Discours De Kennedy

droit de l’homme (et des femmes) dans le monde. Et inversement : c’est a dire les hommes doivent respecter les lois. b) L’organisation : L’ONU est compose de trois institution majeur : *Assemble général (tout les pays) : lieu ou l’on fait des discours. *Secrétaire général : c’est l’administrateur de l’Onu. IL est neutre et est elu pour 5 ans. *Conseil de sécurité : -DEPART : 5 membres permanant + 6 autres qui changent tout les cinq ans. -MNT : 5 membres permanât + 10 autres. Il

Capitulation de l'Allemagne Conférence de ( 8 mai ) Postdam Création de l'ONU (Juillet ) (26 juin ) Création du CECA ( 18 avril ) -t En URSS régime autoritaire Création du mur ( Mort de Staline ) séparant Berlin ( 12 et 13 Pam Mun Jom Discours Armistice signé àaout ) de Kennedy ( 22 octobre ) ( 27 Juillet ) Traité de salt 1 ( 26 mai ) La crise des missiles Cubains ( 27 octobre ) .d o cu rack .c Capitulation du Japon (2 septembre ) Chine et URSS signent Un traité d'assistance ( 14 février

de la honte » et dénoncent le totalitarisme et les affronts au droit de l'Homme de l'URSS. Le président Kennedy prononce ainsi, le 26 Juin 1963, la phrase « ich bin ein berliner » qui montre le soutien des États-Unis aux habitants de l'Allemagne de l'Ouest et notamment aux Berlinois, enclavée dans les territoires communistes de la RDA. Ce discours est considéré comme l'un des meilleurs de Kennedy et comme un moment fort de la guerre froide. Berlin et l'Allemagne sont donc plongé dans un monde bipolaire

qui sont le modèle soviétique et le modèle américain, et enfin nous verrons que le monde est un conflit de puissances. Le 5 mars 1946, Winston Churchill parle pour la première fois de "rideau de fer" qui partage l’Europe en deux, dans un de ses discours à l’université de Fulton dans le Missouri. Il n’est plus Premier ministre, mais ses paroles marquent tout de même officiellement le début de la Guerre froide. Tout d’abord, les chefs de gouvernement de l’Union soviétique, du Royaume-Uni et des Etats-Unis

femmes et d’enfants furent décimés par l’armée israélienne. Pour l’anecdote Ariel Sharon, le boucher de Chabraa wa Chatilla déclarait que les massacres qu’il avait lui-même effectués n‘auraient pas pu être réalisés par même une armé complète. Dans le discours de Benjamin H.Freedmann (première partie de ce livre,) lors de son allocution faite en 1961 à l’hôtel Willard à Washington, il fait référence comme un clin d’œil à l’histoire à trois éléments majeurs, interconnectés et s’imbriquant l’un par rapport

entendre le discours de Martin Luther King. C’est avec son illustre discours ‘’ I have a dream’’ qu’il connaîtra le point d’orgue de son combat. Dans ce discours il manifeste son sa volonté et son espoir de connaître une Amérique juste et unis, c’est cela son rêve. Dans ce combat, Martin Luther King peut compter sur l’appui du président John Kennedy qui le soutient et le fera libérer plusieurs fois de prison. Mais avant qu’il n’ait pu abolir la ségrégation aux États-Unis John Kennedy est assassiné

la guerre nucléaire. Événement phare de la guerre froide, la crise de Cuba souligna les limites à la coexistence pacifique, et se solda par le retrait de l'URSS en échange de concessions mineures et confidentielles accordées par l'administration Kennedy. Un « téléphone rouge » reliant directement la Maison Blanche au Kremlin fut instauré après la crise afin de pouvoir établir une négociation directe entre l'exécutif des deux superpuissances et éviter qu'une nouvelle crise de ce style ne débouche

avril 1960, les étudiants contestataires forment leur propre organisation, le Student Nonviolent Coordinating Committe (SNCC ou « Snick ») , que King aurait aimé intégrer au SCLC. LE SOUTIEN DE MARTIN LUTHER KING AUX SIT-INS ET L’ÉLECTION DE KENNEDY En janvier 1960, Martin Luther King s’installe dans sa ville d’origine, Atlanta, où se trouve le siège du SCLC. En octobre, une querelle oppose les étudiants du Snick et l’élite conservatrice noire. Les leaders noirs « traditionnels » condamnent

a alors besoin d'un allié. Castro se rapproche de + en + de l'URSS et accepte secrètement l'installation de bases nucléaires soviétiques sur Cuba (course aux armements des E.-U. et URSS). Les E.-U. sont donc directement menacés par les missiles. Kennedy, le président des E.-U. est informé de la base de missiles soviétiques (le 15 Oct. 1962) et pose un ultimatum à Khrouchtchev le 22 Oct. 1962, où il exige de retirer les missiles sous la menace d'une guerre nucléaire. Événement qui marque le début

provoque la séparation des familles berlinoises qui doivent avoir un visa pour passer dans l’autre partie de la ville. Deux ans après la construction du mur, en juin 1963, le président américain John Kennedy se rend à Berlin et y prononce un discours célèbre « je suis berlinois ». Par ce discours, Kennedy affirme que la construction du mur est la preuve de l’échec du communisme, puisqu’il a été construit pour empêcher la fuite des Allemands de l’Est vers l’Ouest. Ce mur est le symbole de la coupure