Discours Aristide Briand

parlement (II.) I. La difficile mise en place de la nouvelle constitution La mise en place de la nouvelle constitution se fut difficilement, en effet, le projet de la constitution du 19 avril 1946 fut rejeté (A.) et le général De Gaulle lors de son Discours à Bayeux (B.) rejeta le nouveau projet de constitution en exprimant son point de vu sur les institutions. A. Le rejet de la constitution d'avril 1946 La quatrième République va se créer suite à la seconde guerre mondiale, mais surtout suite

d'une légitimité pour des régimes nés de la défaite, qui n'ont pas conquis le cœur des masses. L'intégration politique des masses est le premier défi des démocraties européennes. Courant limité aux élites sociales. Les masses sont sensibles aux discours nationalistes, et antilibérales. Nationalisme très à gauche, libéraux, pendant le XIX° siècle. Idée du droit des peuples. Affaire Dreyfus : devient une doctrine autoritaire fondée sur la communauté et hostile à l'émancipation des individus. Extrême-droite

l’engagement Européen. G 14-18 : a engendré un pacifisme militant (base de l’européanisme engagé) année 1920. p. 85 : Richard Coudenhove-Kalergi : 1er modèle de l’Européen engagé. Idée de Paneurope. 1er congrès Vienne 2 000 pers en 1926. 1927 : Aristide Briand accepte 1er présidence d’honneur de l’Union Paneuropéenne. Louis Loucheur président du comité français de paneurope joue rôle essentiel pour élargir le réseau aux milieux de l’industrie et de la banque. Intellectuels paneurope : Paul Valery, Paul

publiés en 1905). Il met en avant la préférence aux qualités agricoles et paysannes de la France plutôt qu'à son activité industrielle. Durant la première guerre mondiale de 1914 à 1918, il fait parti d'un cabinet d'union nationale dirigé par Aristide Briand (né en mars 1862 à Nantes et il meurt en mars 1932 à Paris. Ce personnage est un homme politique et diplomate français qui a occupé de hautes fonctions au sein des gouvernements français : onze fois président du Conseil et vingt fois ministre

penseurs comme Victor HUGO ou Jean JAURES. La 1ère Guerre Mondiale met évidemment un coup d’arrêt à ces 1ers projets. En 1923, le Comte Richard Nikolaus Von COUDENHOVE KALERGI propose la création d’une union paneuropéenne. En 1929, Aristide BRIAND prononce un discours devant la Société Des Nations (SDN) proposant la création d’une Fédération Européenne. Le projet est enterré suite à la crise économique puis à la 2nde Guerre Mondiale. Ce n’est finalement qu’au lendemain de la Guerre que la construction

péjorative : le pacifisme est la doctrine des lâches, des défaitistes, des traîtres... Ce mouvement est caractéristique du parti socialiste et est dirigé par Jean Jaurès (1859-1914) orateur et parlementaire socialiste. Mais des hommes comme Aristide Briand, le ministre des Affaires étrangères surnommé « apôtre de la paix » l’ont soutenus dans son combat. Jaurès lutte contre la venue de la guerre les dix dernières années de sa vie. Il est très préoccupé et inquiet face à la montée des nationalismes

estimé de l'époque, le ministre des affaires étrangères français, Aristide Briand, assure, en 1927, la Présidence d'Honneur du Mouvement. Coudenhove avertit à l'occasion du 3ième Congrès Paneuropéen à Bâle en 1932 "Staline prépare la guerre civile - Hitler prépare la guerre des nations " Hitler considère Coudenhove et l'idée de Paneurope comme de dangereux adversaires. Le 30 janvier 1933, Coudenhove prononce son dernier discours en Allemagne, à Berlin. Le même jour, Hitler est nommé " Chancelier

publics) et gagne ainsi des sympathies (il est réformiste dans la pratique mais peut adopter un discours révolutionnaire pour certains de ses membres). L’idée d’une unification de tous les socialistes est avancée par A. Millerand dans le discours de Saint Mandé (30 mai 1896), profondément réformiste quant aux moyens à mettre en œuvre, et se refusant à opposer patriotisme et internationalisme. Ce discours marque l’intégration des socialistes dans la République. Les radicaux et les radicaux-socialistes

hommes politiques comme Nikolaus de Coudenhove-Kalergi et Aristide Briand s’attachent à montrer la nécessité de la construction européenne, il faut attendre la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’instauration d’un nouvel ordre en Europe occidentale pour que se concrétise le projet de coopération renforcée. II. La création de la CECA Le 9 mai 1950, Robert Schuman, alors ministre français des Affaires étrangères, prononce un discours inspiré par Jean Monnet au salon de l’horloge du Quai d’Orsay

rémunère plus les prêtres : l’Église devient totalement indépendante mais doit subvenir par elle-même à ses besoins financiers.Georges Clemenceau, Président du conseil d'octobre 1906 à juin 1909, fait preuve d'autorité face aux mouvements sociaux. Aristide Briand, ministre des cultes, met en œuvre avec pragmatisme la séparation de l'Église et de l'État tandis que Joseph Caillaux, ministre des finances, propose l'instauration de l’impôt sur le revenu que le Sénat n’accepte finalement qu’en 1914. 2)l'education