Discours Aristide Briand

et les communistes. Mais c'est aussi à partir de 1924 s'opère précisément un changement de stratégie: le Cartel des gauches, dominé par les radicaux, inaugure alors une politique conciliante à l'égard de l'Allemagne. Elle sera poursuivie par Aristide Briand (ministre des Affaires étrangères entre 1925 et 1932). Cette nouvelle attitude a aussi la sécurité comme objectif principale mais avec des méthodes différentes. Il s'agit désormais d'obtenir l'adhésion volontaire des Allemands au nouvel ordre

et les communistes. Mais c'est aussi à partir de 1924 s'opère précisément un changement de stratégie: le Cartel des gauches, dominé par les radicaux, inaugure alors une politique conciliante à l'égard de l'Allemagne. Elle sera poursuivie par Aristide Briand (ministre des Affaires étrangères entre 1925 et 1932). Cette nouvelle attitude a aussi la sécurité comme objectif principale mais avec des méthodes différentes. Il s'agit désormais d'obtenir l'adhésion volontaire des Allemands au nouvel ordre

élu pour démissionner en septembre 1920 pour troubles mentaux. Alexandre Millerand deviendra président de la République. De 1920 à 1924, trois gouvernements vont se succéder. Celui de Millerand va être remplacé par Georges Leygues, puis Aristide Briand va prendre sa place de Janvier 1921 à Janvier 1922, puis Raymond Pointcaré de 1922 à 1924. Ces changements de gouvernement montrent bien que le Bloc National ne forme pas un ensemble cohérent. La politique financière du Bloc National a pour

«des personnes comme les autres», sous réserve que les postes soient aménagés afin d’optimiser leurs compétences. Cette vision professionnellement positive peut être interprétée comme une diminution des préjugés des employeurs, mais aussi comme un discours de convenance visant à nier la différence. Elle est donc à prendre avec précaution. Cf. infra « Les freins et les leviers à l’emploi ». D’autres types de représentations apparaissent chez les employeurs : • « Des personnes en souffrance, ayant des

Mickael HUMBERT DISCOURS ET POLEMIQUES DE VERSAILLES (1919-1939) INTRODUCTION I. La difficile instauration de la paix européenne (1919-1923) A. Le traité de Versailles 1. Origines wilsoniennes 2. Clauses et mesures 3. Réactions au traité B. La conférence de Paris (janvier 1919 – aout 1920) : autres aspects 1. « Donner son jouet à Wilson » : la SDN et ses difficultés 2. La « mésentente cordiale » de l’Entente (L. Weiss) 3. La multiplication des traités C. Les conséquences : les polémiques

Le vieux rêve de création «d’Etats-Unis d’Europe» né à la fin du XVIIIème siècle a étéréactivé après le Premier conflit mondial, notamment autour d’hommes politiques comme Aristide Briand et de sa volonté d’un rapprochement franco-allemand. Il aura fallu attendre pourtant lesannées qui suivirent le Second conflit mondial pour voir cette construction européenne prendre véritablement forme et s’inscrire dans un processus. Au-delà de l’instauration d’une paix durable entre les ennemis d’hier, la volonté

pour prendre la tete du mouvement pour l'unification de l'Europe). Il accroche les élites françaises (viens à Paris en 1925 et est alors soutenu par le gouvernement français. Il assoit son mouvement dans tout les pays d'europe avec comme parrain Aristide Briand). Congrès européen à Vienne en 1926 (2000 délégués et 24 pays représentés), sont présent les grands leaders de la politique européenne. Concrètement son programme est basé sur 9 points principaux. En premier lieu, la mise en place d'une confédération

exécutions est divisé par dix au cours du XIXe siècle, l’abolition de la peine de mort devient pour les abolitionnistes une question de principe. Quelques députés de la IIIe République, comme Victor Schoelcher ou Jules Simon, poursuivent le combat. Aristide Briand, garde des Sceaux du gouvernement Clemenceau, dépose en 1906 un projet de loi abolitionniste ; mais la conjonction d’une affaire criminelle sordide, d’une campagne de presse anti-abolitionniste, et du large refus de l’opinion publique, fait échouer

devant la république opportuniste. Certains des partisans du général se retrouve ensuite dans les rangs du socialisme naissant où se refugie les républicains déçus par l’absence de politique sociales. Par ailleurs les éléments du programme et du discours de Boulanger sont à partir de 1889 complètement discrédités auprès de la gauche républicaine de gouvernement. Ce qui veut dire que les idées de révisions de la constitution, de renforcement du pouvoir exécutif sont absolument exclus des perspectives

l’adhésion du citoyen au Gvt (Sieyès) * Conception historique fondée sur le retour aux sources, la culture, la notion d’une communauté populaire existant indépendamment de l’Etat qui la constitue. Cette conception a essentiellement pour base le discours de Fichte. En Italie, l’unification se réalise dans un climat plus calme. Les italiens vont procéder plus classiquement en utilisant le plébiscite ou la méthode de persuasion. C’est l’Etat du pied mont Sardaigne qui va réussir cette unification