Discours De Gwynplaine

d’arguments Pour réussir sa dissertation, le candidat devra reconnaitre ce que c’est que l’argumentation ainsi que les différents types d’arguments. Ainsi, nous nous posons la question de savoir : Qu’est-ce qu’argumenter ? 1- Définition L’objectif du discours argumentatif consiste à propos d’un thème (un sujet) de soutenir une thèse (un point de vue, une opinion) qui réponde à une problématique. Il faut convaincre un adversaire pour modifier son opinion. Quelques exemples pour mieux faire

(L76). L’écrivain choisit de situer son récit à un moment bien précis de l’année, au moment de la Fête des Fous. Dans ce travail de reconstitution de la vie et de l’excitation qui accompagne cet événement, la voix du peuple est très présente grâce au discours direct. Les exclamations, voire les jurons de la foule sont restitués, ce qui renforce le réalisme de l’extrait: « Quasimodo le bancal! Noël! Noël! » (L 22), « Croix-Dieu ! » (L 58), « Buah ! » « Oh ! Le vilain singe ! ». Des perceptions auditives

raconte l’histoire de Gwynplaine, personnage extrêmement réaliste tant moralement que physiquement. La création de ce type de personnage répond à un double objectif : dénoncer quelque chose et  contribuer au réalisme désiré pour le roman. Elle peut aussi répondre au besoin de l’auteur de faire passer un message. Le personnage devient un outil de communication, il est alors logique de ce point de vue d’envisager une forte ressemblance avec la réalité. Par exemple, le discours de Zola sur l’exploitation

l’activité politique. Sur ce plan, où il évolua nettement : «légitimiste de formation, bonapartiste de conversion, républicain d'imprégnation», il s’engagea ; fut, en 1845, nommé pair de France en 1845 ; prononça à la Chambre des pairs, en avril 1847, un discours ‘’Sur les misères’’ ; fut, en 1848, élu maire du VIIIe arrondissement de Paris puis député de Paris à l’Assemblée constituante de la Seconde République ; fut, en 1849, député à l’Assemblée législative. Orléaniste déçu, il soutint tout d'abord le

 et des gens odieux au gouvernement et à la  société ».   En partic., THÉÂTRE ,,Coterie organisée dans une salle de spectacle pour faire  échouer une pièce ou bien nuire au succès d'un acteur`   Faire cabale :  6. Les saltimbanques, enthousiasmés et exaspérés, contemplaient Gwynplaine en  grinçant des dents (...). Ils (...) firent cabale, sifflèrent, grognèrent, huèrent. Cela fut pour  Ursus un motif de harangues hortensiennes à la populace...  HUGO, L'Homme qui rit, t. 2, 1869, p. 124.      b.La cabale de la Compagnie du St 

personnage principal présente un discours à la chambre des Lords dans lequel il dénonce les misères du petit peuple. Accroche Présentation de l’œuvre, de l’auteur Problématique (ce que le texte veut exprimer, son enjeu, son intention) : « qu’est ce qui rend le texte persuasif ». « Nous nous demanderons ce qui rend ce texte persuasif. » Développement, « il conviendra de voir d’abord quel sont les marques de l’argumentation présente dans le discours ensuite, en quoi ce discours constitue une authentique

personnages : le roi Louis XI, Frollo et un imprimeur qui débattent contradictoirement de la portée d'une telle invention début du Quasimodo de William Dieterle (1939) Le discours de l'auteur est porté par les personnages à l'intérieur de la fiction. Ces passages sont nombreux dans l'œuvre de Hugo et directement transposable dans le discours des personnages en accord avec le déroulement de l'intrigue. Ainsi en va-t-il de la parole religieuse (forme du sermon, prise en charge par exemple par Mgr Myriel dans

qui sait tenir en haleine son lecteur par tous les moyens. o Littérature s’adressant aux « masses » : cf. « masses » évoquées par Balzac dans l’Avant-propos de la Comédie humaine 1842 : le roman comme genre démocratique. I. Le discours sur la prostitution et ses influences en littérature : o Enquête en 1836 de Parent-Duchâtelet De la prostitution dans la ville de Paris, considérée sous le rapport de l’hygiène publique, de la morale et de l’administration.

l’activité politique. Sur ce plan, où il évolua nettement : «légitimiste de formation, bonapartiste de conversion, républicain d'imprégnation», il s’engagea ; fut, en 1845, nommé pair de France en 1845 ; prononça à la Chambre des pairs, en avril 1847, un discours ‘’Sur les misères’’ ; fut, en 1848, élu maire du VIIIe arrondissement de Paris puis député de Paris à l’Assemblée constituante de la Seconde République ; fut, en 1849, député à l’Assemblée législative. Orléaniste déçu, il soutint tout d'abord le

Cromwell, 1827 | | | |L’Homme qui rit, « le discours de Gwynplaine à la Chambre des Lords », 1869, | |Problématique : |6 – Acte III, scène 2, vers 1058 à 1467a : « Bon appétit ! Messieurs |