Discours Aristide Briand

dans l'axe de l'Hôtel de ville (symbolique du lieu = la Mairie représente la République Française). Le nom de la place, Aristide Briand, est en lien avec le monument - Briand, pacifiste, fait entrer l'Allemagne dans la SDN en 1926 ; le pacte Briand-Kellog en 1928 met la guerre " hors-la-loi ". Prix Nobel de la Paix en 1926, il meurt en 1932. La place s'appelle Aristide Briand en 1933 (symbole de la paix en lien avec les associations d'anciens combattant favorables à la paix, " la Der des Der "

 Schuman et la CECA : Le Discours du 9 mai 1950 Commentaire de document proposé par Jérôme Meunier Ce document est la déclaration officielle du gouvernement français annonçant le projet de création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA). L’auteur en est Robert SCHUMAN, d’origine lorraine, établi au Luxembourg après l’annexion de celle-ci par l’Allemagne, il fait ses études en Allemagne et à Strasbourg et devient député de Metz en 1919. Cet homme de la frontière qui veut en

en commun certaines valeurs. C'est ainsi qu'est créée en 1923 l'Union paneuropéenne. Aristide Briand, en 1929, propose quant à lui la création des Etats-Unis d'Europe. Le second conflit mondial engendre une impulsion plus marquée. Il convient alors de préserver la liberté et l'indépendance, et de reconstruire des Etats dévastés. La guerre froide favorise ce projet européen et Churchill, dans son célèbre discours de Zurich en 1946, parle du « rideau de fer » et invoque lui aussi la création des Etats-Unis

réalisations Aristide Briand propose l’idée d’une union entre pays Europe : souhait d’1 état fédéral : Etats-Unis d’Europe Mais la crise de 1929 entraîne un repli nationaliste, au contraire guerre entre plusieurs pays Europe entre 1939/1945 Le traumatisme de la 2G mondiale va générer d’autres initiatives pour aboutir à une union pour éviter une nouvelle guerre Churchill (Angleterre) Konrad Adenauer (Allemagne) Jean Monnet (France) vont œuvrer pour unir l’Europe) 1950 : discours de Robert Schuman

économiquement épuisée et financièrement exsangue. Il faut maintenant reconstruire, réparer, restaurer, reconstituer tout ce qui a été détruit ou endommagé." Cette citation est prononcée par l’économiste français Étienne Clémentel, lors de son discours à la Chambre des députés en janvier 1920. En effet, comme celui-ci l’affirme dans cette citation, la première guerre mondiale a causé de nombreux dommages, affaiblissant la situation financière et économique de la France. Le pays a fait face à

s’enlise dans une détresse économique et sociale. Le moyen, selon eux, pour sortir l’Europe de tout cela, est d’avoir des projets européens et de les concrétiser. En 1924, on remarque donc une volonté de l’entente par le dialogue et pour cela Aristide Briand se fait porte parole de « l’esprit de Genève ». Ce dernier a pour but de donner à la SDN (société des nations unies) toute l’importance qu’elle doit avoir dans le jeu des relations internationales et pour que ce soit le cas, la sécurité doit être

jouer à ce jeu => adoption d'une loi électorale propre à favoriser cette stratégie. Pendant WWI s'est développé un fort courant contre le scrutin d'arrondissement, accusé de favoriser ces "mares stagnantes" du suffrage universel jadis dénoncées par Briand, pour lui substituer le scrutin de liste, à la représentation proportionnelle (la "RP"), paré de toutes des vertus (interdit la corruption; l'électeur se prononce sur des idées et non sur des personnalités). Le scrutin de liste attire socialistes

l'Allemagne contrairement au souhait du président du Conseil Aristide Briand, qu'il pousse à la démission. L'action de ce président est allée à l'encontre de la tradition de la IIIe République qui voulait que le président de la République n'intervienne pas dans les décisions du gouvernement. 13. Gaston Doumergue (1924-1931) Cet avocat élu à la présidence de la République en 1924 est le premier chef d'Etat véritablement populaire. Ses discours à la radio sont très prisés des Français à l'époque. Venant

la noblesse aux Etats généraux. Dans son discours du 31 mai 1791, il dénonce l’inutilité et le danger de la peine de mort. Source : http://www.senat.fr/evenement/archives/D22/Duport.html Maximilien ROBESPIERRE , né en 1758 à Arras, député artésien du Tiers Etat, intervint en faveur de l’abolition. Avocat, il avait écrit en 1784 un mémoire sur La Honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable. Selon lui, et selon les termes de son discours lors du débat de 1791, " la peine de mort

“Comité républicain socialiste national” –, les principaux dirigeants du C.R.C. (Roche, Granger, Rochefort...), des “socialistes nationaux” comme Barrès, des Radicaux comme Naquet (député du Vaucluse en 1887) se mettent au service du général, dont les discours développent un programme de justice sociale...Longtemps les marxistes français ne sauront que faire ; Lafargue écrivait en 1888 « les socialistes [...] entrevoient toute l’importance du mouvement boulangiste, qui est un véritable mouvement populaire