Discours Clémenceau 1917

Corrigé possible Explication d’un document d’histoire Discours d’investiture de Clémenceau 1917 ( A quelles difficultés la France est-elle confrontée au cours de l‘année 1917 ? Au cours de l’année 1917, la France s’est trouvée confrontée à plusieurs difficultés. En premier lieu, alors que la guerre dure depuis trois ans et qu’aucune issue victorieuse ne semble se dessiner, l’État-major décide sur la proposition du général Nivelle, de lancer une grande offensive dont on espère qu’elle sera décisive

Ce texte est un extrait du discours d’investiture prononcé par Georges Clemenceau devant l’Assemblée du Sénat, le 20 novembre 1917, soit quelques jours seulement après sa nomination comme président du conseil, le 16 novembre. Lorsqu’il rédige ce discours, Georges Clemenceau a 76 ans et il a une longue carrière politique derrière lui, puisqu’il entra au gouvernement en 1871, sous la Commune, comme député. Il est également reconnu pour son rôle joué dans l’affaire Dreyfus, dans laquelle il prend parti

Le 20 novembre 1917, la déclaration ministérielle faite à la Chambre des députés par le nouveau Président du Conseil, Georges Clemenceau, frappe par son laconisme et sa netteté : « Ma formule est la même partout. Politique intérieure ? Je fais la guerre. Politique étrangère ? Je fais la guerre, je fais toujours la guerre ». Ce discours, basé sur des arguments directs et véhiculé par un langage vigoureux et parfois pathétique, subjugue l’auditoire et lui attire la majorité des voix parlementaires

Georges Clemenceau pendant la Grande guerre I ) Présentation Issu d’une famille notable, Georges Benjamin Clemenceau est né le 28 septembre 1841 à   Mouilleron-en-Pareds en Vendée, il est mort le 24 novembre 1929 à Paris. Homme d’Etat français socialiste et président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920, mais aussi maire du 18e arrondissement de Paris  puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République. Il prône la séparation des Églises et de l'État et

Clémenceau -1858 : Son père, Benjamin Clémenceau, est arrêté pour avoir participé à l’attentat d’Orsini contre Napoléon III. -Faculté de médecine -part aux Etats-Unis -1871 : Maire de Montmartre sous la Commune. Il a moins de 30 ans. Il est ami avec le maire de Paris, Arago. Des canons qu’une souscription publique ont permis d’acheter sont conservés dans la rue des Rosiers et gardés par la Garde Nationale, soucieuse de ne pas les voir livrés à l’ennemi. Ces canons symbolisent la résistance

Georges Clemenceau Georges Clemenceau [1], né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée), mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, radical-socialiste, président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920. Issu d'une famille républicaine, il fut maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871, puis de 1876 à 1893, siégeant à l'extrême gauche en tant que républicain

Guerre mondiale. En novembre 1917, il est de nouveau nommé président du Conseil et forme un gouvernement consacré à la poursuite de la guerre. Négociateur lors de la Conférence de Versailles, le « Père la Victoire », après avoir promulgué la loi des huit heures, manque de se faire élire à la présidence de la République en 1920, étant critiqué à gauche et à droite, et se retire de la vie politique. Sommaire [masquer] 1 Le fervent républicain 1.1 La famille Clemenceau 1.2 Jeunesse : du lycée de

concerne que peu de pays dans l'Europe en guerre, puisqu'on ne compte que la France et le Royaume-Uni. On peut également signaler que les Etats-Unis reste la seule autre démocratie libérale dans le monde, mais le pays n'entrera en guerre qu'en avril 1917 au côté des deux démocraties européennes. Qu'est-ce qui définit ainsi ces régimes démocratiques ? La démocratie peut être définie comme la forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple. Ainsi les démocraties citées ont un

Dissertation d’histoire Sujet : l’année 1917   « Ni trahison, ni demi-trahison : la guerre !». Tels furent les mots que tînt Georges Clémenceau dans son Discours de guerre, de 1919, à propos de cette année 1917, année terrible, marquant un tournant dans la Grande Guerre. En quoi l’année 1917 marque un tournant dans cette Première guerre Mondiale ? Nous essaierons de répondre à cette problématique en trois parties. Dans un premier temps, nous aborderons la mondialisation du conflit, puis

par voie légale la mobilisation, et se résigne à accepter la guerre, à condition que la France reste en position d’agresser et n’exige que la restitution de l’Alsace-Lorraine. • Illustration de cette conversion patriotique des pacifistes avec le discours de Jouhaux aux obsèques de Jaurès. Acceptation de l’entrée dans une guerre de DÉFENSE. • Réflexe national qui s’affirme partout. 2) Le rassemblement dans l’Union Sacrée (4 août 1914) • 4 août → Poincaré trouve la formule d’Union Sacrée. But → convaincre