Discours De Gaulle 31 Janvier 1964

intérêts collectifs d’ordre social et opérer des correctifs égalitaires afin de protéger les plus faibles. Les grandes politiques interventionnistes modernes commencent en France avec le front populaire en 1936 puis avec le gouvernement du général De Gaulle à la libération en 1946. Si l’on considère la politique interventionniste française, on constatera qu’elle correspond à deux sortes d’ambitions collectives. A la fois une ambition nationale qui veut favoriser l’accumulation du capital industriel

peuple de Paris refuse de rendre les armes, et c’est la Commune en 1871, laquelle sera violemment réprimée par Thiers : 20 000 morts, 50 000 prisonniers et exilés. L’aile gauche du courant républicain est totalement décapitée. La « loi Rivet » du 31 août 1871 donne à Thiers le titre de « Président de la République », mais il reste responsable devant l’Assemblée. Renforcé dans son pouvoir, Thiers s’affirme de plus en plus et ose affirmer que le retour de la monarchie est impossible. Ses relations

Constitution Rivet du 31 août 1871 :................................................................................................................ 19 B] La Constitution de Broglie ou loi chinoise du 13 mars 1873 :........................................................................... 19 C] La loi du septennat du 20 novembre 1873 :........................................................................................................ 19 D] L’amendement Wallon du 30 janvier 1875 :............

réformes ont porté sur le système constitutionnel et sur la forme de l‟état 1 - l’évolution du système constitutionnel les travaillistes qui ont conquit le pouvoir en 1997 ont souhaité modernisé la GB, la “modernité” a d‟ailleurs été le terme clé du discours des néo-travaillistes ainsi Blair a cherché a modernisé le pays en faisant adopter 2 lois par le parlement : - la loi de 1998 a consisté à ratifier la ConvEDH : texte devenu un texte de référence pour la défense des droit et liberté en Europe

sérieuses de modifier en profondeur le fonctionnement du système, tout en restant dans le cadre de la Constitution de 1946 ? Les institutions sont-elles à ce point inefficaces ou usées qu’on ne puisse les aménager? Pourquoi le recours au général de Gaulle va-t-il s’imposer? Pourquoi va-ton rompre sur tant de points avec l’héritage des constitutions précédentes? Les institutions de la IVeRépublique en 1958 : - Un Parlement composé de deux chambres. C e bicaméralisme est très inégalitaire. L'Assemblée

suivi de Clemenceau [12]. Le gouvernement obtient la confiance des Parisiens par le plébiscite du 3 novembre, et organise des élections municipales le 5 novembre. Clemenceau est ainsi élu dans le XVIIIe arrondissement. Il est cependant destitué le 22 janvier 1871, jour d'une manifestation à l'Hôtel de Ville, pour avoir demandé, avec d'autres maires d'arrondissement réunis par Jules Favre, la démission du général Trochu[12]. L'armistice, refusé par Clemenceau et le peuple parisien, est signé six jours

1 : la troisième république 19 Section 1 : La mise en place du régime 19 §1 : La préparation des lois constitutionnelles de 1875 19 A] La Constitution Rivet du 31 août 1871 : 20 B] La Constitution de Broglie ou loi chinoise du 13 mars 1873 : 20 C] La loi du septennat du 20 novembre 1873 : 21 D] L’amendement Wallon du 30 janvier 1875 : 21 §2 : Les lois constitutionnelles de 1875  21 A] Le pouvoir exécutif 22 B] Le Sénat 22 C] La Chambre des députés : 23 §3 : Les attributions des chambres 

de Constitution 30 §1 Une approche variable du concept de Constitution 30 A) L’analyse classique 30 1) La Constitution : loi suprême 30 2) La Constitution, fondement d’un ordre nouveau 31 B) Les autres conceptions de la Constitution 31 1) La conception marxiste 31 2) La conception sociologique 31 §2 Des Constitutions aux formes diversifiées 32 A) La Constitution au sens formel et la Constitution au sens matériel 32 1) La Constitution au sens formel 32 2) La Constitution au sens

la III e république et veulent promouvoir un pouvoir exécutif. De Gaulle ne serait pas complètement critique de cette pensée. Pour de Gaulle, un peu à la manière de Pétain mais de manière plus souple, l’intérêt général passe après l’intérêt sectoriel. Le lobbying parlementariste, le court-termisme parlementaire doivent disparaître. Les événements ont empêché que l’on se penche sur la question constitutionnelle. La figure de De Gaulle prend de l’ampleur, et Pétain sent qu’il lui faut recadrer les choses

les premiers mois de la IVe République, une union nationale s’affirme dans la volonté de redresser le pays et de réaliser les objectifs du CNR. Certes, la Résistance n’a pas engendré le grand parti que certains avaient rêvé de voir naitre et même de Gaulle s’est refusé à fonder un mouvement politique, mais les principaux acteurs de la résistance sont ensemble aux commandes : les grands partis (PCF, SFIO, MRP démocrate-chrétien, radicaux) gouvernent ensemble en accord avec les centrales syndicales.