les sujets en corps et les actions comme abstraites, jamais un homme comme individu, ni une action particulière » dans du constat social, livre II, chapitre VI, « de la loi ». Donc la loi peut admettre des exceptions qu’elle ne prend pas en compte notamment les situations de légitime défense. Lors de la légitime défense on transgresse la loi qui dit que l’on ne doit pas tuer de manière raisonnable

récent pour moi le fait de ... enfin tu vois. Je ne pourrais pas m'arrêter.- Si, tu peux ! Tu a plus de volonté que n'importe qui dans cette famille !- Ne dis pas ça ! C'est faux.- Jasper je t'en supplie, il meurt.En effet seules quelques bribes me parvenaient de cet échange.- Ça va être dur. Je ... je ... tu devras surement m'empêcher de le tuer.- Tu y arriveras ! Allez Jasper dépêche-toi ! Ses forces le quittent je le sens.- Amène-le à l'intérieur, dans le salon.On me déposa sur une surface rembourrée

tente d'aller de l'avant, quitte à m' prendre une rafale de vent dans la gueule. Je déprime, j'suis triste, j'ai mal au cœur, d'ailleurs j'ai les yeux qui m'pique quand je pense à toi, j'vais pleurer dans mon coin, telle une vrai déprimé prête à se tuer. Pourquoi tant de mal ? Dois- je te croire encore ? Je regarde dans le vide, je ne suis plus qui je suis ou ce que je fais. Je veux juste que tout soit comme avant malgré que j'ai tant de haine pour toi. Je n'ai juste les quelques souvenirs que tu

drame romantique, Victor Hugo met ici en scène une histoire d’amour impossible à la cour d’Espagne du XVIIème siècle entre la reine et un valet. La scène 4 de l’acte V correspond au dénouement de l’œuvre. Dans la scène précédente, Ruy Blas vient de tuer Don Salluste, son maître qui se servait de lui pour se venger de la reine. Celle-ci avait en effet quelques années plus tôt, condamné le comte à l’exil après avoir déshonoré une fille de sa cour. Dans l’extrait étudié, Ruy Blas se suicide à cause de