Discours Bush 90

scrutin important est le scrutin proportionnel qui assure à chaque parti politique une représentation en rapport avec le nombre de voix qu’il a recueilli. Ce principe de scrutin proportionnel a été développé au XIXème siècle par Stuart Mill, dans un discours à la Chambre des communes : « Dans une démocratie qui applique réellement le principe d’égalité, chaque tendance doit être représentée d’une manière proportionnelle. Une majorité d’électeurs doit toujours avoir une majorité de représentants, mais

diplomatie américaine faisait l’objet de critiques de la part de certains partenaires européens, l’éditorialiste Robert Kagan a proposé une lecture néoconservatrice de la puissance et de la faiblesse, justifiant le « wilsonisme boté » de l’administration Bush, qui voit en l’Amérique un acteur incontournable des relations internationales, et n’exclut pas une forme d’unilatéralisme pour garantir le succès de valeurs démocratiques5. Sans doute plus kantien qu’hobbesien, le mouvement des néoconservateurs

........................................................................................29 Introduction En 1945, le modèle américain était auréolé du prestige acquis par son rôle crucial dans la victoire contre les puissances de l’Axe. Dans son discours à la Nation du 2 septembre 1945, le président Harry S. Truman déclara : « C’est l’amour de la Liberté qui nous a donné la force de nos armes et qui a rendu nos hommes invincibles dans la bataille ». On ne pouvait mieux résumer l'esprit des principes

également ce texte, par distanciation, dans le contexte du début des années 90. Antigone n’a pas été choisie par hasard par le couple de cinéaste, cette œuvre est une véritable critique de la guerre du Golfe, représentée avec l’omniprésence de la roche ocre sous laquelle coule le pétrole, qui était justement au cœur de la guerre du Golfe. En effet juste avant de tourner le film dans le théâtre de Ségeste, en Sicile, George Bush le père venait de déclarer la guerre à l’Irak. Dans un entretien que Straub

dit Huntington qui semble se vérifier dans l’horrible fracas des tours jumelles de Manhattan ? (…) : les attaques suicides menées contre l’occident ne sont qu’un début. » Robert Kagan, le célèbre théoricien néo-conservateur, conseiller de Georges W. Bush et auteur de Puissance et faiblesse (2003), estime que cette « vision froide des réalités du monde, longtemps controversée, a été terriblement validée » par les attentats contre les Etats-Unis, et présente Samuel Huntington comme un « prophète ».

I.La première étape de la guerre froide: la phase de glaciation (1946-1962) 1/La méfiance: Churchill et le rideau de fer Churchill pressent que l'entente ne va pas durer, au cours d'un voyage aux États Unis, Churchill prononce un discours dans lequel il fait part de ses craintes, il craint le maintien de l'armée rouge en Europe de l'est. Il nomme l'URSS le rideau de fer, il est de la mer baltique à la mer adriatique. L'ex premier ministre avertit les américains de la situation et suggère de prendre

signature d'un accord de désarmement en 1987. Georges Bush Senior conduit en 1991 la force multinationale qui intervient contre l'Irak lors de la guerre du Golfe et prend l'initiative de la Conférence de paix au Proche-Orient. À partir de 1992, Bill Clinton redonne la priorité à la politique intérieure, s'attachant plus particulièrement à la relance de l'économie, à la lutte contre la criminalité et à la réforme du système de santé. Georges W. Bush Junior : son premier mandat est marqué par les attentats

faudra néanmoins attendre l’assassinat du Commandant Massoud, le 9 septembre 2001, et les évènements du 11 septembre 2001 pour que la communauté internationale se décide à intervenir en Afghanistan. Le 7 octobre 2001 le président américain George W. Bush affirmera devant la communauté internationale que : « tout gouvernement qui parraine des hors-la-loi devient lui-même hors-la-loi ». C’est donc seulement quatre semaines après les attentats contre les tours du World Trade Center à New York et une

entre Gorbatchev et Georges Bush. Origine paysanne, études de droit, il commence très tôt sa carrière politique : Secrétaire des jeunesses communistes et secrétaire du parti de sa région. 1978 : devient secrétaire du PCUS. 1985 : élu secrétaire général du PC. Il mène une politique très forte de l’appareil communiste du parti, réformes économiques = ça débouche sur les révolutions en Europe de l’est. Document = déclaration entre Bush et Gorbatchev, Destinataire = Bush, opinion publique soviétique

l’apartheid, la chute du mur de Berlin... Mais cette tendance tend, selon lui, à s’inverser depuis les années 2000. «Les premières années du XXIe siècle ont été une période de recul. Ce recul, je l’explique en partie par la présidence américaine de Georges Bush, le 11 septembre, et les conséquences désastreuses qu’en ont tirées les Etats-Unis, comme cette intervention militaire en Irak.» «Nous sommes à un seuil, entre les horreurs de la première décennie et les possibilités des décennies suivantes. Mais