Discours Aristide Briand

janvier 1903 mais fûrent refusés car on ne souhaite pas cette séparation du coté de la majorité. Les socialistes menèrent une campagne pour la séparation, trois hommes furent les principaux investigateurs : Francis de Pressensé, Jean Jaurès et Aristide Briand. Ils voient la séparation comme une idée constructive et politiquement viable et non comme un simple geste anticatholique. Le projet de loi du 7 avril 1903 rédigé par de Pressensé (terriblement déçu par les catholiques lors de l’affaire Dreyfus

nos jours : un facteur de stabilité dans les Relations Internationales ? « Arrière les fusils, les mitrailleuses, les canons ! Place à la conciliation, à l'arbitrage, à la paix ! » déclara Aristide Briand le 10 septembre 1926 à Genève lors de l'entrée de l'Allemagne à la Société Des Nations. Ce discours témoigne de la volonté « d'une paix universelle » et de stabilité des relations internationales par l'association et la collaboration des Etats sous un même système d'alliances. Pourtant, quelques

être renversé par la Chambre des députés justement à cause de sa trop grande proximité avec le chef de l'Etat. Millerand nomme alors Aristide Briand. Celui-ci est en opposition avec le Président en ce qui concerne la politique extérieure. Millerand fait pression pour asseoir son rôle constitutionnel dans le domaine international, ce qui aboutit à la démission de Briand. Par la suite, l'autorité du Président se heurte à nouveaux aux présidents du Conseil et dès 1924, le Président ne parvient plus à

corps législatif est réduit à une simple chambre d'enregistrement. II - La restauration de l'Empire Bonaparte est le premier Président à vouloir entreprendre un tour de France dès automne 1852. Le 9 octobre, il clos son voyage par un discours célèbre en affirmant que "la France semble vouloir revenir à l'Empire". Un Senatus Consulte prévoit le rétablissement de la dignité impériale au profit du chef d'Etat le 7 novembre. L'un des cinq points prévus lors de l'appel au peuple étant modifié

apparaît comme le meilleur candidat à la succession de Gaston Doumergue. Les Français s'identifient à cet Auvergnat sérieux et obstiné, économe et vertueux à qui la guerre a arraché ses quatre fils. La candidature tardive du “pèlerin de la paix”, Aristide Briand, ne l'empêche pas d'être brillamment élu. Le 6 mai 1932, avant-veille du second tour des élections législatives qui seront remportées par la gauche, le Président Doumer se rend à la vente des écrivains anciens combattants. Il y est assassiné

ministre des affaires étrangères qui pense la même chose : Aristide Briand au quai d’Orsay entre 1925 et 1932 Traité de Locarno en 1925 où se réunissent les représentants Français, Allemands, Italiens, Belges, Anglais pour prolonger Versailles garantir la paix en s’assurant du Statut Quo càd que l’Allemagne respecte les frontières établies à Versailles contre l’entrée de celle-ci dans la SDN + apaisement Franco-Allemand. En 1929, Briand présente son projet de Fédération Européenne à l’assemblée

unie pour favoriser le développement de la paix n’apparaît pas avec la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, Victor Hugo en 1849, dans un discours prononcé au Congrès de la paix, plaide pour "les États-Unis d’Europe". Après la Première Guerre mondiale, la nécessité d’une solidarité européenne devient plus évidente. Le 5 septembre 1929, Aristide Briand, président du Conseil en France, présente à Genève, à la tribune de la Société des Nations, ancêtre de l’ONU, un projet d’organisation européenne

titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers : « la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins ») 1873 - les dernières troupes allemandes quittent la France - la loi Rivet est

en Laye (1919) et Traité du Trianon (1920) : Dissolution de l’Empire Austro-hongrois Traité de Sèvre (1920) : dissolution de l’empire Ottoman Imaginé selon les quatorze points du président Wilson (mais les USA n’entreront pas). En France, Aristide Briand soutient la réconciliation franco-allemande. Rôle consultatif et aucune pression militaire. Objectifs : Garantir paix et sécurité, respect des traités, respect de la justice internationale Moyens d’actions : arbitrage, économique et commercial

défaite de Lang-Son en Indochine. 1er juin : funérailles nationales de Victor Hugo, inhumé au Panthéon de Paris 9 juin : traité de Tien-tsin, la Chine reconnaît le protectorat français sur le Viêt Nam 28 juillet : discours de Jules Ferry devant l'Assemblée "justifiant" la colonisation, sur le plan "humanitaire", entre autres. 4-18 octobre : élections législatives, victoire de la gauche républicaine. 28 décembre : Jules Grévy est réélu président