Discours De George Bush

le dollar est aussi sûr que l’or). 16 millions d’Américains furent incorporés dans les forces armées des États-Unis, 407 000 y périrent, dont 292 000 sur le champ de bataille. En décembre 1989, après avoir rencontré Gorbatchev à Malte George Herbert Walker Bush, nouveau président des États-Unis, annonce la fin de l’affrontement Est/Ouest, c’est-à-dire de la guerre froide et de la bipolarisation du monde. L'OTAN et le Pacte de Varsovie entament le démantèlement aussi bien de leur arsenal nucléaire

Introduction. I- Exposition de l'attentat. a) Version officielle. b) Témoignages. c) Témoignage d'Oussama Ben Laden. d) Discours officiel du président Bush. II- La naissance du doute. a) Lapsus du président Bush. b) Preuves scientifiques. c) Témoignage du ministre des transports américains. III- Étude de cas. a) Présentation des différentes

mais par contre également à celui du républicain G.W. Bush en 2000. Le comportement électoral des Evangéliques se différentie également selon le niveau social. Ainsi les Evangéliques blancs à faibles revenus et ceux appartenant à la classe ouvrière ont largement soutenu Bill Clinton en 1992 et 1996, Al Gore en 2000 mais de manière égale les démocrates et les républicains en 2004 alors que les Evangéliques fortunés votèrent à 85% pour Bush [12]. Une évolution s’observe en outre dans les priorités

1979 C- Les années 80 : Administration Reagan 1- La guerre de l'Iran-Irak 1980-1988 2- La destruction en vol de l'avion Iran Air 655 en 1988 3- L’élection de Khatami II- Les crises actuelles de l'an 2000 à 2004 A- Les crises de l’administration Bush 1- Refus américain d'accorder des visas aux représentants Iraniens 2- Changement de la doctrine nucléaire B- Le programme nucléaire Iranien 1- La guerre en Irak 2- Le président Mahmoud Ahmadinejad 3- La Bourse pétrolière iranienne C- L’administration

candidature à l’investiture du Parti démocrate pour la chambre des représentants en 2000 mais l'obtient en mars 2004 pour le Sénat des États-Unis. Barack Obama se distingue notamment par son opposition précoce à la guerre lancée par George W. Bush en Irak et par le discours qu’il prononce en juillet 2004 lors de la convention démocrate qui désigne John Kerry comme candidat à la présidence, prestation remarquée qui le fait connaître pour la première fois au plan national. Élu sénateur en novembre 2004

des pays satellites, regarder les transparents ; ina.fr) C’est ce qui va mettre Ronald Reagan au pouvoir (dossier p 78-79). 2) « America is back » (discours inaugural de Reagan, 1981) URSS : « Empire du mal », il faut montrer au monde entier la puissance éco et géopolitique des USA Ficher les 3 discours p 78 -Affirmer au centre des blocs sa fermeté : *Crise des fusées : URSS avait installé en Europe de l’Est des SS20. USA, pour montrer que ne lâchent rien, déploient des

processus de l'unique puissance mondiale, qui n'est que la traduction politico-stratégique de la doctrine du nouvel ordre mondial, annoncée par le président américain George Bush le 11 Mars 1991 (les Etats-Unis sont appelés à conduire le monde hors du ténèbres et du chao de la dictature vers la promesse de nos jours meilleurs) [4]. Un tel discours exprime la volonté américaine de gérer unilatéralement et individuellement un environnement international complexe, en particulier avec les événements du 11 Septembre

démocrate de l'Illinois depuis 2004,occupant la profession d’avocat,est issu d'une famille modeste, d’un père noir kényan et une mère blanche originaire du Kansas. Son Slogan est « Yes we can » (Oui, nous pouvons) et son discours est axé sur le changement, la rupture avec la politique de Bush. Ses soutiens politiques sont Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis ; John Kerry, ancien candidat aux élections présidentielles de 2004 ; Ted Kennedy, Sénateur du Massachussets & frère de l'ancien président

Après Bush, chacun espère un changement ou craint le pire. McCain ou Obama ? Qu'est-ce que cela changera pour l'Irak, l'Afghanistan, la Palestine, l'Afrique, le Caucase, Cuba ou le Venezuela ? Et dans les relations avec les grandes puissances : Europe, Japon, Russie, Chine ? Nous ne pensons pas que la politique internationale des Etats-Unis se décide à la Maison-Blanche. En fait, l'élite US est actuellement hésitante sur la stratégie à suivre dans les prochaines années. Ce texte analyse les deux

civilizations », Foreign policy, 1994 et 1996). Les conséquences de ce conflit sont nombreuses. Georges Herbert BUSH, président des États-Unis d’Amérique (1988-1992), y voit « apparaître un nouveau monde […] où l’ONU, libérée de l’impasse de la Guerre froide, est prête à accomplir le projet historique de ses fondateurs […] dans lequel la liberté et le respect des droits de l’homme sont défendus par les nations […] » (Discours devant le Congrès, 6 mars 1991). L’idée d’une sécurité collective (Opération Restore